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SANTE POUR TOUS


TEMOIGNAGE HORRIBLE:ON NE MEURT PAS DE CANCER MAIS DE LA CHIMIOTHERAPIE ET RADIOTHERAPIE

Témoignage choquant et révoltant: Le Cancer ne détruit pas mais la chimiothérapie?..

Le monde entier est-il trompé?, comment des maladies apparemment si graves, puissent encore ne pas l'être?. Allons nous retourner à la médecine traditionnelle pour se sauver de cette médecine moderne accusée des abus de confiance des ses patients?.

 

On a pas fini de nous surprendre....

HORRIBLE: Un professeur de l’Université de Berkeley dit: « Les gens ne meurent pas du cancer! Les gens meurent de la chimiothérapie et dans d’atroces souffrances! »

chimio

Ce professeur a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant 25 ans. Ses conclusions étaient plus que consternantes!

 

Il se trouve que l’industrie du cancer n’est rien de plus que l’industrie! Le cycle complet implique chaque médecin, hôpital, compagnie pharmaceutique et presque toute personne concernée. Ils en retirent des gains à chaque fois qu’un patient décide de subir un traitement dangereux comme la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie pour enlever les parties du corps affectées.

 

 

La science confirme ces conclusions, même si l’industrie médicale affirme que la chimiothérapie aide les patients à gagner la lutte contre cette maladie pernicieuse.

 

Le Dr Hardin B. Jones est un ancien professeur de physique médicale et de physiologie à l’Université de Berkeley en Californie. Il a basé son étude sur l’espérance de vie des patients atteints de cancer pendant plus de 25 ans. Il a décidé de faire sa propre recherche après avoir constaté que la chimiothérapie ne fonctionne pas du tout.

 

Il dit que les patients qui subissent une chimiothérapie finissent souvent par mourir d’une manière horrible. Les patients qui suivent une chimiothérapie meurent aussi plus rapidement et éprouvent plus de douleurs que ceux qui acceptent une thérapie différente. Le Dr Jones a constaté que les médicaments de chimiothérapie abrègent la vie du patient et finissent par le tuer. Tout ça est gardé secret parce que les intéressés gagnent des millions de dollars.

 

« Les personnes qui ont refusé le traitement de chimiothérapie vivent en moyenne 12 ans et demi de plus que les personnes qui reçoivent une chimiothérapie », a expliqué le Dr Jones dans son étude publiée dans le New York Academy of Sciences. « Les gens qui acceptent la chimiothérapie meurent dans les 3 ans, et de nombreuses personnes, seulement quelques semaines après le début du traitement ». « Les patientes atteintes de cancer du sein qui rejettent la thérapie conventionnelle vivent 4 fois plus longtemps que celles qui suivent le système. C’est bien sûr quelque chose que vous n’entendrez pas dans les médias conventionnels qui continueront à propager le mythe que la chimiothérapie est le meilleur remède pour combattre le cancer! ».

En 1979, le Journal de l’American Medical Association (AMA) a publié une étude selon laquelle les traitements les plus courants pour le cancer du sein, qui sont encore en usage, ne font en fait rien pour diminuer le taux de développement du cancer du sein ni même pour prolonger la vie. Des conclusions similaires ont été confirmées dans deux autres études publiées dans The Lancet en 1980.

 

L’une des études a été menée en Israël en 1978 et l’autre en Grande-Bretagne. Elles ont toutes deux révélé que la chimiothérapie ne pouvait pas améliorer le taux de survie des patientes diagnostiquées du cancer du sein.

 

 

« La vérité soigneusement cachée est que beaucoup de gens qui sont morts du cancer sont en fait morts du traitement qui comprenait la chimiothérapie ou la radiothérapie. La chimiothérapie agit en tuant les cellules saines du corps avant qu’elles puissent détruire le cancer, qui peut se développer très lentement et dans certaines conditions naturelles, peut même s’arrêter et régresser, » comme il est expliqué dans l’étude.

 

Les patients qui meurent du cancer meurent en fait de malnutrition. C’est le résultat du fait que les cellules cancéreuses absorbent les nutriments du corps, et en fin de compte détruisent le système immunitaire. Le corps ne peut pas se défendre dans de telles conditions.

 

Malheureusement, la médecine moderne ne veut pas que vous connaissiez le secret sur les thérapies conventionnelles du cancer. Un seul traitement coûte de 300 000 à 1 million de dollars! Comme vous pouvez le voir vous-même, cela est la raison principale pour laquelle la chimiothérapie est offerte aux patients diagnostiqués de cancer. Les médicaments de chimiothérapie ne peuvent pas détruire le cancer ni prolonger la vie. La seule chose qu’ils puissent faire est d’affecter le corps au point de finalement tuer les patients.

 

 

 

Sources:
www.weeklyhealthylife.com
www.naturalmedicinebox.net

 

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23/11/2015
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SANTE:UNE NOUVELLE MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE PLUS GRAVE QUE LE SIDA VOIT LE JOUR!

On en crée encore une autre maladie pour exterminer l'humanité? OU C'est une découverte?

Le monde est menacée de sa sécurité et de sa survie!

Toutes ces épidémies risquent de provenir dans un laboratoire nuisible pour la santé de l'humanité!

 

Puisse le bon Dieu éclairer beaucoup de ceux qui cherchent à comprendre! 

 

Avec cette allure, l'humanité perd sa paix!!!

 

@Ammafrica world

Une nouvelle maladie sexuellement transmissible fait des ravages

Après le Virus de l'immunodéficience humaine, agent responsable du Syndrome d'immunodéficience acquise (Vih/Sida) qui a défrayé la chronique et qui continue de sévir dans le monde, une autre maladie sexuellement transmissible vient de faire son apparition.

Selon des spécialistes interrogés par Alerte Info, cette pathologie transmise également par voie sexuelle serait plus virulente que le Sida. Appelé scientifiquement Virus du papillome humain (Vph), cette nouvelle maladie est très répandue et se transmet par contact cutané direct, c'est- à-dire « peau à peau ».

 

Le Vph peut donc, au dire des spécialistes, être contracté pendant les rapports sexuels, avec des pratiques comme la fellation, le cunnilingus, la sodomie ... Hautement contagieuse, cette pathologie est considérée comme l’une des Infections transmissibles sexuellement (Its) les plus courantes dans le monde. Très dangereux, le Vph qui vient de muter en s'attaquant aux parties génitales ( la matrice, le pénis, les testicules…) fait actuellement des ravages dans plusieurs pays du monde. Car le préservatif, a indiqué les spécialistes, ne peut rien contre ce virus dont la transmission se fait par contact cutané.

 

 

 

Source : soir info

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06/11/2015
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SANTE:LA SCIENCE FAIT FAIT DES MIRACLES,UN REMEDE QUI COMBAT LE CANCER

Des scientifiques découvrent que le jeûne déclenche la régénération des cellules souches et combat le cancer !

Chers lecteurs,

jeune

Un certain nombre d’anciennes pratiques de santé se révèlent être efficaces de plusieurs façons. Des scientifiques ont désormais découvert la première preuve d’une intervention naturelle qui déclenche la régénération des cellules souches d’un organe ou d’un système.

 

L’étude a été publiée dans le numéro de Juin 2014 de Cell Stem Cell par des chercheurs de l’Université de Californie du Sud. La recherche montre que les cycles de jeûne prolongé protègent le système immunitaire contre les dommages et induisent la régénération du système immunitaire. Ils ont conclu que le jeûne fait passer les cellules souches d’un état dormant à un état d’auto-renouvellement.

 

 

Les essais cliniques humains ont été effectués en faisant appels à des patients qui étaient sous chimiothérapie. Pendant de longues périodes de temps, les patients n’ont pas manger, ce qui a réduit considérablement le nombre de leurs globules blancs. Chez la souris, des cycles de jeûne « ont activé le mode régénératif, en changeant les voies de signalisation des cellules souches hématopoïétiques, qui sont responsables de la génération du sang et du système immunitaire. » 

 

« Nous ne pouvions pas prévoir que le jeûne prolongé aurait un effet si remarquable dans la promotion de la régénération des cellules souches du système hématopoiétique. Lorsque vous mourez de faim, le système tente d’économiser l’énergie, et l’une des choses qu’il peut faire pour économiser l’énergie est de recycler un grand nombre de cellules immunitaires qui ne sont pas nécessaires, en particulier celles qui peuvent être endommagées. Ce que nous avons commencé à remarquer à la fois chez l’humain et la souris est que le nombre de globules blancs dans le sang baisse avec un jeûne prolongé. Puis, quand vous alimentez de nouveau, les globules blancs reviennent.  » – Valter Longo, auteur correspondant.

 

Encore une fois, parce que le jeûne réduit considérablement le nombre de globules blancs du sang, cela déclenche la régénération des cellules souches de nouvelles cellules du système immunitaire. Plus important encore, il réduit l’enzyme PKA, qui a été liée au vieillissement, à la progression des tumeurs et au cancer. (1) Il est également important de mentionner que le jeûne protège contre la toxicité dans un essai clinique pilote où les patients ont jeûné pendant 72 heures avant une chimiothérapie.

« La chimiothérapie provoque des dommages collatéraux importants pour le système immunitaire. Les résultats de cette étude suggèrent que le jeûne peut atténuer certains des effets nocifs de la chimiothérapie. » Co-Auteur Tanya Dorff.

Le jeûne est une tradition qui faisait partie intégrante de nombreuses cultures anciennes, des védiques aux bouddhistes et plus, le jeûne ne doit pas être confondu avec la famine. C’est le processus de se restreindre et de contrôler l’expérience sensorielle de l’alimentation et dans le même temps faire en sorte que vous le faites correctement. Lorsque je jeûne, je fais habituellement des jeûnes à l’eau et je le fais depuis près de huit ans maintenant et je me sens toujours bien et plein d’énergie après l’avoir fait.

Plus de recherche

1. Le jeûne aide à se protéger contre les maladies du cerveau:

Des chercheurs de l’institut national du vieillissement de Baltimore ont trouvé des preuves que jeûner pendant un ou deux jours par semaine peut prévenir les effets de la maladie d’Alzheimer et de Parkinson. La recherche a également trouvé que réduire l’apport quotidien de 500 calories par jour pendant deux jours sur sept peut montrer des effets bénéfiques clairs pour le cerveau.

 

2. Le jeûne réduit votre risque de maladie cardiaque et de diabète :

Avoir régulièrement un jour sans nourriture réduit votre risque de maladie cardiaque et de diabète. Des études montrent que le jeûne libère une poussée significative de l’hormone de croissance humaine, qui est associée à l’accélération du métabolisme et à la combustion des graisses. L’élimination des graisses est connue pour réduire le risque de maladie cardiaque et de diabète. Les médecins commencent même à considérer le jeûne comme traitement.

3. Le jeûne traite efficacement le cancer dans les cellules humaines:

Une étude de la revue scientifique du vieillissement a constaté que les patients atteints de cancer qui incluent le jeûne dans leur traitement ont perçu moins d’effets secondaires de la chimiothérapie. Tous les tests effectués jusqu’ici montrent que le jeûne améliore la survie, ralentit la croissance tumorale et limite la propagation des tumeurs. L’Institut national du vieillissement a également étudié un type de cancer du sein en détail afin de mieux comprendre les effets du jeûne sur le cancer.

 

À la suite d’un jeûne, les cellules cancéreuses ont essayé de faire de nouvelles protéines et ont pris d’autres mesures pour continuer de grandir et de se diviser. À la suite de ces mesures, qui à leurs tours ont conduit à un certain nombre d’autres mesures, des molécules de radicaux libres préjudiciables ont été créées, ce qui a démolit le propre ADN des cellules cancéreuses et provoqué leur destruction! C’est le suicide cellulaire, la cellule cancéreuse essaye de remplacer toutes les choses manquantes dans le sang dont elle a besoin pour survivre après une période de jeûne, mais ne peut pas. A son tour, elle tente de les créer et cela conduit à sa propre destruction.

