Néanmoins, malgré une montée de l’extrémisme, il se trouve néanmoins des personnes pour y faire face.
QUOI DE NEUF EN ALLEMAGNE. WAS IST LOS IN DEUSCHLAND
URGENT: L'ALLEMAGNE APPELLE A FAIRE DES PROVISIONS
Terrorisme: le gouvernement allemand appelle la population à constituer des stocks de vivres.
L'Allemagne a peur d'un cataclysme. Le gouvernement met en place un plan d'urgence prévoyant la survie en autonomie de sa population pendant un dizaine de jours. Et appelle les Allemands à se préparer au pire.
Des réserves pour survivre dix jours en autarcie. C'est ce que le gouvernement demande à sa population de prévoir si une catastrophe de grande ampleur venait à frapper l'Allemagne. Le plan de survie devrait être présenté dès mercredi en Conseil des ministres selon le Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Le traumatisme du 11 septembre
Selon l'hebdomadaire, plus que les attaques terroristes qui ont frappé le pays récemment, c'est le 11 septembre 2001 qui a laissé des traces dans les mémoires. Plus qu'un attentat ciblé, le gouvernement craint une attaque majeure, et qui plongerait le pays dans le chaos.
"Une attaque de l’Allemagne appelant une défense de type conventionnelle est peu vraisemblable, précise le texte qu’a préparé le ministère de la Défense. Pour autant, il est nécessaire de se préparer en vue d’un événement menaçant qu’on ne peut définitivement exclure pour l’avenir" explique le document du gouvernement.
Pour se préparefr à cette éventualité, le gouvernement prévoit la mise en place d'un système d'alarme national, l'augmentation des stocks d'énergie, de vaccins, et même... d'iodure de potassium dont une dose protège des radiations résultant d'une attaque nucléaire.
Un air de guerre froide
Comme le rappelle Le Temps, la dernière fois que l'Allemagne a adopté un tel plan d'urgence, il n'a été levé qu'en 1989, année de la chute du mur de Berlin. La peur d'une attaque massive (et donc potentiellement nucléaire) est motivée par le fait que selon le gouvernement allemand, l'attitude de la Russie en Ukraine notamment, "remet ouvertement en question la paix en Europe".
Pour prévenir cette menace, l'Allemagne demande donc à sa population de "pouvoir être autonome pendant une durée de 10 jours avant l’arrivée des secours"
Source: BMFTV
ALLEMAGNE FACE A L'EXTREMISME RADICAL:UNE FEMME DE 66 ANS MILITE CONTRE L'EXTREMISME
LORSQU'UNE FEMME SE LÈVE, ELLE NE CALCULE PAS LES CONSEQUENCES!
Le monde d'Avenir subira-t-elle le changement par une montée des femmes au pouvoir?. Bien que l'Allemagne est dirigée par une femme, mais certains combats, il faut vraiment oser le faire! Battue une fois, mais elle persévère... Puisse Dieu lui accorder longue vie pour un tel combat, ô combien si noble!
Une Allemande de 66 ans lutte contre l’extrémisme
Une pensionnaire lutte contre le nazisme et les idées d’extrême-droite en Allemagne.
Depuis 9 ans qu’elle tient registre des inscriptions colorées ou écaillées, elle en a effacé 96.853. L’idée de commencer son activité anti-extrémiste lui est venue à l'esprit lorsque la police municipale a refusé de prendre des mesures pour faire effacer de telles inscriptions.
"Certains déclarent que ces inscriptions sont une manifestation de la liberté de la parole.
Moi, je réponds que la liberté de la parole finit là où commence la haine", indique la pensionnaire.
ALLEMAGNE FACE A LA SOLITUDE:UN VIEIL HOMME ABANDONNE SEUL PAR SA FAMILLE PENDANT LES FÊTES DE FIN D'ANNEE!
