Le 25 novembre 1960, trois femmes dominicaines, les sœurs Mirabal furent assassinées sur les ordres du chef de l’Etat dominicain. Le 19 octobre 1999, lors de la 54e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, les représentants de la République dominicaine et 74 États membres ont présenté un projet de résolution visant à faire du 25 novembre la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

Les gouvernements, les organisations internationales et les organisations non gouvernementales étant invités ce jour là à mener des opérations de sensibilisation de l’opinion à ce grave phénomène. 

La résolution 54/134 a été adoptée le 17 décembre 1999.

(Source:culturecommunication.gouv.fr)

UNE PENSEE SPECIALE AUX FEMMES DE KIVU PAR AMMAFRICA WORLD!

Si il faut en comparer avec les violences que subissent les femmes de Kivu, à L'Est de la République Démocratique du Cong, il y a eu plus que 3 femmes tuées ou violées, le nombre ne cesse d'augmenter par milliers. Juste pour les "trois femmes Dominicaines", le cas de femmes Mirabal ne peut être plus pire que le cas des ces femmes Congolaises de Kivu!

Si la violence sexuelle fait donc partie de la raison de cette loi, il y a donc longtemps que la souffrance que sévissent les femmes de Kivu auraient mis fin!

Malgré les rapports des experts, et du DR. Mukwege surnommé

"L'homme qui répare les femmes",un docteur pas comme les autres!

 UN PETIT RAPPEL SUR LE FLEAU DU "VIOL"QUI S'ABAT SUR LES FEMMES DE KIVU ET LES DEMARCHES FAITES

DE DR. MUKWEGE

LAUREAT DU  PRIX INTERNATIONALE ROI BAUDOUIN:

La République Democratique du Congo est devenu un pays qui, au travers les incéssantes guerres des rébellions, et envahissement des infiltrés etrangers sur le sol de ce pays, on se demande ce que cette fête pourrait donc apporter aux femmes de Kivu!

VIDEO DE L'INTERVENTION DE DR MUKWEGE A NEW YORK SUR LE VIOL DES FEMMES AU KIVU:

RDC: Dr Denis Mukwege appelle à l’intensification de la lutte contre les violences sexuelles 

  

Le Directeur de l’Hôpital de Panzi, le docteur Denis Mukwege a appelé, mercredi14 novembre, la communauté internationale à intensifier la lutte en faveur des femmes victimes de violences sexuelles dans l’Est de la RDC. Il a lancé cet appel  au cours d’une conférence de presse qu’il a animée au parlement européen, à Bruxelles où il séjourne après la tentative d’assassinat sur sa personne à la fin du mois d’octobre à Bukavu.

Lors de sa conférence de presse, le directeur de l’Hôpital de Panzi, le docteur Denis Mukwege  a expliqué que le besoin d’une prise en charge des femmes victimes des violences sexuelles se pose avec acuité dans l’Est de la République démocratique du Congo.

Il a appelé la communauté internationale à œuvrer dans ce domaine  dans lequel il s’est spécialisé. Depuis quelques années,  son hôpital de Panzi situé à Bukavu offre des soins aux victimes des violences sexuelles dans la Province du Sud-Kivu.

« Les malades que nous accueillons à l’hôpital présentent des lésions génitales graves consécutives au viols, tortures et mutilations. Nous avons observé des femmes qui après avoir été violées par des groupes armées, avaient leurs appareils génitaux complètement éclatés », a expliqué le directeur de l’hôpital de Panzi.

« C’est insupportable. Je refuse de parler du nombre de femmes violées. Je trouve que nous devrions tous nous soulever comme un seul homme et protester partout au monde même si c’était une seule femme qui était violée », a-t-il poursuivi.

Il a appelé la communauté internationale à rester attachée à la dignité humaine que porte la femme et de pouvoir la protéger où que ce soit.

« Ca m’a fait beaucoup de mal de lire, il y a une semaine, un rapport de David Smith, de The Guardian, (NDLR : un journal britannique) qui parlait de ce qu’il a vécu dans le Rutshuru. Il a trouvé une dame qui, après avoir été violée, a eu du fuel déversé dans son appareil génital où les violeurs ont mis du feu ».

Une situation qui dure depuis plus de 10 ans, a indiqué le docteur Denis Mukwege.

(Source:RADIO OKAPI)

Une pensée spéciale à ses femmes qui ont enduré et endurent encore des atrocités inhumaines sous les regards indifférent de la "Communauté Internationale" et L'Onu, sans toute fois chercher à sanctionner sévèrement les coupables de ces horribles exactions que subissent les femmes Congolaises de Kivu!

Les nombreux rapports des experts, ainsi que les révélations de ce docteur "pas comme les autres", suffisent donc, pour qu'enfin, justice soit faite et que cesse, toute violence faite aux femmes de Kivu! Ce qui serait une manifestation de la bonne foi de cette communauté internationale, qui valide la loi contre toute violence faite à la personne de la "Femme" quelque soit la raison, la motivation et les circonstances de la guerre, les femmes ont droit au respect, à la dignité et aussi à la vie!

Pourquoi donc cette politique des "deux poids, deux mesures"?...

Toutes les femmes du Monde entier, ont droit à la justice et de béneficier aussi à ce que ces lois offrent comme opportunité pour toutes les femmes du Monde entier, ainsi, la fête dite "Internationale" aura donc un sens aux yeux de tous! Et qu'en tout lieu que pratique de telles violences aux femmes, que justice soit aussi faites pour toutes ces femmes selon la condamnation de loi internationale sur ces genres de crime et discrimination!

Ainsi, nous interpélons la communauté internationale, et les organisations internationales validant cette loi internationale contre la violence faite aux femmes, de faire de cette journée commémorative, un temps pour se souvenir des femmes de Kivu,pour enfin améliorer la condition de leurs situations, et exigé à ce que ces femmes obtiennent réparation et justice!

"Mama Feza"

Visionnaire-fondatrice

AMMAFRICA WORLD