 

Encore une fois, assurez-vous de faire des recherches avant d’essayer cela. Espérons que cela puisse vous emmener plus loin pour examiner la question si vous êtes vraiment intéressé.

 

 

 

Sources:
(1) news.usc.edu
www.scientificamerican.com
www.sciencedaily.com

 

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06/11/2015
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REVELATIONS FRACASSANTES SUR LE SIDA ET EBOLA PAR LE PROFESSEUR CYRIL BRODERICH!

Révélations fracassantes du professeur Cyril Broderick sur la création du SIDA et EBOLA!

Avant de bombarder quelques pays, USA accusé de créer le SIDA et EBOLA?...

Dans quel but envisagerait-on de créer le SIDA et EBOLA si ce n'est de réduire l'humanité en grand nombre?.

Ce Monde continue de nous surprendre...

Les Etats-Unis ont créé le Sida et Ebola d’après le Professeur Cyril Broderick!

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Le professeur Cyril Broderick, de l’Université du Delaware, a récemment publié un travail approfondie sur le plus célèbre site d’information du Liberia, le Liberian Observer, concernant la façon dont le gouvernement étasunien et les puissances occidentales ont produit génétiquement l’Ebola et le sida.

 

Un professeur américain Cyril Broderick explique que les États-Unis ont créé Ebola et le sida, voici l’introduction de son travail :

Chers citoyens du monde, j’ai lu de nombreux articles sur Internet concernant votre sensibilisation ainsi que d’autres articles provenant d’autres sources concernant les victimes au Liberia et dans d’autres pays d’Afrique de l’Ouest, suite à la dévastation humaine causée par le virus Ebola. Il y a une semaine environ, j’ai lu un article publié sur le site Internet des Amis du Liberia qui affirmait qu’il était communément admis que le début de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest avait été causé par le contact entre un enfant de deux ans et des chauve-souris en provenance du Congo. Ce rapport m’a beaucoup déconcerté concernant la couverture du phénomène Ebola, et m’a incité à répondre aux Amis du Liberia, en affirmant que le peuple africain n’est ni ignorant ni crédule, comme l’article le laissait entendre. Une réponse du Dr. Verlon Stone expliquait que l’article n’était pas d’eux, et que les Amis du Liberia ne faisaient que relayer un article. Il m’a alors demandé s’il pouvait publier ma lettre sur leur forum Internet. J’ai donné ma permission, mais je n’ai pas vu cet article être publié. En raison de l’étendue de l’épidémie, des pertes humaines, des craintes, des traumatismes physiologiques et du désespoir de la population du Liberia et des autres citoyens de l’Afrique de l’Ouest, il m’incombe d’apporter une contribution à la résolution de cette situation dévastatrice, qui pourrait se reproduire encore et encore si elle n’est pas affrontée de manière adéquate. Je vais traiter cette situation en cinq points.

Le professeur Cyril Broderick a ensuite développé 5 points, dans le cadre de sa présentation de preuves, qui montrent que ces maladies ont été génétiquement modifiées dans le but de commettre un génocide en Afrique et de ravager un continent entier rempli de précieuses ressources.

Ses postulats principaux sont :

 

  1. L’Ebola est un organisme génétiquement modifié (OGM)
  2. L’Ebola possède un lourd passé, et des tests ont été secrètement réalisés en Afrique.
  3. Des sites en Afrique et en Afrique de l’Ouest ont été aménagés au cours des dernières années pour tester des maladies émergentes, dont l’Ebola.
  4. Le besoin d’action en justice pour obtenir des dédommagements suite aux injustices commises, aux décès, aux blessures et aux traumatismes imposés aux Libériens et aux autres Africains touchés par l’Ebola et d’autres agents viraux.
  5. Les leaders africains et les pays africains doivent prendre les devants pour protéger les bébés, les enfants, les femmes, les hommes et les personnes âgées d’Afrique. Ces citoyens ne méritent pas d’être utilisés comme des cobayes !

Vidéo-archive


Son article peut être consulté ici (en anglais).

@Actumag.info

 

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25/10/2015
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SOS DEPISTAGE DU CANCER DE SEIN!

SOS:Le Dépistage du Cancer de Seins, faites-le avant qu'il ne soit trop tard!

 

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Le mot magique...DÉPISTAGE...ne doit en aucun cas rester un vain mot car rien ne vaut la prévention ou une prise en charge précoce.

 

Femme noire, blanche, rose, jaune ou rouge, nulle n'est à l'abri et reste susceptible d'héberger un jour en son sein ce CANCER que l'on croyait jadis réservé à une certaine population. Une Femme avertie en vaut...un nombre infini, bon dépistage mesdames ! 5 minutes de désagrément ne représentent rien en comparaison de cette lutte aussi douloureuse qu'incessante qu'ont traversé ou traversent encore une amie, un membre de la famille, ou une simple connaissance.Always Love

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Monique Imama

 

 

 

 


20/10/2015
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SOS VACCINATION:Un bébé de 8 mois succombe après 5 vaccinations, parents soyez avertis!

Un Témoignage interpellant pour tous

Ces vaccins qui nous prennent nos êtres chers:Parents, soyez avertis!

«  Ne les autorise pas à tuer mon bébé, maman !»

Tel était le souhait de sa mère. Malheureusement le bébé a déjà succombé! La médecine est-elle digne de confiance de nos jours?. ces vaccins qui nous prennent des êtres chers, parents, cet article doit vous éveiller afin que la prudence se multiplie dans tous les milieux familiers!

Un nourrisson décède après avoir reçu 5 vaccins 

 

Par Augustina Ursino, 

 Cinq vaccins ont tué le petit Sebastian
Il est très dur de continuer à vivre après avoir perdu un petit chéri à la suite de vaccins. C’est avec un cœur bien lourd que nous voulons partager l’histoire de Sebastian Ryan Morley. Sebastian était un petit garçon en parfaite santé dont la vie a pris fin après les vaccinations de routine. La maman et la grand-maman, de Sebastian ont travaillé de nombreuses années dans les domaines de la santé humaine et  les services vétérinaires. Ce qu’elles ont appris au cours de leurs études, leur a fait croire que les vaccins étaient sans danger. Aujourd’hui plus jamais elles ne vaccineront. Nous voulons remercier la famille pour le partage d’une très importante information dont le public n’a généralement pas conscience.  
 
 
 La grand-maman de Sebastian, Valérie Murfin, explique :
   « Le 11 décembre 2002, quand mon petit-fils eut sept mois, il passa le bilan de santé de ses six mois. Ma fille Natasha, sa maman ne fut pas victime d’intimidation pour faire vacciner son petit garçon. Elle ne fit que suivre ce qu’elle pensait alors être un bon conseil, et ce que nous avons tous pensé, à un moment donné, être un bon conseil.   
Au cours de la visité médicale, Sebastian a reçu les vaccins suivants :
 
DTCa, Hib, Hépatite B., soit cinq doses de vaccins.  
 
 Deux jours plus tard, Sebastian a commencé à vomir et à souffrir de jaunisse. Après être devenu tout jaune autour de la bouche, le 15-12-02, sa maman le conduisit chez le médecin parce qu’il était devenu très léthargique. Sur la route qui devait les amener chez le médecin, la maman priait pour que son petit ne décède pas. Ils prirent ensuite la route de l’hôpital St. Peter à Olympia où ils séjournèrent deux jours.   Les tests qui furent effectués montrèrent que Sebastian souffrait de troubles du foie. Une échographie ultérieure montra que son foie s’était arrêté de gonfler et il put finalement rentrer à la maison. La maman fut avertie de veiller à ce qu’il ne se cogne pas la tête à gauche ou à droite pour éviter que des hémorragies se produisent.   Avant de quitter l’hôpital et après que tous les examens furent terminés, le médecin signala à ma fille qu’il reprendrait contact avec elle parce qu’il supposait bien que Sebastian devait souffrir d’hépatite C.
 
Ceci se passait six jours après que Sebastian eût reçu ses vaccins, soit le 17-12-02. »   
 

Le cerveau de Sebastian a commencé à gonfler et ses organes ont cessé de fonctionner  

 

 « Le 20-12, ma fille reçut un coup de fil qui lui fit immédiatement comprendre qu’il y avait urgence. Elle emmena Sebastian aux urgences de l’hôpital des enfants de Seattle. Sebastian y resta plus d’un mois et souffrit beaucoup.   Vers la fin de son séjour, ses yeux ne réagissaient plus et l’un d’eux était terriblement gonflé. Certains de ses réflexes avaient disparu. Je pense que son petit cerveau en avait eu assez de tous ces produits chimiques qu’il avait reçus au cours de son séjour à l’hôpital. Le cerveau de Sébastien avait tellement gonflé que les médecins avaient perdu espoir et voulaient débrancher les machines.   A un moment donné, ma fille sortit de la chambre qu’elle occupait, me regarda et me dit :

 

«  Ne les autorise pas à tuer mon bébé, maman !»

 

- J’ai malheureusement dû lui dire que Sebastian était déjà « parti ». C’est alors que j’ai vu la lumière s’éteindre dans les yeux de ma fille.   On a débranché les appareils et Sebastian mourut en quelque sorte dans les bras de son papa et de sa maman.

Il mourut le 22 janvier 2003 à huit mois et demi, 42 jours après sa visite médicale.

 

Plusieurs organes ont cessé de fonctionner et son petit corps n’a pas pu poursuivre la lutte.   Le moment où je vis l’échographie du cerveau de Sebasian a été le moment le plus terrible de ma vie. C’est après cela que ses organes ont cessé de fonctionner. Il fut alors immédiatement mis sous coma artificiel pendant ses cinq derniers jours. Après les trois premiers jours, les médecins lui avaient laissé la possibilité de se réveiller. Les deux derniers jours, il ne lui fut plus possible de sortir de l’anesthésie.   En fin de compte, s’il n’avait pas eu tous ces vaccins, rien de tout cela ne serait arrivé. 

  

 

  

Ma fille a mis en cause les vaccins qui avaient été administrés à Sebastian. La première réponse du médecin fut qu’elle n’avait jamais vu cela. Plus tard, ce médecin reconnut que le fait que les vaccins ne pouvaient pas être exclus par rapport au drame qui s’était produit. 

  

Le certificat de décès mentionnait : « Insuffisance Hépatique Fulminante d’Etiologie Inconnue », bien que le pathologiste avait clairement précisé : « du fait que cet enfant fut vacciné moins de 24 heures avant l’apparition de ses problèmes, nous ne pouvons PAS exclure que les vaccins puissent être mis en cause. » 

  

Autant dire, comme n’importe qui le ferait remarquer que ce sont les vaccins qui ont été responsables. » 

 

Les vaccins ont été la seule cause plausible de l’insuffisance hépatique de Sebastian 

  

Pendant que Sebastian était dans les services pédiatriques de réanimation de l’hôpital, il fut l’objet de nombreux tests. Il n’existe aucune raison physiologique ou environnementale qui pourrait expliquer son insuffisance hépatique. Quand j’étais à l’hôpital, je n’ai cessé de répéter que Sebastian venait d’être vacciné et qu’il fallait se pencher sur ce problème, mais le personnel de l’hôpital n’y a vu aucun rapport. 

  

Ma fille avait déjà fait le lien avec le vaccin quand Sebastian devint malade et fut transporté à l’hôpital et j’ai voulu m’assurer qu’elle était bien au courant. 