SOS:LA SOLITUDE EN ALLEMAGNE:UN RETRAITE ABANDONNE SEUL LOIN DE SA FAMILLE!
La solitude en Occident, surtout en Europe est devenue presqu'un autre souci majeur à résoudre!
Voici un cas qui vient de faire du buzz dans les médias Allemands qui ne vous laissera pas indifférentS!
Que le gouvernement Allemagne pense aussi à résoudre ce problème, car un vieillard, est une "bibliothèque" qui s'en va à petit pas!
Jeunesse, pouvez vous s'approcher de ces vieilles personnes? Vous apprendrez sur le monde du passé!
@Ammafrica
Un spot publicitaire émouvant de la chaîne de supermarchés allemands Edeka raconte l'histoire d'un homme âgé abandonné par sa famille pendant les fêtes de fin d’année.
Une pub allemande sur la solitude a totalisé 30 millions de vues
Seul pour les fêtes, le vieil homme se retrouve à table sans personne. Une scène particulièrement triste qui va s'enchaîner par l'annonce de son décès à ses proches absents le soir de Noël.
Devant la triste nouvelle, sa famille se réunit pour les funérailles du vieil homme et se rend chez lui. Et là, la publicité prend un tournant très touchant mais en même temps très étrange.
La vidéo créée par l'agence de communication allemande Jung von Matt a été vue plus de 30 millions de fois sur YouTube depuis sa publication le 28 novembre dernier.
De nombreux Allemands ont qualifié ce spot d'émouvant. Pourtant, il y avait ceux qui ont critiqué la vidéo.
Un journaliste de Die Welt a considéré le sujet de la vidéo comme faible. Il a souligné que les vidéos précédentes d'Edeka étaient mieux.
Le magazine allemand Stern est allé plus loin et a publié sur Twitter une caricature sur laquelle on voit une femme qui dit à un homme: "Pas d'Edeka, ou les autres penseront que dans notre famille tout va mal".
De nombreuses sociétés occidentales suivent la tradition de créer des pubs de Noël émouvantes. Par exemple la chaîne de magasins britanniques John Lewis a publié début novembre un spot portant sur homme âgé qui vit seul sur la Lune et passe la plupart de son temps à regarder la Terre. Une petite fille le découvre au moyen d'un télescope familial et lui envoit en message.
@Sputniknews
AMMAFRICA WORLD
L'APPEL D'ANGELA MERKEL POUR L'EUROPE:Retournons au christianisme et replongeons dans la Bible!
Voilà une déclaration de la chancelière allemande qui n’a pas marqué les médias français ; il y avait pourtant de quoi.
@http://fr.aleteia.org
AMMAFRICA WORLD
L'Allemagne lance un défi historique sur le cas des réfugiés et fait l'exception en Europe!
L’Allemagne et le défi historique des réfugiés
Comment ne pas penser à ces images de novembre 1989 quand les Allemands de l’Ouest accueillaient ceux de l’Est sous les applaudissements ? Au cours de ce week-end exceptionnel du samedi 5 et du dimanche 6 septembre, toute l’Allemagne semble s’être mobilisée pour recevoir dans les meilleures conditions les milliers de réfugiés – 20 000 selon la police.
A Munich, mais aussi à Francfort, Dortmund et de nombreuses autres villes, les gares se sont transformées dès samedi en centres d’accueil après la décision prise dans la nuit de vendredi à samedi par la chancelière Angela Merkel d’accueillir plusieurs milliers de réfugiés bloqués en Hongrie. Spontanément, les Allemands y ont apporté des vêtements et de la nourriture pour des réfugiés qu’ils ont accueillis avec des ballons multicolores, des cadeaux de bienvenue, des applaudissements voire en leur faisant une véritable haie d’honneur. Car si beaucoup de réfugiés sont arrivés à Munich, très rapidement ils ont été répartis dans tout le pays, selon des quotas très précis fixés après la seconde guerre mondiale, en fonction de la richesse et de la population de chaque Etat-région.