  

De leur côté les médecins de l’hôpital n’ont cessé de nous dire que les vaccins ne produisent jamais de réactions. Si je n’avais pas mis le sujet sur la table, les médecins n’auraient sûrement jamais pensé à mettre les vaccins dans l’équation. 

  

La pédiatre qui s’est occupée de Sebastian a été très utile. C’est elle qui a estimé qu’il était important de signaler les réactions de Sebastian au Système de Notification des Effets Secondaires des Vaccins (VAERS). 

  

Nous avons apprécié qu’elle reconnaisse ce qui était arrivé à mon petit-fils, mais la mort de Sebastian ne l’a pas empêchée de continuer à vacciner d’autres enfants. [...] 

  

Sebastian est devenu plus malade après chaque vaccin contre l’hépatite B 

  

« Quand j’étais à l’hôpital avec Sebastian, j’ai surpris la conversation de deux infirmières dans le hall. 

  

L’infirmière des soins néonataux disait à l’autre infirmière de l’unité de soins intensifs : «  Eh bien, nous venons de vacciner tous les bébés, j’espère que nous aurons assez de lits libres », cela voulait dire que certains bébés prématurés qui se portaient bien et qui venaient d’être vaccinés auraient probablement besoin d’être placés sous respirateurs aux soins intensifs. Donc, parce que l’on avait administré le vaccin contre l’hépatite B à ces prématurés, ils n’étaient brusquement plus en bonne santé ! Les médecins et les infirmières sont beaucoup plus conscients des effets secondaires des vaccins qu’ils voudraient nous faire croire. [...] 

  

Ce n’est que quatre ans après le décès de Sebastian que nous avons été mises au courant qu’il existait un programme d’indemnisation pour les victimes des vaccins. Comme le délai de deux ans pour introduire une plainte était dépassé, nous n’avons pas pu utiliser ce recours. 

  

Ma fille s’est rendu compte qu’elle était enceinte le lendemain des funérailles de Sebastian. Cette petite fille aura bientôt 12 mois en septembre. La petite sœur de Sebastian n’a jamais été vaccinée et est en parfaite santé. La pédiatre qui avait vacciné Sebastian a reconnu ce qui s’était passé et a voulu respecter le choix de ma fille de ne plus vacciner. 

  

Nous pensons que c’est le troisième vaccin contre l’hépatite B qui a provoqué le déclin de la santé de Sebastian. Après chaque vaccin contre l’hépatite B, Sebastian est devenu de plus en plus malade. Après son premier vaccin contre l’hépatite B qu’il a reçu deux jours après sa naissance, il a fait une diarrhée et a eu de la fièvre. Il ne prenait plus le sein et finit par être déshydraté. Alors que son bébé avait à peine trois, quatre jours, ma fille était déprimée parce que déjà dès la première semaine , elle se voyait obligée de lui donner le biberon. 

  

Après avoir reçu son second vaccin contre l’hépatite B avec les autres vaccins de deux mois, le papa de Sebastian appela la mère du petit pour lui dire que le petit était léthargique et avait de la fièvre. 

  

Ce fut ensuite le tour de son dernier vaccin contre l’hépatite B. C’est alors que son foie s’est arrêté de fonctionner. 

  

La raison pour laquelle nous pensons aussi que le vaccin contre l’hépatite B a joué un grand rôle dans ce qui est arrivé est le fait que personnellement je ne peux pas être vaccinée parce que mon système immunitaire imite la maladie si on veut me vacciner pour l’empêcher. Je crois que c’est de moi que Sebastian a hérité de cette caractéristique. Son système immunitaire a reconnu l’hépatite et a tué son foie. [...] 

  

L’histoire de Sebastian n’a jamais été rapportée dans les médias 

  

« Ce n’est pas le type d’histoire qu’un journaliste qui est au services des grands médias va pouvoir publier. A mon point de vue, tant que vous ne connaissez pas une réaction dans votre entourage immédiat, tant que vous n’êtes pas vous-même la victime, vous souhaiterez continuer à croire que ceux qui sont au pouvoir ont vos meilleurs intérêts à cœur. [...] 

  

Les vaccins pour les humains sont tout aussi nocifs que les vaccins pour les animaux 

  

« J’ai travaillé en médecine vétérinaire pendant 26 ans. J’ai administré des milliers de vaccins à des animaux de compagnie. J’ai peu à peu appris que les vaccins provoquaient de nombreux problèmes. Les doutes que j’ai eus à propos des vaccins pendant des années m’ont amenée à quitter cette pratique vétérinaire pour aller travailler dans un domaine spécialisé où il n’était plus question de vacciner. […] 

  

Quand je travaillais à la clinique vétérinaire, j’ai pu constater que 85 à 90% des plus petits chiens en dessous de 20 livres réagissaient au vaccin contre la leptospirose. Les réactions étaient très diverses, certaines meurtrières et durables. Quelques petits chiens mouraient dans les heures qui suivaient la vaccination. Il était bien connu que les Bichons Frisés, les petits chiens à poils blancs pouvaient mourir après la vaccination. De nombreux éleveurs ou propriétaires de Bichons Frisés ne veulent plus vacciner leurs chiens. […] 

  

Le vaccin contre la rage est le pire. Il provoquait de nombreux problèmes de santé, y compris des problèmes du système immunitaire ainsi que des problèmes intestinaux. J’ai personnellement été témoin du fait que certains chiens tombaient morts sur la table juste après avoir été vaccinés contre la rage. 

  

J’ai aussi, chez les chats, vu une énorme incidence de carcinomes au site d’injection. Derrière les épaules où les vaccins étaient injectés, on voyait apparaitre d’énormes tumeurs. Même quand on avait recours à la chirurgie, ces chats finissaient par mourir…J’ai soulevé cette question à la représentante de la firme qui produit ces vaccins parce que j’étais inquiète par ce que j’observais. Il me fut répondu que je devais vacciner le plus bas possible sur les pattes en notant quelle patte avait été vaccinée et avec quel vaccin. De cette manière, me disait-on, si une tumeur apparaissait, il suffisait d’amputer. 

  

A une époque, le vaccin contre la leucémie féline semblait être le coupable. Je crois maintenant que les fabricants de vaccins sont au courant que tous les vaccins peuvent s’avérer problématiques. En général n’importe quel vaccin peut causer des problèmes étant donné qu’ils ne sont pas testés pour leurs potentiels cancérogènes. Maintenant,  je comprends pourquoi on ne peut accuser les vaccins quand un cancer est provoqué. 

  

Dans notre famille, on ne vaccinera jamais plus 

  

Je me suis toujours demandé si les choses n’auraient pas été différentes si j’avais dénoncé, en dénonçant suffisamment fort  les dangers de la vaccination. Ma fille m’a assuré qu’elle faisait confiance à sa pédiatre et  aurait de toute manière suivi ses recommandations. Maintenant plus personne ne sera jamais vacciné dans notre famille… 

  

Aujourd’hui, mon job est de raconter et partager l’histoire de Sebastian tout en luttant contre les obligations que l’on veut nous imposer. Cela prend un temps énorme. Nous devons parler pour ceux qui ne peuvent plus s’exprimer … 

  

Je vous en  prie, mes amis, faites vos propres recherches. Informez-vous des risques d’infection de telle ou telle maladie si vous voulez vraiment vacciner. C’est quand il n’est pas perturbé chimiquement que notre système immunitaire fonctionne le mieux. J’encourage tous ceux qui me liront à partager l’histoire de mon petit-fils, Sebastian. C’est là la seule chose qui peut nous aider à supporter sa mort. 

  

C’est moi qui ai donné le premier bain à Sebastian dans l’évier de la cuisine. C’est la photo que je préfère. Oh, si je pouvais seulement lui donner un bisous. Il aurait 13 ans cette année. 

  

En toute sincérité, il nous manque tellement. Aucun jour ne passe sans qu’il ne soit dans nos pensées. Tous les jours les larmes continuent de couler. Nous donnerions n’importe quoi pour le voir aujourd’hui à l’âge de 13 ans. 

  

Ce fut, pour nous, une chose terrible de le perdre. Comme ma fille le dit c’est un peu comme un film pour lequel on voudrait pouvoir revenir en arrière et réécrire le script. 

  

La suite de ce drame, je l’espère, jettera un peu de lumière sur la face cachée de cette réalité, et contribuera à mettre fin à l’Holocauste Vaccinal. Nous avons perdu à la loterie vaccinale. Nous espérons que quantités d’autres ne seront pas forcés de subir le même sort. 

  

Si une seule personne choisit de se renseigner, si une personne de plus se réveille, si une famille peut échapper à ce drame, alors nous pourrons trouver des bribes de paix. Cela donnera enfin une voix à ce petit garçon qui s’est tu depuis si longtemps.» 

  

Nous t’aimons Sebastian. Jamais nous ne t’oublierons 

  

Love, Ta grand-maman, 

Valérie Murfin 

  

Tu seras toujours présent dans nos cœurs 

  

Sa maman, Natasha, a écrit :  

  

« Tu me manques tous les jours, mon petit chou. Certains jours sont  plus faciles que d’autres, mais la situation est toujours bien difficile à gérer. La vie de mon petit garçon ressemble un peu à un petit film. Il s’est terminé de la manière la plus triste qui soit. Je ne veux pas que ce drame arrive à qui que ce soit d’autre.» 

  

 

Source: Vactruth

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08/09/2015
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SANTE:La Graviola, La Plante qui combat le cancer et dont personne n'en parle

Photo de Isabelle Ndala Kongolo.

La plante qui combat le cancer et dont personne ne parle

L'arbre Graviola vient des profondeurs de la forêt amazonienne.Des recherches en laboratoire ont montré que des extraits de cette plante miraculeuse peut lutter contre le cancer avec un traitement entièrement naturel qui ne provoque ni nausées, ni perte de poids et ni perte de cheveux, de protéger le système immunitaire et d'éviter les infections mortelles, les personnes se sentent plus forts et plus sains tout au long du traitement, plus d'énergie et améliore la vision de la vie.

Sur internet il suffit de taper «antibiotiques naturels» et immédiatement une avalanche de résultats indiquant : " La Graviola fonctionne à merveille, est une plante qui pourrait nous sauver du cancer" 
graviola

Graviola est un petit arbre typique des régions tropicales chaudes caractérisées par de grandes feuilles vertes et des fruits comestibles jaune-vert, vendus sur les marchés d'Amérique du Sud sous le nom de Guanabana et utilisé dans la préparation de certaines boissons.

 

Les résultats ont permis d'identifier les ingrédients actifs spécifiques appelées Annonaceae acétogénines, les protagonistes des propriétés biologiques de cette plante.

Les résultats encourageants observés dans un court laps de temps a conduit à une expérimentation en plein essor qui compte aujourd'hui plus de 600 études avec d'excellents résultats et qui, malheureusement, n'a pas été accompagnée par une utilisation tout aussi valable dans un cadre cliniquement possible.

 

Le fruit ressemble à une fragolone vert et sa saveur est agréable. C'est un fruit naturel et sans effets secondaires. Cette plante a de nombreux avantages anti-cancer. C'est également un agent antimicrobien, contre les infections, les infections bactériennes et fongiques, abaisse la pression artérielle, il est utilisé pour les troubles de la dépression, le stress et nervosité.

 

Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoires indépendants.Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité supérieure à 10.000 médicamenst de chimiothérapie couramment utilisé comme l'Adriamycine.

Le rapport de l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola pouvait cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant intactes les cellules saines, contrairement à la chimiothérapie, qui visent indistinctement toutes les cellules qui se reproduisent activement et provoque des effets secondaires souvent dévastateurs, des nausées et perte de cheveux chez les patients cancéreux.


graviola1


Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola tuer les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

 

Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer.

Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de «l'arbre Graviola seulement tue les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.

 

Une importante société pharmaceutique américaine a alors investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer Graviola. Mais il n'a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L'original tout simplement n'a pas pu être reproduit. Il n'y avait aucune façon dont la société pharmaceutique en question avait été en mesure de protéger leurs propres intérêts, et récupérer l'argent investi dans la recherche. Cette société pharmaceutique a abandonnée le projet et a alors décidée de ne pas publier les résultats de ses recherches.

 

Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.

 

 

Source:voceuniversale.myblog

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23/08/2015
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SANTE:Comment vous débarrasser des cheveux blancs

 

Les cheveux blancs sont habituellement un signe de vieillissement, il est donc compréhensible que vous vouliez vous en débarrasser. Il existe heureusement plusieurs choses à faire pour couvrir les cheveux blancs, pour empêcher l’apparition d’autres cheveux blancs et même pour inverser le processus. Commencez par lire la première étape pour en savoir plus.

Méthode 1 sur 3: Sachez ce que sont les cheveux blancs
  1. Get Rid of White Hairs Step 1 Version 2.jpgSachez que les cheveux blancs sont d’abord d’origine génétique. Bien que la plupart des gens associent le blanchissement des cheveux avec l’âge, il n’y a pas d’âge précis où l’on est censé grisonner.
    • Certaines personnes voient apparaître leurs premiers cheveux blancs dès l’adolescence, tandis que d’autres ne grisonnent qu’après cinquante ans. Comme la présence de cheveux blancs est principalement d’origine génétique, vous risquez de grisonner tôt si c’était aussi le cas de vos parents.
    • L’origine ethnique a aussi un rôle à jouer. La plupart des personnes de race blanche verront leurs premiers cheveux blancs dès l’âge de 35 ans, les Asiatiques vers 40 ans et les personnes noires vers 45 ans.
     
  2. Get Rid of White Hairs Step 2 Version 2.jpg
    2
    Sachez que les cheveux blancs ne sont pas dus au stress. Il est faux de dire que les cheveux blancs proviennent du stress, car aucune théorie scientifique ne le confirme.
    • En réalité, les cheveux blanchissent quand les cellules de pigmentation des cheveux ne produisent plus de mélanine, laquelle donne leur couleur aux cheveux.
    • On a aussi suggéré qu’une accumulation de peroxyde d’hydrogène autour des follicules peut blanchir les cheveux en raison d’une oxydation excessive.
    • Le stress a cependant bien des effets négatifs sur votre santé (y compris une éventuelle chute des cheveux), il est donc bon de réduire les facteurs de tensions.
     
  3. Get Rid of White Hairs Step 3 Version 2.jpg
    3
    Vérifiez que vous ne souffrez pas de pathologie sous-jacente. Quand les cheveux d’une personne blanchissent prématurément, cela peut être le résultat d’un problème immunitaire ou génétique.
    • Certains troubles de santé sont parfois liés au blanchissement des cheveux comme le vitiligo (un dysfonctionnement de la thyroïde) et l’anémie. Un problème de glande pituitaire peut aussi être un facteur de blanchiment des cheveux.
    • De ce fait, vous devriez consulter votre médecin si vos cheveux blanchissent prématurément et si vous souffrez des symptômes liés à ces problèmes de santé.
     

Méthode 2 sur 3: Couvrez vos cheveux blancs

  1. Get Rid of White Hairs Step 4.jpg
    1
    Faites une coloration permanente. N’importe quelle coloration permanente va couvrir complètement les cheveux blancs, ce qui peut être un bon choix si vous avez plus de 40% de cheveux gris.
    • Vous pouvez opter pour une couleur semi-permanente qui ne tient qu’environ deux semaines ou choisir pour des couleurs permanentes qui resteront en place jusqu’à ce que les cheveux aient entièrement repoussé.
    • Si vous cherchez à reproduire la couleur naturelle de vos cheveux, il est sans doute préférable de confier la couleur à un professionnel, car il est difficile de prévoir le résultat d’une couleur faite chez vous et son résultat sur vos cheveux. Bien des personnes profitent cependant de la nécessité d’une coloration pour changer de couleur de cheveux.
    • Si vous décidez de faire une coloration chez vous, évitez les produits de coloration contenant de l’ammoniaque, lequel peut abîmer et dessécher vos cheveux.
    • Sachez qu’une coloration exigera beaucoup d’entretien, car vous devrez refaire une couleur (ou du moins, retoucher les racines) chaque fois que les cheveux ont poussé.
     
  2. Get Rid of White Hairs Step 5.jpg
    2
    Faites-vous des mèches. Les mèches sont un autre moyen de couvrir des cheveux blancs. Sélectionnez des mèches de cheveux blancs pour donner plus de volumes à la chevelure, plutôt que de faire une coloration complète.
    • Les mèches peuvent être discrètes et fines et donner un supplément de couleur et de brillant à vos cheveux ou peuvent être larges et de couleur franche pour donner plus de contraste à la chevelure.
    • Les mèches doivent être réalisées par un coiffeur professionnel et peuvent être assez coûteuses. Elles ont néanmoins tendance à tenir un peu plus longtemps qu’une coloration complète.
     
  3. Get Rid of White Hairs Step 6.jpg
    3
    Essayez le henné. Le henné est une façon naturelle de vous teindre les cheveux. Il ne contient pas de substances chimiques et va en fait traiter les cheveux et leur donner du brillant et de l’élasticité.
    • Le henné donnera de riches nuances de rouge à vos cheveux. Plus vos cheveux sont clairs (ou plus vous avez de cheveux blancs) et plus vive sera la nuance de rouge.
    • Il peut être délicat d’utiliser du henné – il se présente sous la forme d’un bloc qu’il faut dissoudre ou d’une poudre qu’il faut mélanger à du jus de citron, du thé ou du café. Sa texture boueuse doit rester plusieurs heures sur les cheveux pour fixer la couleur.
    • Vous devez savoir que des cheveux traités au henné ne conviennent pas à une coloration chimique ; réfléchissez donc bien avant de traiter vos cheveux au henné, car vous en aurez pour un bon bout de temps !
     
  4. Get Rid of White Hairs Step 7.jpg
    4
    Testez d’autres solutions temporaires. Si vous n’avez pas encore pris la décision de vous teindre les cheveux, il existe d’autres solutions temporaires pour couvrir vos cheveux blancs.
    • Servez-vous d’un coffret de retouches. Cela fonctionne comme un mascara pour les yeux ! C’est excellent pour couvrir des mèches de cheveux gris isolées autour des tempes et sur le front. Cela tiendra jusqu’à votre prochain shampooing.
    • Utilisez un produit qui recouvre les racines. Ce produit fonctionne comme un shampooing sec – il se présente sous forme d’aérosol et peut être vaporisé sur tous les cheveux gris près des racines, où il s’adaptera à votre couleur naturelle. Le produit partira avec le prochain shampooing.
    • Utilisez un shampooing et un après-shampooing colorés. Ces produits permettent de masquer les cheveux gris en offrant une couleur proche de la couleur naturelle de vos cheveux. Après un lavage avec ce type de shampooing et après-shampooing, la couleur devrait tenir lors des trois lavages suivants. [1]
     
  5. Get Rid of White Hairs Step 8.jpg
    5
    Utilisez des rinçages naturels. Il existe bien des remèdes maison à votre disposition qui impliquent de rincer les cheveux avec une combinaison de différentes substances, lesquelles peuvent éventuellement raviver la couleur. L’efficacité de ces méthodes reste à voir, mais elles valent la peine d’être essayées !
    • Le romarin et la sauge : Faites bouillir une demi-tasse de romarin et une demi-tasse de sauge dans une casserole pendant environ 30 minutes. Filtrez les plantes séchées puis laissez refroidir le liquide. Versez le liquide refroidi sur vos cheveux et sur le cuir chevelu et laissez vos cheveux sécher à l’air libre, puis éliminez la décoction en vous servant d’un shampooing naturel. Répétez l’opération une fois par semaine. [2]
    • La groseille : Faites bouillir des groseilles rouges dans de l’huile de noix de coco jusqu’à ce qu’elles noircissent. Laissez refroidir un peu la mixture puis appliquez-la sur les cheveux et le cuir chevelu en la faisant pénétrer avec vos doigts. Laissez agir pendant 30 minutes puis rincez.
    • La noix : Jetez quelques cerneaux de noix dans une casserole remplie d’eau. Faites bouillir pendant 15 minutes, puis laissez refroidir. Retirez les noix puis rincez-vous les cheveux avec l’eau de noix et laissez sécher vos cheveux à l’air libre avant de faire un shampooing. Répétez l’opération deux fois par semaine. [3]
     
  6. Get Rid of White Hairs Step 9.jpg
    6
    Acceptez vos cheveux gris. Envisagez d’accepter vos cheveux gris, au lieu d’essayer de les couvrir ou de vous en débarrasser ! Les cheveux blancs peuvent avoir de l’allure, à partir du moment où vous en prenez bien soin. Cela vous fera aussi économiser pas mal de temps et d’argent.
    • Gardez une coupe de cheveux actuelle. Bien des femmes (et des hommes) associent les cheveux blancs à un certain âge, mais c’est souvent dû à l’allure démodée de la coupe de cheveux. Offrez-vous une coupe moderne chez un professionnel de la coiffure – quelque chose comme un carré structuré ou une frange originale. Cela vous rajeunira. [4]
    • Gardez des cheveux lisses. Les cheveux gris et blancs ont tendance à se dessécher et à friser par plaques, ce qui peut vous vieillir. Gardez vos cheveux bien lisses et brillants en vous servant de shampooings hydratants et de traitements des cheveux à base d’huile (comme l’huile d’argan et de noix de coco) ainsi qu’en utilisant un fer à lisser pour corriger les mèches qui rebiquent.
     

Méthode 3 sur 3: Empêchez l’apparition des cheveux blancs

  1. Get Rid of White Hairs Step 10.jpg
    1
    Mangez équilibré. Le fait d’avoir une alimentation saine et équilibrée joue un rôle important au niveau de vos cheveux ; assurez-vous donc que votre organisme reçoive tous les nutriments et vitamines bons pour les cheveux dont il a besoin pour prévenir la survenue des cheveux blancs.
    • Assurez-vous de manger suffisamment de protéines maigres (les cheveux sont à base de protéines), de fruits, de légumes et de céréales complètes. Buvez suffisamment d’eau pour vous garder hydratée.
    • Assurez-vous plus précisément de prendre suffisamment de vitamine B12 et de zinc, si vous pensez ne pas en consommer assez de manière naturelle via votre alimentation.
    • Assurez-vous aussi de prendre suffisamment de vitamine A, C et E et des sels minéraux comme le cuivre, le fer et l’acide folique.
    • La biotine (nommée aussi parfois vitamine H) est une autre vitamine importante pour la santé et la couleur naturelle des cheveux. On en trouve dans des aliments comme le concombre, l’avoine et les amandes. [5]
     
  2. Get Rid of White Hairs Step 11.jpg
    2
    Ne vous servez pas de produits capillaires de mauvaise qualité. Ces produits sont pleins de substances chimiques comme les sulfates, le chlore et l’ammoniaque, lesquels dessèchent les cheveux et fragilisent les racines, ce qui encourage la survenue des cheveux blancs. Vous devriez de ce fait vous tenir le plus possible à l’usage de produits les plus naturels qui soient.
     
  3. Get Rid of White Hairs Step 12.jpg
    3
    Massez-vous régulièrement la tête. Le massage du cuir chevelu permet de stimuler la circulation sanguine, ce qui assure la pousse saine des cheveux. Massez-vous le cuir chevelu si possible avec une huile naturelle comme l’huile d’amandes douces ou l’huile de noix de coco, ce qui permet d’hydrater les racines en profondeur.
     