Selon cette clé de répartition, la Rhénanie du Nord doit accueillir 21,2 % des réfugiés, la Bavière 15,3 %…et le plus petit Land, la ville de Brême 0,9 %. Si cette décision d’Angela Merkel a été approuvée par les sociaux-démocrates, la CSU bavaroise – le parti frère de la CDU – a jugé que c’était un « mauvais signal ».
Dimanche soir, les dirigeants de la coalition au pouvoir se sont réunis autour de la chancelière pour organiser ces arrivées de réfugiés dont personne n’avait prévu l’ampleur il y a encore quelques mois. D’après les premiers échos, la KfW, la Caisse des dépôts allemande devrait débourser 300 millions d’euros pour construire 30 000 places supplémentaires dans les centres pour réfugiés. Pour répondre aux inquiétudes d’une partie de la population, 3 000 postes de policiers devraient également être créés durant les prochaines années.
Selon un sondage publié le 3 septembre par la chaîne ARD, 95 % des Allemands se félicitent du mouvement de solidarité que provoque l’afflux de réfugiés. 45 % des Allemands jugent que l’immigration offre « plutôt des avantages pour le pays » alors que 33 % pensent que les inconvénients l’emportent. A noter que dans l’ancienne Allemagne de l’Est, les pourcentages sont presque inversés.
De même, si les Allemands les plus aisés et ceux qui ont moins de 40 ans sont clairement en faveur de l’immigration, les plus âgés et les plus modestes sont beaucoup plus réservés. 34 % des gens avec un bas revenu mettent l’accent sur les avantages et 46 % sur les inconvénients. Malgré tout, 96 % des Allemands jugent justifié d’accueillir des réfugiés qui fuient la guerre. En revanche, 28 % seulement pensent que l’Allemagne doit accueillir des réfugiés économiques.
« Nous sommes les Américains de l’Europe »
« Cette hospitalité à l’égard des réfugiés de guerre a une longue histoire. C’était déjà la même chose lors de la guerre dans l’ex-Yougoslavie. Peut-être est-ce dû au fait que de nombreux Allemands sont eux-mêmes descendants de réfugiés », analyse Joachim Fritz-Vannahme, de la fondation Bertelsmann. Après la seconde guerre mondiale, environ 13 millions d’Allemands qui avaient été « déplacés » dans l’est de l’Europe des années auparavant, ont en effet « retrouvé » l’Allemagne, un pays que nombre d’entre eux ne connaissaient pas. Le fait que des néonazis multiplient les actions violentes à l’encontre des foyers de réfugiés ne peut, évidemment, qu’inciter en retour les Allemands à afficher leur solidarité avec les réfugiés.
Les Allemands ont le sentiment de vivre un moment historique. « Une expérience a commencé. Elle va modifier plus profondément l’Allemagne que la réunification. Devant nous c’est l’inconnu », résume un éditorial de Die Zeit (du 3 septembre). Dans le même journal, le sociologue Heinz Bude ajoute : « Nous sommes les Américains de l’Europe, que nous le voulions ou non. » Mais ce « moment allemand » ne va pas sans crainte.
Les pays qui ont une longue tradition d’immigration comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France « savent que l’immigration ne contribue pas seulement à résoudre des problèmes mais en crée de nouveaux », notait jeudi la Frankfurter Allgemeine Zeitung. « A court terme, le défi est surtout logistique. Pas politique », affirme un haut fonctionnaire.
L’accueil de 800 000 nouveaux réfugiés cette année pose évidemment de multiples questions pratiques. Et les Etats-régions qui abritent déjà les réfugiés sous des tentes voient avec inquiétude l’hiver approcher. Mais cela n’est rien à côté du défi de l’intégration. « Par le passé, les réfugiés n’avaient pas les moyens d’apprendre rapidement l’allemand, de se former et d’accéder rapidement au marché du travail. Ça ne doit pas se répéter », vient de mettre en garde l’Institut d’économie allemande (IW) de Cologne, proche du patronat.