  4. Get Rid of White Hairs Step 13.jpg
    4
    Arrêtez de fumer. Selon une étude, les fumeurs ont quatre fois plus de chances d’avoir des cheveux gris que les non-fumeurs. Fumer peut aussi ternir les cheveux, les rendre cassants et encourager leur chute.
     
  5. Get Rid of White Hairs Step 14.jpg
    5
    Prenez du Melancor. Le Melancor est un supplément diététique qui régénère la couleur naturelle des cheveux en stimulant la production de mélanine dans les follicules capillaires. Ce produit permet de redonner de la couleur aux cheveux gris et empêche aussi la formation de nouveaux cheveux gris. Il faut prendre un comprimé par jour sur une assez longue période (plusieurs semaines) ; il ne comporte aucun effet secondaire. On peut l’acheter en ligne.

Conseils

  • Le henné est meilleur pour la santé des cheveux que les colorations, car il est issu d’une plante et donne à vos cheveux plus de force, de brillant et de volume.
  • Acceptez-vous telle que vous êtes ! Les cheveux ne sont pas ce qui compte le plus dans la vie, vous avez votre famille et vos amis qui vous aiment, quelle que soit votre apparence ! *Utilisez un bon après-shampooing après le lavage des cheveux, cela donnera plus de brillant et de force à vos cheveux et réduira les colorations qui peuvent les abîmer.
  • Choisissez une couleur naturelle qui soit en accord avec votre peau et votre style, si vous comptez vous teindre les cheveux.
  • Laissez faire un spécialiste dans un salon de coiffure si vous ne savez pas comment faire pour vous colorer les cheveux.
  • Massez-vous chaque semaine le cuir chevelu avec une huile naturelle et laissez agir pendant une heure, puis rincez. Cela vous permettra de garder des cheveux sains et naturels.

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23/07/2015
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Quand reprendre l'activité sexuelle après votre accouchement.

Apres l’accouchement, quand reprendre l’activité sexuelle ?

On peut se demander si l’envie de refaire l’amour peut réellement survenir chez la femme juste après la naissance d’un enfant. A cette question la réponse est positive ; bien que difficile, la reprise de la vie sexuel est importante pour le couple et le bébé aussi. 

Apres l’accouchement, quand reprendre l’activité sexuelle ?
La venue au monde d’un enfant dans un couple est toujours source de bouleversement temporaire ou complète de la vie du couple, même jusque dans ses habitudes intimes. Au terme de plusieurs mois de grossesse à sortir de malaises et autres, la vie intime du couple doit bien reprendre, mais à quel moment? 

Douleurs, fatigue mais aussi appréhension, la reprise de la vie sexuelle après un accouchement n'est pas si simple. Et, pourtant essentielle pour le couple, mais aussi pour l'enfant qui, même tout petit, perçoit l'amour entre ses parents. 

Pour de nombreux couples, la reprise de l’activité sexuelle est subordonnée à l’arrêt des saignements de la nouvelle maman. Après l'accouchement, les saignements (les lochies), durent de trois semaines à deux mois selon les femmes. Le désir de la jeune maman est donc au plus bas (cela est lié à ses hormones : la prolactine augmente considérablement bloquant le désir sexuel pendant environ trois mois), et d’ailleurs une fois sur deux, les rapports sexuels reprennent uniquement à la demande de l'homme. 

3 à 4 semaines pour "cicatriser" 

La prolactine est aussi l'hormone de l'attachement : elle aide chimiquement une maman à s'attacher à son enfant. La fatigue, liée en particulier au manque de sommeil, a elle aussi tendance à abaisser le désir sexuel. Et puis, la sécheresse vaginale systématique plusieurs semaines après un accouchement est due à la baisse des hormones estrogènes... Le col de l'utérus restant ouvert, il est déconseillé d'avoir des relations sexuelles après l’accouchement pendant au moins trois à quatre semaines, de manière à éviter les infections. Des bactéries risqueraient de s'introduire dans le vagin et de remonter plus facilement dans l'utérus. 

Ensuite, quand on en a envie 

C'est au nouveau père de s'adapter à la jeune maman. Néanmoins, il n'est pas indispensable d'attendre un désir sexuel torride pour recommencer à s'aimer physiquement. Pensez que « l'appétit vient en mangeant ». Des relations sexuelles agréables contribuent à relancer le désir. 

La sexualité peut recommencer sans pénétration vaginale, et c'est le moment d'explorer toutes les autres caresses. Lors des premières pénétrations vaginales, attention : une douleur supportée en serrant les dents a souvent pour conséquence de finir par bloquer la sexualité, à cause de la peur d'avoir mal la fois suivante. Il ne faut donc jamais accepter de rapports douloureux. Et penser à utiliser beaucoup de lubrifiant au début. 

Incitez, dès la naissance, le papa à prendre son enfant dans les bras très souvent, à le câliner, lui donner son bain. Le contact corporel fréquent avec le nouveau-né fait monter le taux de prolactine masculin et diminue le désir sexuel. 
De cette manière, il peut mieux s'adapter à son épouse et attendre qu'elle soit à nouveau disponible !
 
 
La Femme Africaine FA
@Gabonlibre
 
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10/07/2015
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SANTE:Comprendre l'Asthme, symptômes et diagnostics

L'ASTHME.Symptômes et diagnostics

Asthme éducation thérapeutique

Des symptômes au diagnostic

 
La maladie se manifeste par une toux, des sifflements dans la poitrine, une gêne respiratoire, une oppression thoracique... Comment distinguer ces symptômes d'une infection respiratoire ou d'une maladie cardiovasculaire chez les seniors ? Comment savoir si mon enfant est asthmatique ?... Les réponses à vos questions.Depuis 20 ans, le nombre d'asthmatiques augmente régulièrement. On estime qu'un futur asthmatique naît en France toutes les dix minutes. Actuellement, on compte en France plus de 3 millions de malades. 
  •  
asthme est extrêmement fréquent chez l'enfant, notamment chez les nourrissons. Un diagnostic précoce permet d'éviter une aggravation de la maladie et la persistance des symptômes. Les armes : un traitement adapté et quelques aménagements qui lui permettront de vivre normalement.
En une dizaine d'années, la fréquence de l'asthme a doublé dans la plupart des pays industrialisés. Les enfants sont les premières victimes de cette recrudescence, puisque l'on admet que dans la moitié des cas, la maladie débute avant l'âge de cinq ans. Cela fait de l'asthme la plus fréquente des maladies chroniques de l'enfant. 

Un enfant sur dix est concerné

Asthme enfant
De plus, il est fort probable qu'un grand nombre de formes légères restent méconnues. Une étude menée dans des écoles parisiennes en 1994, indiquaient que 6,1 % des élèves de CE2 avaient un asthme connu et que 10,9 % avaient régulièrement des symptômes respiratoires depuis au moins un an, bien que le diagnostic d'asthme n'ait jamais été posé. Par ailleurs, la mesure du débit expiratoire de pointe (reflet de l'obstruction bronchique, caractéristique de l'asthme) avait révélé des résultats anormalement bas pour 13,4 % des enfants. Une enquête menée en 1998 par la Fédération française des sociétés d'assurance indiquait que 12,9 % avaient été ou étaient asthmatiques et que 9,8 % des enfants avaient un asthme actuel. On peut retenir de l'ensemble des données qu'environ un enfant sur dix a un asthme, les garçons étant deux fois plus souvent atteints que les filles. En 1997, 1992 décès par asthme ont été recensés en France : 13 chez des enfants de moins de 15 ans et 39 dans la tranche d'âge de 15 à 24 ans. 

Pensez à l'asthme !

Quand évoquer la présence d'un asthme chez votre enfant ? Il faut y penser : 
  • S'il a parfois une respiration sifflante ; 
  • S'il éprouve une gêne respiratoire après un effort ; 
  • S'il a des accès de toux sèche, surtout nocturnes ; 
  • Si ces rhumes, une fois guéris, ont tendance à se prolonger de longs épisodes de toux ; 
  • Et a fortiori s'il a déjà eu une crise typique. 
A partir de 3-4 ans, il est possible de confirmer le diagnostic par des épreuves fonctionnelles respiratoires, afin de rechercher une hyperréactivité bronchique. Un bilan allergologique permettra de repérer un terrain allergique, presque toujours présent chez les enfants asthmatiques. Chez le nourrisson, le diagnostic est plus délicat, car les épreuves fonctionnelles respiratoires sont difficiles. Le bilan allergologique permet d'identifier le terrain allergique, très évocateur. L'évolution permettra de confirmer le diagnostic, lorsque les épisodes de sifflements respiratoires se répètent, souvent à l'occasion d'une infection, bronchiolite notamment. On parle d'asthme à partir de trois épisodes de difficultés respiratoires avec sifflements, avant l'âge de deux ans. Un diagnostic précoce de ces asthmes du nourrisson est essentiel pour pouvoir mettre en route un traitement efficace. Une telle prise en charge évitera une détérioration des alvéoles pulmonaires, dont le capital est fixé définitivement à l'âge de trois ans. 

Une évolution le plus souvent favorable

La plupart des asthmes de l'enfant vont se résoudre spontanément ou sous traitement. On considère que seul un tiers environ des petits enfants asthmatiques auront encore des symptômes asthmatiques à 30 ans. Dans 5 % environ des cas, l'asthme a persisté tout au long de l'enfance, jusqu'à l'âge adulte. Il s'agit généralement de formes d'emblée sévères, entraînant un absentéisme scolaire et, parfois, un ralentissement de la croissance. Plus souvent l'asthme est modéré, disparaît avant la puberté, pour réapparaître éventuellement ultérieurement. Ces récidives sont favorisées par les infections respiratoires et par le tabagisme, qu'il soit actif ou passif. A l'adolescence, l'asthme est plus rare que dans la petite enfance. Il faut signaler à cet âge l'influence néfaste que peut avoir le tabagisme et la difficulté qu'éprouvent souvent les adolescents à suivre régulièrement un traitement de fond. Pour éviter un rejet trop brutal des contraintes liées à la maladie, il est important d'habituer les enfants dès la pré-adolescence à gérer leur traitement tout en leur laissant une certaine autonomie dans leur relation avec le médecin. 

Traiter précocement

Le traitement doit être le plus précoce possible pour éviter l'aggravation. Un facteur allergique étant présent chez 90 à 95 % des enfants, il est indispensable de diminuer le plus possible la présence d'allergènes. Pour ce faire, évitez les moquettes et les animaux de compagnie (en tout cas dans la chambre de l'enfant), utilisez des housses anti-acariens, faites la chasse à la poussière, aérez bien le domicile... De la cave au grenier, quelques mesures de prévention vous permettront de limiter les manifestations allergiques et les crises. Découvrez notre application interactive. Parfois une désensibilisation est possible lorsqu'un allergène précis a pu être identifié. Il est indispensable aussi de lutter contre les facteurs aggravants que sont le tabagisme passif et les infections virales. Le traitement de la crise fait appel aux bêta 2-mimétiques inhalés, à raison de deux à quatre bouffées. Pour les petits enfants, l'utilisation d'une chambre d'inhalation est nécessaire pour permettre des inhalations efficaces. Si la crise ne cède pas rapidement ou s'il y a des signes de gravité, notamment si l'enfant n'arrive pas à parler, un médecin doit être appelé sans délai. Contrairement à ce que l'on observe à un âge plus avancé, l'asthme est le plus souvent intermittent chez l'enfant, surtout chez le petit enfant. Mais un traitement de fond est, malgré tout, souvent nécessaire. Il fait d'abord appel aux antihistaminiques et aux cromones plus efficaces à cet âge que chez l'adulte. Les corticoïdes inhalés sont réservés aux formes plus intenses, résistants à ce traitement. Ils ont l'immense avantage de ne pas entraîner les effets secondaires des corticoïdes par voie générale, sur la croissance notamment. Lorsque les enfants sont en âge de maîtriser leur respiration, les parents doivent apprendre à utiliser le débitmètre de pointe pour pouvoir surveiller l'état respiratoire et repérer rapidement une aggravation de la maladie nécessitant une adaptation du traitement. 

Prévenir l'allergie

Le risque d'allergie et, par voie de conséquence, d'asthme, peut être en partie réduit par quelques mesures préventives : 
  • En diminuant la quantité d'allergènes dans les habitations ; 
  • En évitant une diversification trop précoce de l'alimentation (pas d'aliments solides avant six mois, pas d'oeuf avant 12 mois) ; 
  • En essayant de prévenir ou en traitant rapidement les infections respiratoires virales précoces, bronchiolites notamment. 
Ces précautions sont d'autant plus importantes que les parents sont eux-mêmes allergiques et risquent d'avoir transmis leur terrain allergique à leur enfant. 

Encourager le sport

Enfin, chez le grand enfant et l'adolescent asthmatique, il est important de ne pas réduire les activités physiques. Au contraire la pratique d'un sport permet de développer la capacité respiratoire. En cas d'asthme lié à l'effort, il suffit que l'enfant prenne son traitement avant l'exercice. Il est important de souligner que, dans la grande majorité des cas, l'asthme n'empêche pas les enfants de mener une vie tout à fait normale, sous réserve de quelques précautions. 
Dr Chantal Guéniot

L'appareil respiratoire:Le Poumon

L'appareil respiratoire a pour rôle de fournir de l'oxygène au sang et d'expulser du corps des déchets gazeux, constitués principalement par le dioxyde de carbone. Les structures supérieures de l'appareil respiratoire sont associées aux organes sensoriels de l'odorat et du goût (dans la cavité nasale et dans la bouche) et à l'appareil digestif (de la cavité buccale au pharynx).Les organes respiratoires se séparent des autres au niveau du pharynx et deviennent les voies respiratoires, composées du larynx, de la trachée et des bronches.
 L'appareil respiratoire
 
 L'appareil respiratoireLes bronches souches sont au nombre de deux et partent de l'extrémité inférieure de la trachée, au niveau de la bifurcation trachéale, pour pénétrer ensuite dans le hile des poumons gauche et droit. Les poumons contiennent des conduits plus fins, ou bronchioles, chargés de transporter l'air à l'unité fonctionnelle des poumons : l'alvéole.                       
  Là, dans les milliers de minuscules chambres alvéolaires que contiennent les poumons, l'oxygène apporté par l'inspiration traverse la membrane de la paroi alvéolaire pour être transféré vers les globules rouges contenus dans les capillaires. Inversement, les déchets gazeux passent des globules rouges à l'air des alvéoles, afin d'être éliminés par l'expiration. Le diaphragme , muscle large et fin, situé sous les poumons, assure avec les muscles intercostaux et abdominaux, la contraction et l'expansion de la cage thoracique permettant la respiration. Les côtes servent de support structural à l'ensemble des éléments thoraciques, et les membranes de la plèvre assurent la lubrification des organes respiratoires, évitant les frottements pendant la respiration.
 Les poumons:Ces organes spongieux, volumineux, coniques, sont vos poumons. Ils jouent un rôle vital puisqu'ils sont chargés de l'apport en oxygène de votre organisme. L'oxygène permet au corps de brûler son carburant, c'est-à-dire les nutriments contenus dans l'alimentation. Les poumons sont divisés en deux moitiés, droite et gauche. Le poumon droit a trois lobes, tandis que le gauche en a deux et dispose d'un emplacement pour le coeur. Les poumons d'un adulte peuvent contenir environ trois litres d'air. Puisque les poumons n'ont pas de muscles eux-mêmes, ce sont les muscles thoraciques qui sont chargés du travail de la respiration. La majorité de ce travail est assurée par un muscle fin situé à la base des poumons et appelé le diaphragme. La respiration est un phénomène automatique, présent même lorsque l'on est inconscient. Au repos, le rythme respiratoire d'un adulte moyen est de 16 respirations par minute. L'air que l'on inspire descend dans la trachée, jusqu'aux bronches, qui se ramifient pour pénétrer dans le poumon droit ou gauche. Les bronches elles-mêmes se ramifient en plusieurs bronchioles, qui se divisent en une demi douzaine de canaux alvéolaires, qui sont d'étroits conduits s'ouvrant dans les sacs alvéolaires. Cette structure ramifiée unissant la trachée, les bronches, les bronchioles, les canaux alvéolaires et les sacs alvéolaires est souvent appelée "arbre bronchique", du fait de sa ressemblance aux branches et aux feuilles d'un arbre à feuilles caduques.
 
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29/06/2015
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Sante:Quelques conseils pour le Diabète et quelques facteurs de risques á éviter

Diabète : mangez équilibré et bougez 

Mal bouffe, prise de poids, sédentarité. Le diabète est une maladie de plus en plus fréquente, une maladie insidieuse qui s'installe sans crier gare et passe longtemps inaperçue. Pourtant ses conséquences peuvent être dramatiques. Si les traitements sont bien sûr indispensables pour prévenir les complications les plus graves, une bonne hygiène de vie permet de limiter les risques.Le diabète, vous connaissez ! Mais peut être croyez-vous encore que cette maladie est réservée à quelques personnes. Détrompez-vous, plus de 2 millions de Français sont concernés, comme 150 millions de personnes à travers le monde. Et ces chiffres affolants ne cessent d'augmenter, à tel point qu'on parle aujourd'hui de véritable épidémie. diabete-equilibre-alimentaire-bougez2
Il faut savoir que cette maladie se caractérise par un excès de glucose dans le sang, l'organisme ne sécrétant pas assez d'insuline pour assimiler le sucre présent dans les aliments. Si le diabète de type 1 nécessite un traitement quotidien par de l'insuline, le diabète de type 2, qui concerne neuf patients sur dix, peut être traité par des médicaments, une alimentation équilibrée et une activité physique régulière. Le traitement du diabète de type 2 commencera par un antidiabétique oral seul. Des injections d'insuline viendront le compléter ou le remplacer si le contrôle de la glycémie n'est pas satisfaisant. La diététique, partie intégrante du traitementLa progression du diabète est très largement liée à l'évolution de nos modes de vie, aussi la modification de nos comportements fait partie intégrante du traitement de cette maladie et ce quel que soit le traitement médicamenteux. L'idée n'est pas toujours facile à admettre car aux premiers stades de la maladie le patient ne ressent aucun symptôme et mesure mal l'intérêt d'un bouleversement dans ses habitudes. D'autant plus que les résultats ne pourront être immédiatement perceptibles.
 
Et pourtant, il en va de l'évolution vers des formes plus graves. Mais qui dit modification des comportements ne signifie pas régime draconien ! Une alimentation équilibrée et diversifiée est la clé d'une bonne prise en charge du diabète et permettra de retarder les complications. Si les diabétiques ne parviennent pas utiliser à bon escient le sucre pour faire fonctionner leur organisme, c'est pourtant essentiellement aux graisses qu'il va falloir s'attaquer dans le régime alimentaire. Aussi étonnant que cela puisse paraître, les aliments gras sont aussi nocifs pour les malades que les aliments qui élèvent le sucre dans le sang, car ils favorisent les risques cardiovasculaires. Et il faut savoir que ces risques sont majeurs chez les personnes diabétiques. En effet la probabilité de développer un infarctus du myocarde est multipliée par deux à quatre chez un diabétique et ces infarctus sont deux fois plus souvent mortels. De même les diabétiques sont deux fois plus enclins que les personnes non diabétiques à développer une artérite des membres inférieurs. Enfin, ces patients sont plus souvent victimes d'accidents vasculaires cérébraux et ces problèmes sont, en général là aussi, plus graves que chez les non diabétiques. D'où l'intérêt d'une vie saine associant mesures diététiques et activités physiques. 
 

Quelques règles de bonnes conduites

Manger équilibré et pratiquer régulièrement une activité physique sont des attitudes que devraient adopter tout un chacun, et pas seulement les personnes diabétiques.
 
Mais pour les malades plus encore que pour les autres, quelques règles s'imposent : 

 

  • Ne sautez pas de repas et évitez le grignotage ; 
  • Pour cuisiner, favorisez autant que possible les modes de cuisson sans graisse et remplacer les graisses animales en particulier le beurre par des matières grasses d'origine végétale. Goûtez à la cuisine vapeur ! 
  • Limitez votre consommation de viandes grasses, de charcuterie, préférez les viandes maigres (lapin, poulet, canard) et mettez du poisson au menu ; 
  • N'associez pas plusieurs aliments gras dans un même repas ; 
  • Répartissez la consommation de glucides entre les différents repas ; 
  • Consommez des fruits et des légumes riches en fibres, cinq par jour ! Sans oublier les légumes secs et les céréales complètes ; 
  • Interdisez-vous les boissons sucrées ; 
  • Si vous êtes en surpoids, essayez de perdre quelques kilos, cela favorisera l'action de l'insuline ; 
  • Arrêtez de fumer ; 
  • Et enfin bougez ! Faites du sport. Les sports  d'endurance tels que la marche, la course à pieds ou le vélo sont recommandés d'autant plus s'ils sont pratiqués régulièrement. Si vous avez des doutes sur l'activité physique que vous souhaitez pratiquer, parlez-en à votre médecin. 
N'oubliez pas d'emporter sur vous des produits sucrés à prendre en cas d'hypoglycémie. 

Ces différentes mesures ne doivent pas vous faire oublier qu'il est indispensable de suivre scrupuleusement votre traitement et de consulter régulièrement votre médecin. Ne cachez pas votre maladie, au contraire prévenez votre entourage, vos collègues du bureau et expliquez-leur la conduite à tenir en cas de malaise. 

 

Les facteurs de risques du diabète:Peut-on être diabétique sans le savoir ?

 
Silencieux et discret, le diabète est une maladie qui peut longtemps passer inaperçue. Ainsi, cinq ou dix ans peuvent s'écouler entre son apparition et son diagnostic, qui peut être fait à l'occasion d'une complication. Pouvez-vous être diabétique sans le savoir ? Comment améliorer le dépistage ?
Lors de la digestion, nos aliments sont transformés en sucre, carburant indispensable aux cellules de l'organisme. Hormone produite par le pancréas, l'insuline régule la quantité de sucre stockée ou "brûlée" dans les cellules. Le diabète est ainsi lié à une insuffisance de sécrétion ou d'action de l'insuline. 

Priorité au dépistage

Dépister le diabète
Se caractérisant par un excès permanent de sucre dans le sang, le diabète résulte de facteurs génétiques et environnementaux. Mais peut-on être diabétique sans le savoir ? Oui, car longtemps le diabète est indolore et insidieux. Il est en général diagnostiqué seulement cinq à dix ans après son démarrage. Selon les spécialistes, entre 300 000 et 800 000 personnes souffriraient de diabète sans le savoir en France. Dans cette population, on note plus facilement une surcharge pondérale dans plus de la moitié des cas, une sensibilité génétique (l'existence d'un père ou d'une mère diabétique multiplierait le risque de maladie par deux), une sédentarité, une hypertension et un stress. Certains experts américains de l'American Diabetes Association recommandent ainsi un dépistage chez ces sujets à risque : 
  • Individus de plus de 45 ans ; 
  • Plus tôt chez des patients qui : 
    • sont obèses ; 
    • Ont un parent diabétique de premier degré ; 
    • Sont membres d'une origine ethnique particulièrement à risque (afro-américains, hispaniques, indiens, asiatiques…) ; 
    • Ont donné naissance à un bébé de plus de 4 kg ou qui a été diagnostiqué avec du diabète gestationnel ; 
    • Sont hypertendus ; 
    • Ont un taux de cholestérol de plus de 35 mg/dl ou de triglycérides de plus de 250 mg/dl ; 
    • présentent une intolérance au glucose ou une glycémie à jeun anormale. 
Le dépistage peut se faire grâce à une simple prise de sang ou une petite piqûre au bout du doigt (glycémie capillaire). Une glycémie supérieure à 1,26 g/l (mesurée à deux reprises) est synonyme de diabète.