Si beaucoup en Allemagne insistent sur le fait que nombre de Syriens ou d’Afghans sont très qualifiés, Thomas de Maizière, ministre de l’intérieur, est plus prudent et évoque « 15 % à 20 % d’adultes analphabètes ». Par ailleurs, 30 % des réfugiés sont mineurs. Ils vont donc devoir intégrer le système scolaire qui manque déjà d’enseignants.
Andrea Nahles, ministre de l’emploi et des affaires sociales, a déjà fait ses comptes. Pour former les réfugiés, leur enseigner l’allemand et leur donner les aides sociales auxquelles ils auront droit, ses services ont besoin de 3 milliards d’euros supplémentaires en 2016, une somme qui devrait progressivement atteindre 7 milliards en 2019. Son objectif : « Que les gens qui arrivent chez nous comme réfugiés deviennent rapidement des voisins et des collègues. » Un message positif qui, associé aux images de ce week-end qui ont fait le tour du monde, devrait encore accroître l’attractivité de l’Allemagne auprès des populations en souffrance.
- Frédéric Lemaître
- (Berlin, correspondant)
- @Le Monde
- AMMAFRICA WORLD
BERLIN:Après les tensions, les réfugiés ont reçu des aides
Dans un foyer de réfugiés de Berlin, l’entraide après les tensions
Les conteneurs multicolores sont empilés entre les barres d’immeubles. Au beau milieu de la cité Allende-II, construite dans les années 1970 et 1980 et située dans l’arrondissement de Köpenick, dans le sud-est de Berlin, Thomas Fuchs et sa femme, Stefanie, s’affairent comme presque tous les jours pour aider les 380 migrants issus des Balkans, de Syrie, d’Afrique, hébergés dans ce centre de réfugiés ouvert dans l’urgence fin décembre 2014. Leur fils joue pendant ce temps-là au foot avec un petit Rom de Serbie arrivé au début de l’année.
« Tout se passe désormais plutôt bien », sourit M. Fuchs, 50 ans, un solide et volubile ingénieur aux cheveux ras.
Autour de lui, le calme de la cité Allende-II n’est perturbé, en ce début de soirée, que par les cris d’enfants. Une vingtaine de migrants jouent un peu plus loin au foot, des jeunes filles tapotent sur leur téléphone portable. Tous attendent ici une réponse des services chargés de l’asile, qui peuvent prendre plusieurs mois. « En attendant, nous sommes très bien ici », résume Izet Cerani, un Bosnien arrivé avec femme et enfants en février.
La présence de ces demandeurs d’asile n’avait pourtant, au départ, rien d’évident à Allende-II. Comme de nombreux autres habitants, les Fuchs avaient signé à l’automne 2014 la pétition s’opposant à l’installation de ce village de conteneurs, le premier à Berlin. « Je pensais que cela serait trop compliqué d’accepter autant de réfugiés ici tout d’un coup ; nous voulions moins de monde et dans un autre lieu », explique Stefanie, une fluette et dynamique...
LE MONDE
(Berlin, envoyé spécial)
ALLEMAGNE ET IMMIGRATION:La Chancelière Angela Merkel dit une vérité qui blesse plutôt qu'un mensonge qui cajole les esprits faibles!
Bien Vivre en Allemagne:Un sujet qui interpelle les migrants en ce moment..
Autrefois reconnu comme une terre raciste, surtout pour son passé historique avec Hitler, l'Allemagne ne pourrait qu'être félicité pour ses nombreux efforts fournis pendant ces quelques années!
Les propos de Madame la chancelière peut provoquer l'indignation pour les personnes un peu émotionnelles, mais d'autre part, elle préfère dire la vérité qui blesse que le mensonge qui cajole les esprits faibles!