Quelques signes peuvent alerter le médecin :

  • fatigue constante,
  • bouche sèche,
  • infections récidivantes et durables,
  • soif et envie d'uriner importantes…

Diabète : Un enfant qui boit et urine beaucoup doit consulter

 
En progression chez l'enfant, le diabète de type 1, anciennement appelé insulino-dépendant, est encore souvent diagnostiqué trop tardivement, lorsque le jeune patient souffre d'une acidocétose dont les conséquences peuvent être fatales. Pour sensibiliser les parents à l'urgence de la prise en charge, la campagne Diabète Enfant et Adolescent est lancée le 14 novembre 2010, lors de la Journée mondiale du diabète.Votre enfant se met à boire énormément, sans que sa soif ne semble étanchée ? Il se rend souvent aux toilettes et se remet à faire "pipi au lit" ? Peut-être souffre-t-il d'un diabète de type 1, comme 15 000 autres enfants de moins de 15 ans. Pour lever le doute, consultez rapidement un médecin qui procédera à un dépistage de sucre dans ses urines. Avec ce test simple, vous éviterez à votre enfant des complications potentiellement graves.

15 000 jeunes diabétiques en France

Campagne diabète enfant et adolescentLe diabète de l'enfant et de l'adolescent est une maladie auto-immune au cours de laquelle les cellules β du pancréas ne fabriquent plus d'insuline. Cette carence en insuline provoque l'accumulation de sucre dans le sang. Au-delà d'un certain seuil et en l'absence de traitement, l'hyperglycémie va provoquer la production de corps cétoniques par le foie : c'est ce qu'on appelle la cétose. Elle se manifeste par l'apparition de nausées, de vomissements et de douleurs abdominales. L'acidocétose correspond à l'acidification du sang due à l'accumulation excessive de ces corps cétoniques. Cet état provoque une fatigue intense, des troubles respiratoires et des troubles de la conscience. Il menace surtout le pronostic vital de l'enfant.A ce jour, on estime que 15 000 jeunes Français de moins de 15 ans souffrent d'un diabète, pour la grande majorité de type 1 (95 %). Chaque année, on dépiste 1 700 nouveaux cas, mais le plus inquiétant aux yeux des spécialistes, c'est que cette incidence s'accroît particulièrement vite chez les tout-petits, chez lesquels elle est deux fois plus élevée que la moyenne (+ 7,59 % par an, contre 3,34 %). Au total, les moins de 4 ans représentent 1/4 des cas de diabète de l'enfant et de l'adolescent, les 5-9 ans 33 % et les 10-14 ans 37 %.Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer cette augmentation du nombre de cas, dont la plus solide est l'hypothèse infectieuse, explique le Dr Myriam Rosilio, directrice médicale de Lilly Diabète France. "L'agression par un pathogène induirait une sur-réaction des mécanismes de défense et le développement des auto-anticorps. Dans les pays du Nord, où la prévalence du diabète de type 1 est élevée, les chercheurs ont établi un lien entre la fréquence des infections par entérovirus et le diabète".

40 % des enfants arrivent à l'hôpital en acidocétose

Si l'on ne peut pas encore prévenir le diabète de type 1, on peut toutefois prévenir les complications de l'hyperglycémie par une vigilance accrue à l'égard de ses premières manifestations. Selon l'Observatoire National du Diabète, dont les résultats reposent sur les  données de 139 services de pédiatrie, les deux signes révélateurs d'un diabète sont la polyurie (l'envie fréquente d'uriner) et la polydipsie (une soif intense) dans 98 % des cas. L'énurésie ("pipi au lit") ne survient que dans 40 % des cas et n'est pas caractéristique chez le petit enfant, tandis que la fatigue et la perte de poids surviennent plus tard, indique Carine Choleau, chargée de missions scientifiques à l'Aide aux Jeunes diabétiques (AJD).Or, dans 40 % des cas, l'enfant est conduit aux urgences alors qu'il présente déjà une acidocétose. Cette complication grave du diabète, qui peut évoluer vers un coma voire un décès, est d'autant plus rapide que l'enfant est jeune, survenant parfois en quelques heures. "L'acidocétose est plus importante chez les enfants âgés de 0 à 4 ans, qui passent plus rapidement du stade d'hyperglycémie à celui d'acidocétose. En revanche, les cas sévères sont plus fréquents chez les 10-14 ans, chez lesquels les symptômes alarment peu les parents", précise Corine Choleau.

Campagne Diabète Enfant Adolescent 2010-2011

Forte de ce constat, l'Aide aux Jeunes Diabétiques (AJD) a donc décidé de lancer une campagne nationale d'information 2010-2011 "pour prévenir l'acidocétose lors du diagnostic de diabète chez l'enfant et l'adolescent". Car plus le diagnostic de diabète est posé tôt, plus il est facile d'initier une prise en charge et un traitement par insuline dans de bonnes conditions, en dehors d'un contexte d'urgence vitale, extrêmement stressant pour les parents.Intitulée "Campagne Diabète Enfant et Adolescent", elle est soutenue par les ministères de la Santé et de l'Éducation nationale, ainsi que par la Fédération de la Mutualité Française, les Ordres des médecins, pharmaciens et infirmiers.  Elle s'adresse à la fois aux parents, qui n'ont pas suffisamment conscience de l'urgence de la prise en charge, mais aussi aux médecins, pédiatres et professionnels de santé de l'éducation nationale, pour qu'ils réagissent rapidement en pratiquant une mesure de la glycosurie et de la glycémie, et en dirigeant immédiatement les familles vers les centres hospitaliers.
Amélie Pelletier
Créé le 08 novembre 2010 Sources :- Conférence de presse organisée par l'Aide aux Jeunes Diabétiques, en partenariat avec le laboratoire Lilly Diabète France, novembre 2010 
- Observatoire  National du Diabète. Réseau pédiatrique AJD.

 

Aude Maréchaud
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27/06/2015
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SANTE:10 conseils nutritionnels contre l'Hypertension

10 conseils nutritionnels contre l'hypertension

Comme plus de 10 millions de Français, vous êtes suivi pour vos problèmes de tension. Même si vous respectez à la lettre votre traitement, de bonnes habitudes alimentaires sont également indispensables ! Comment réduire le sel ? Faut-il manger des allégés ? Beurre ou margarine, devez-vous choisir ? Voici 10 conseils indispensables pour vous réconcilier avec vos artères.

L'alimentation est essentielle pour les problèmes d'hypertension. Voici quelques conseils incontournables. 


Aliments coeur

1. L'alcool c'est pas cool 

 

En cas d'hypertension, il est essentiel de réduire la consommation d'alcool : pas plus de trois verres de vin par jour pour les hommes, et deux verres pour les femmes. 

 

2. Les kilos, point trop n'en faut 

 

Le surpoids est l'ennemi de votre coeur et de vos artères. Cumuler les kilos en trop et l'hypertension est donc à éviter absolument. Rééquilibrer son alimentation est donc essentiel en cas de surcharge pondérale. 

 

3. Sel : la lutte finale 

Bien sur, votre médecin vous a mis en garde contre l'excès de sel. Il faut en effet en consommer moins de 6 g par jour en cas d'hypertension. Bien sûr, cela commence par supprimer la salière à table. Mais il faut aussi éviter certains aliments préparés trop riches en sodium : charcuteries, plats préparés, certaines conserves et fromages (roquefort, feta ou bleu d'auvergne notamment). Méfiez-vous également du sel dans les céréales pour petit-déjeuner et des biscuits sucrés. 

 

4. Margarine, c'est ma copine 

Il est essentiel d'éviter les graisses saturées autant que possible quand on a de la tension. Cela passe notamment par remplacer au maximum les graisses animales par des graisses végétales. Exit le beurre, bonjour la margarine ! 

5. Evitez de vous viander 

Toujours pour éviter les graisses saturées, il faut choisir les viandes plutôt maigres. Evitez le boeuf, le porc et le mouton, préférez le poisson et la volaille (sans la peau). 

6. L'effectif est au complet ! 

 

Dans tous les féculents que vous prenez, privilégiez au maximum les céréales complètes. Cela permettra notamment d'augmenter la teneur en fibres de votre alimentation. 

 

7. A toute vapeur ! 

 

Il est essentiel de choisir les modes de cuisson les moins gras, et ceux qui préservent les qualités nutritionnelles des aliments. Ainsi, optez pour la cuisson vapeur, le grill ou les papillotes et évitez les fritures. 

 

8. Prenez les choses à la légère 

 

Toujours pour éviter les graisses, optez pour des produits laitiers écrémés, et des yaourts 0 %. Et n'hésitez pas à prendre des produits allégés en matières grasses parmi tous les aliments disponibles. 

 

9. Ça va marcher ! 

 

L'activité physique est essentielle, même modérée. Une demi-heure de marche rapide par jour, le vélo, la natation sont autant de moyens de bouger sans trop forcer. 

10. Les fruits pas défendus ! 

 

Faut-il le rappeler, les fruits et légumes sont les alliés santé. Il faut donc en consommer suffisamment chaque jour, surtout en cas d'hypertension. Misez notamment sur les fruits, qui vous apportent du potassium : celui-ci est l'ami de votre tension

Un programme pour Suivre son traitement

Le comité français de lutte contre l'hypertension artérielle et le laboratoire Novartis ont lancé une initiative originale pour aider les hypertendus : le Programme SuiVie. Par l'intermédiaire de votre médecin, vous recevez un kit comprenant de nombreux renseignements, et outils. Celui-ci permet notamment de s'abonner à une lettre d'information et à un coaching par SMS. En outre, un accès est proposé vers le site Internet Suivie, qui propose notamment de nombreuses recettes de cuisine adaptées…

 

Alain Sousa

Sources :

Conférence organisée par Novartis, mars 2006

 

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27/06/2015
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SANTE:Voici comment nettoyer vos poumons en seulement 3 jours

Voici comment nettoyer vos poumons en seulement 3 jours  

nettoyer vos poumons

 

Beaucoup de gens n’ont jamais fumé et ont tout de même des problèmes avec leurs poumons, tandis que d’autres fument depuis 45 ans, et leurs poumons fonctionnent encore très bien… tout dépend de chacun, ci-dessous nous vous donnerons quelques conseils pour vous aider à purifier vos poumons en seulement 3 jours. Voici comment nettoyer ses poumons en seulement 3 jours :

Deux jours avant le processus de détoxication pour nettoyer vos poumons, il est nécessaire d’éliminer tous les produits laitiers de votre alimentation. Le corps a besoin de se débarrasser des toxines des produits laitiers avant la purification des poumons.

Avant le premier jour du régime, buvez une tisane avant d’aller vous coucher. Elle libérera les toxines des intestins. Les poumons ne doivent pas être surchargés de travail difficile lors de la purification.

 

Recette pour nettoyer vos poumons :

 

Pressez deux citrons dans 300ml d’eau avant le petit déjeuner.

 

Buvez 300ml de jus de pamplemousse. Si avez un traitement en cours, si votre régime alimentaire ne vous le permet pas ou si vous n’aimez tout simplement pas le goût, vous pouvez le remplacer par du jus d’ananas. Ces jus contiennent des antioxydants naturels qui améliorent le système respiratoire.

Buvez 300ml de pur jus de carotte entre le petit déjeuner et le déjeuner. 

Le jus de carotte aide à alcaliniser le sang pendant les 3jours de purification.

Buvez 400ml de jus riche en potassium pendant le déjeuner. Le potassium agit comme tonique pour le nettoyage. Avant d’aller au lit, buvez 400ml de jus de canneberge. Cela vous aidera à lutter contre les bactéries dans les poumons qui peuvent causer des infections.

 

Prenez soin de votre corps et faites des exercices.

Un bain chaud de 20 minutes chaque jour permettra à l’organisme de perdre plus de toxines avec la transpiration.

 

Mettez 5 à 10 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus dans un bol d’eau bouillante.

 Placez votre tête au-dessus du bol et mettez une serviette sur votre tête. Inhalez la vapeur jusqu’à ce que l’eau refroidisse.

 

Claire C.

Source:espritsciencemetaphysiques.com

 

 


26/06/2015
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SANTE:La consommation excessive de sucre peut causer des conséquences sur la santé

« J’ai arrêté le sucre pendant un an, ce qui m’est arrivé est incroyable ! »

addiction-sucre

Imaginez-vous un monde sans sucre ? Pouvez-vous vivre sans manger un gramme de sucre ? Êtes-vous capable de tenir longtemps en buvant vos boissons sans sucre et en bannissant gâteaux, chocolat, sucreries et tout autre produit contenant du sucre ? Ceci parait difficile, voire impossible.

 

Pourtant, la journaliste Danièle Gerkens a tenté l’expérience et a été bluffée par le résultat. Elle a arrêté toute consommation de sucre durant un an, Sa santé s’en est ressentie. Voici ce qu’elle nous raconte sur cette expérience magique dont elle a fait un livre intitulé « Zéro Sucre ».

Danièle Gerkens a gardé dans son alimentation les sucres lents comme les pâtes et les légumineuses et éliminé tous les sucres rapides. Pâtisseries, viennoiseries, gâteaux, chocolat, crèmes glacées, crèmes desserts, yaourt sucrés, et bien sûr tout produit transformé contenant du sucre ont tout simplement été bannis de son régime alimentaire pendant un an.

 

Pour quelle raison Danièle Gerkens a-t-elle fait l’expérience du sans sucre ?


L’histoire personnelle et le vécu de cette journaliste l’ont poussé à se lancer dans ce défi que bien des personnes seraient incapables de faire. Danièle Gerkens est sensible à quelques maladies qui touchent certains membres de sa famille comme le diabète. De plus, sa passion pour l’alimentation et la nature de son travail (elle travaille sur les sujets de santé entre autres), l’ont encouragé à tenter l’expérience et relever le défi.

 

Selon la presse anglo-saxonne, le sucre serait la cause de tous les maux. Pour confirmer ou infirmer ce constat régulièrement annoncé et relayé par toutes sortes de médias, Danièle Gerkens a décidé de vivre l’expérience d’un régime alimentaire sans sucre et ce durant un an pour constater par elle-même les effets.

Un sevrage et des débuts chaotiques

 

Boire un thé ou un café sans sucre n’est pas une mission impossible, c’est très faisable. Mais, la difficulté commence lorsqu’on ne peut plus manger de confiture le matin, ni de dessert à midi et pas un seul carré de chocolat le soir, sans oublier devoir faire l’impasse d’une collation sucrée l’après-midi.

Pour Danièle Gerkens, le début fut laborieux et chaotique. Les envies étaient fortes et le sevrage pénible. Les frustrations généraient parfois des rechutes exactement comme une personne qui a arrêté de fumer. Le corps devait s’habituer à ce manque de sucre.Danièle Gerkens a dû souffrir les deux premiers mois comme souffrirait une personne qui suit un protocole de sevrage.

 

Les effets bénéfiques ne tardent pas à faire leur apparition 

 

Après deux longs mois de combat entre les envies de sucre, les tentations et le désir farouche de tenir le coup, Danièle Gerkens commençait à s’y faire. Son corps ne réclamait plus de sucre. D’ailleurs, elle n’y pensait même plus.
Les premiers effets positifs étaient visibles au niveau de sa peau. Elle était plus lumineuse avec des pores plus serrés. Le regard a changé puisque le blanc de son œil était devenu plus blanc.

 

Après une année sans sucre, Danièle Gerkens a constaté plusieurs changements comme la disparition de ses allergies au pollen et de la sinusite. Elle ne ressent plus l’envie de grignoter et n’a plus de coup de barre. En effet, en remplaçant le petit déjeuner sucré par un petit déjeuner salé, elle se sent rassasiée plus longtemps. En fait, avec ce type de repas le matin, la glycémie reste stable et ne bouge plus comme c’est le cas avec une nourriture trop sucrée.

Danièle Gerkens a perdu 6 kilos en un an et affirme trouver le goût sucré dans certains aliments comme le lait et la tomate. Ces saveurs sucrées lui échappaient complètement quand elle avait un régime alimentaire qui incluait les produits sucrés.

 

Lires les étiquettes et préparer ses repas

Pour que cette expérience puisse réussir, il a fallu changer de mode de vie. Une fois les deux premiers mois passés, manger sans sucre n’a pas été très contraignant pour la journaliste. Il a juste fallu faire attention aux compositions des produits achetés au supermarché. Pour se faciliter la tâche, Danièle Gerkens a cuisiné elle-même ses plats sans pour autant imposer son régime alimentaire à sa famille. Elle a continué à préparer des gâteaux pour sa fille âgée de 7 ans. Certes, elle en a fait moins, mais elle ne l’en a pas privé.
Vivant dans un environnement pareil, la fille de Danièle Gerkens a fini par baisser spontanément sa consommation de sucre.

 

Refuser le sucre de substitution, l’aspartame

Pour pouvoir relever son défi, Danièle Gerkens a remplacé le sucre blanc qui n’apporte ni vitamines ni minéraux par trois édulcorants : la stévia, le sirop de riz et le xylitol. À aucun moment, elle a utilisé de l’aspartame. Pour avoir le goût sucré, elle a jouté du sirop de riz à ses cuissons car celui-ci supporte les températures élevées. Les deux autres édulcorants remplaçaient facilement le sucre blanc dans les autres préparations.

 

 

Source:Santeplusmag

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02/05/2015
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SANTE:Attention, la Viande de Poulet contaminée de produit Cancérigène!

 

La FDA admet finalement que la viande de poulet contient de l’arsenic cancérigène

 

 

poulet-arsenic

 

Après des années de balayage de la question sous le tapis, et en espérant que personne ne le remarquerait, la FDA a finalement admis que la viande de poulet vendue aux Etats-Unis contient de l’arsenic, un produit chimique cancérigène et toxique qui est mortel à haute dose. Mais la vérité, c’est de connaître l’endroit d’où cet arsenic provient : il est volontairement ajouté à l’alimentation des poulets !

 
 

Pire encore, la FDA affirme que ses propres recherches montrent que l’arsenic ajouté à l’alimentation du poulet se retrouve dans la viande où l’ensemble est consommé par les humains. Donc, depuis les soixante dernières années, les consommateurs Américains qui ont mangé du poulet classique ont avalé de l’arsenic, une substance chimique officiellement reconnue cancérigène. Jusqu’à cette nouvelle étude, l’industrie de la volaille et la FDA ont nié que de l’arsenic ait été donné aux poulets pour finir dans la viande. Le conte de fées donné comme excuse, pour le fait que nous ayons tous été nourris de cette manière depuis soixante ans, c’est que « l’arsenic est excrété dans les fèces de poulet ». Il n’y a aucune base scientifique pour fonder une telle affirmation… C’est juste que l’industrie de la volaille voulait que tout le monde croient cette légende.

 

Mais maintenant, la preuve est donc indéniable qu’un fabricant alimentaire du poulet, connu comme étant Roxarsone ait décidé de retirer le produit des étagères. Et quel est le nom de ce fabricant qui a été mettre de l’arsenic dans l’alimentation des poulets pendant toutes ces années ? Pfizer, bien sûr — la même société qui fabrique les vaccins contenant des adjuvants chimiques qui sont injectés aux enfants.

Techniquement, l’entreprise Roxarsone fabriquant l’alimentation des poulets est une filiale de Pfizer, appelée Alpharma LLC. Même si Alpharma a maintenant accepté de retirer cette substance chimique toxique des étagères aux Etats-Unis, Il est dit qu’elle ne sera pas nécessairement retirée des produits alimentaires dans d’autres pays, sauf si elle est forcée par les régulateurs de le faire. Tel que rapporté par l’AP :

« Scott Brown, de la division de Pfizer Médecine Vétérinaire sur la Recherche et le Développement de la Santé Animale a déclaré que la société vend également l’ingrédient dans une douzaine d’autres pays. Il a dit que Pfizer tend la main aux autorités de la réglementation dans ces pays, et va décider de le vendre sur une base individuelle » .( LIEN )

Arsenic ? Mangez encore plus !

Mais alors même que son produit contenant de l’arsenic est retiré des tablettes, la FDA poursuit sa campagne de déni, affirmant que l’arsenic présent chez les poulets est situé à un niveau tellement bas qu’il est toujours sécuritaire d’en manger. Ceci est d’autant paradoxal que la FDA reconnaît que l’arsenic est une substance cancérigène, ce qui signifie qu’elle augmente le risque de cancer. Le Conseil National sur le Poulet est d’accord avec la FDA.

 

 

 


Dans un communiqué publié en réponse aux nouvelles relatant que Roxarsone serait retiré des tablettes des magasins d’alimentation, il a déclaré : « Le poulet peut être mangé en toute sécurité » ; alors même que l’arsenic a été utilisé dans les nombreux élevages, et ont été vendus comme viande de consommation aux États-Unis.

 

Ce qui est étonnant dans tout cela, c’est que la FDA indique aux consommateurs qu’il est sécuritaire d’en manger bien qu’il contienne de l’arsenic causant le cancer, mais qu’il est dangereux de boire du jus de sureau ! La FDA a récemment mené un raid armé chez un manufacturier de jus de sureau, l’accusant d’avoir commis le «crime de vendre» des médicaments non homologués. Quels médicaments cela pouvait-il bien être ? Le jus de sureau, explique la FDA. Vous voyez, le jus de sureau devient magiquement un «médicament», si vous dites aux gens comment il peut aider à maintenir une bonne santé.

 

La FDA a également pourchassé des dizaines d’autres entreprises, pour la vente de produits naturels à base de plantes ou de produits nutritionnels qui favorisent la santé et la maintiennent. De plus, c’est la guerre au lait cru dont la FDA dit qu’il est dangereux. Alors maintenant, en Amérique, nous avons une agence de réglementation des médicaments et des aliments qui dit que c’est correct de manger de l’arsenic, mais qu’il est dangereux de boire de jus de sureau ou du lait cru.

 

Mangez plus de poison, en d’autres termes, mais ne consommez pas d’aliments qui favorisent la guérison. C’est la FDA, qui tue des Américains d’un repas, tout en protégeant les profits des industries, celles-là mêmes qui nous empoisonnent avec leurs ingrédients mortels.

Oh, cela dit en passant, voici un autre fait quelque peu inquiétant que vous ne connaissiez probablement pas à propos des hamburgers et du bœuf conventionnel : Les litières de poulet contenant de l’arsenic sont distribuées aux vaches dans les usines de production de viande de boeuf. Ainsi l’arsenic issu des excréments des poulets est consommé et se concentre dans les tissus des vaches, qui est ensuite broyé en hamburgers en vue d’être consommés par les masses mal informées qui ne savent même pas qu’ils mangent de la m***e de poulet ‘‘d’occasion’’.

 

 

Sources:

FDA finally admits chicken meat contains cancer-causing arsenic (but keep eating it, yo!)

Sante-nutrition

 

AMMAFRICA WORLD

 


30/04/2015
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