En tout cas, "bien-vivre" en Allemagne, un sujet qui sera beaucoup mieux expliqué par les migrants eux-mêmes que par les autochtones!
L'Allemagne a fait des efforts, il faut s'en féliciter!
@ammafrica
Allemagne: Angela Merkel fait pleurer une jeune réfugiée palestinienne
La scène a mis la chancelière allemande dans l’embarras. Lors d'une rencontre avec des écoliers, Angela Merkel a fait pleurer une jeune réfugiée palestinienne qui doit prochainement quitter l'Allemagne, faute d’avoir obtenu l'asile. La chancelière a tenté, maladroitement, de consoler la jeune femme. Un échange très commenté sur les réseaux sociaux.
Les rencontres régulières entre Angela Merkel et la société civile sont normalement soigneusement préparées et orchestrées et rien n'est laissé au hasard. Mercredi, la rencontre à Rostock avec des jeunes a dérogé à la règle, rapporte notre correspondant à Berlin, Pascal Thibaut.
C’est au cours d’un débat avec des écoliers intitulé « Bien vivre en Allemagne », retransmis par une télévision locale, que la chancelière Angela Merkel a vécu un moment délicat. La jeune Reem, une Palestinienne du Liban, prend la parole pour expliquer que sa famille est en passe d’être expulsée vers le Liban, où elle vivait dans des camps de réfugiés, avant d’arriver il y a 4 ans en Allemagne.
Elle a expliqué à la chancelière dans un allemand parfait ses rêves : faire des études, avoir un avenir aussi souriant que beaucoup d'autres jeunes. « Je voudrais étudier (…), c'est vraiment désagréable de voir que d'autres peuvent savourer l'existence et que soi-même on ne peut pas partager ça avec eux », explique l’écolière d'une voix timide.
« Je comprends », répond la chancelière, avant d’expliquer que l’Allemagne ne pouvait pas accueillir les milliers de réfugiés palestiniens du Liban, avant d'ajouter « la politique c'est parfois dur ».
Voyant la jeune fille pleurer, elle s’interrompt. Visiblement déstabilisée et émue, la chancelière s’approche alors de l’adolescente et tente de la réconforter en lui caressant l’épaule.
Un geste qui lui vaut ce hashtag sur Twitter #Merkelstreichelt, littéralement « Merkel caresse ».
La scène dûment commentée sur les réseaux sociaux
Vidéo archive
La scène visionnée des milliers de fois a fait le buzz sur les réseaux sociaux. Certains lui reprochent d'être sans coeur. La chancelière est-elle insensible ? Manque-t-elle d’empathie ? Ou au contraire, fait-elle preuve d'humanité en ne mentant pas à son auditoire, se demandent quelques voix minoritaires ont souligné son honnêteté et l'absence de réponse populiste. En tout cas, sur les réseaux sociaux, le débat est vif.
Le blog de la chancellerie allemande a aussi rapporté l’épisode, mais conclut sur une note censée mettre tout le monde d’accord : « après 90 minutes de discussion animée, tous les participants se sont applaudis les uns les autres et sont repartis avec de nombreuses suggestions ».
Reem, interviewée plus tard, s'est montrée magnanime avec Angela Merkel. Une nouvelle loi prochainement appliquée lui permettra sans doute à elle et à sa famille de rester en Allemagne.
@rfi
AMMAFRICA WORLD
(Vidéo)la Diaspora Africaine devient un Problème plutôt qu'une Solution par Clarisse Akouala
La Diaspora Africaine est-elle une solution pour l'Afrique ou un Problème?:Clarisse Akouala s'explique...
Avec une telle déclaration, Madame Clarisse Akouala hausse le Ton pour dénoncer la problématique liée autour de conflit d'identité pour cette diaspora africaine souvent en grande majorité "naturalisée" Européenne ou Américaine mais qui n'accepte pas intérieurement le changement de leur naturalisation bien que palpant certaines réalités qui le montrent que les choses ne sont plus pareilles.
Elle expose différents conseils pratiques pour élucider les erreurs que commettent les africains vivant en occident.
En un mot, elle nous amène d'accepter cette réalité évidente et de vivre avec en changeant notre mentalité!
Suivez et retenez instruction!
Vidéo intégrale de l'entretien au micro de "Mama FEZA" avec Clarisse Akouala
La Rédaction
AMMAFRICA WORLD
Sanctions de l'Occident contre la Russie:Gerard Schröder proteste l'idée!
Sanctions de l'Occident contre la Russie:Une partie de l'Europe boycotte!
Selon l'ancien chancelier fédéral allemand Gerhard Schröder, les Européens et notamment l'Allemagne ont eu tort d'avoir mené des négociations sur l'association Ukraine-UE sans inviter Moscou.
"Les erreurs commises par toutes les parties pendant ce conflit nous ont entraînés dans une spirale des menaces, sanctions et violences. A présent, il faut sortir de cette spirale. Les accords Minsk-2 (sur la paix en Ukraine) montrent que tous les pays le souhaitent et que personne ne met en doute l'intégrité territoriale de l'Ukraine", a indiqué M.Schröder.
"Les Européens et notamment le gouvernement allemand ont commis une grande erreur en permettant au président de la Commission européenne José Manuel Barroso de mener des négociations sur l'association Ukraine-UE en l'absence de la Russie. Or tout le monde savait que l'Ukraine est un pays hétérogène sur le plan culturel", a ajouté l'ex-chancelier fédéral.
Selon l'homme politique allemand, il fallait discuter d'avance du sort de l'Ukraine qui est en même temps associée avec l'UE et membre de l'Union économique eurasiatique (UEEA).
Les relations entre la Russie et l'Occident se sont dégradées à cause de la situation en Ukraine. Fin juillet 2014, l’Union européenne et les Etats-Unis sont passés des sanctions ponctuelles contre certains individus et compagnies russes à des restrictions visant des secteurs économiques entiers en Russie. Cette dernière a réagi en interdisant l'importation de produits alimentaires en provenance des pays ayant décrété des sanctions contre elle: les Etats-Unis, l'UE, le Canada, l'Australie et la Norvège.
@sputniknews
AMMAFRICA WORLD
Le cas de Andreas Lubitz:La presse Allemande s'interroge..
L'Allemagne cherche-t-elle à justifier l'acte coupable que criminel de Andreas Lubitz?
En Allemagne, la presse s'interroge sur Andreas Lubitz, le «pilote amok»
Par David Philippot
Les journaux allemands livrent ce matin de nombreuses informations sur le lourd passé psychiatrique du copilote de Germanwings.
Amok est un mot d'origine malaise pour désigner un «coup de folie meurtrière». La presse allemande l'utilise d'habitude pour qualifier les gens qui commettent des massacres dans les écoles. Ce matin, Bild titre «Der Amok-Pilot». C'est le tabloïd qui révèle les preuves de ce qu'on pressentait, après avoir eu accès à son dossier médical: Andreas Lubitz souffrait de graves troubles psychiatriques.
En 2009, il s'agissait bien «d' attaques de peur-panique» qui l'avaient poussé à interrompre sa formation de pilote. Le centre aéromédical de la Lufthansa contacté par Bild, confirme cette information et affirme avoir signalé aux autorités fédérales du transport aérien ( Luftfahrt Bundesamt) que l'élève-pilote avait subi un «épisode dépressif profond mais décroissant». Lors du stage de Phoenix (Arizona), passage obligé des futurs pilotes de la Lufthansa, les Américains l'avaient listé dans la catégorie inapte au vol. Dans son dossier figure la mention «SIC», un acronyme signifiant la nécessité d'un «suivi médical régulier spécial».
Plusieurs journaux reprennent des informations provenant de sources proches de l'enquête selon lesquelles le pilote de la Germanwings traversait en ce moment «une grave crise personnelle liée à la situation du couple» qu'il formait avec sa petite amie. Les journaux allemands font tous leur une sur ce «copilote qui a provoqué la chute de l'avion» (Frankfurter Allgemeine Zeitung), cet «homme à risques» (Tageszeitung). Le Tagesspiegel titre «Enquêteurs, c'était le copilote». Sidérée, la société allemande a du mal à réaliser que ce ce garçon «sain, poli, sympathique, drôle» puisse être l'auteur de ce drame invraisemblable.
Dans la presse allemande, il est également fait écho du talk-show de la première chaine mercredi soir. L'ancien ministre des Transports Peter Ramsauer a remis en cause les révélations de la journée car «l'interprétation d'un procureur peut-être démentie par l'enquête» et un expert en aviation disait que «les enquêteurs avaient déjà accusé des pilotes pour protéger les intérêts d'Airbus».
Des propos tenus avant les informations sur le lourd passé psychiatrique d'Andreas Lubitz.
@Le Figaro
AMMAFRICA WORLD
Monusco se prolonge encore d'un an en Rép.Démocratique du Congo malgré ses 15 ans d'expérience sur le sol Congolais!
MONUSCO plus de 15 ans en RDC, on peut dire que, vu aussi l'actuelle situation d'insécurité à l'Est , qu'elle n'a pas été vraiment une aide efficace!!!
RDC: la société civile salue le renouvellement du mandat de la Monusco
Ignace Gata Mavita wa Lufuta, Représentant permanent de la République démocratique du Congo à l'ONU, s’adresse au Conseil de sécurité, le 26 mars 2015. |
La société civile salue le renouvellement du mandat de la Monusco. Me Sylvain Lumu, secrétaire exécutif de la Ligue des électeurs, qui avait signé une déclaration commune avec d’autres organisations congolaises et la FIDH appelant au renouvellement de ce mandat, se dit satisfait que le conseil de sécurité des Nations unies ait suivi le point de vue de la société civile.
«Nous exprimons la satisfaction lorsque nous voyons le conseil de sécurité suivre le point de vue de la société civile surtout lorsqu’elle agit en synergie », indique Me Lumu. Il estime que que les éléments élaborés par la société civile ont coïncidé avec « les données réelles que le conseil de sécurité a aussi observées à travers la Monusco».
Le secrétaire exécutif de la ligue des électeurs se réjouit notamment du fait que le conseil de sécurité n’ait pas adopté la proposition du gouvernement sur la réduction des troupes de la Monusco.
Le gouvernement avait proposé une réduction de 6 000 soldats de la mission onusienne. Le conseil de sécurité a décidé une réduction de 2 000 hommes.
«Comme nous l’avions dit, la réduction des forces de la Monusco devrait prendre en compte absolument l’évolution du processus de démocratisation sur le terrain mais surtout la sécurisation du territoire national», explique Me Lumu.
Dans sa résolution, le Conseil de sécurité indique son intention de rendre cette réduction d’effectifs permanente dès que des progrès auront été faits dans la démocratisation et la stabilisation du pays et pour réduire la menace des groupes armés actifs dans l’est du pays, en premier lieu les rebelles rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).
La résolution qui renouvelle d’un an le mandat de la Monusco souligne aussi la nécessité de rendre la Monusco plus souple, mobile et plus efficace sur le terrain.
@Radiookapi
(titre et commentaire)
AMMAFRICA WORLD
Ca se passe en Europe:L'Allemagne cogite sur le port du voile à l'école
Ca se passe en Europe : l’Allemagne cogite sur le port du voile à l’école
Jean-Philippe Lacour/correspondant à Francfort et Pierre Gasquet/correspondant à Rome
Les juges de Karlsruhe estiment qu’il est contraire à la constitution allemande d’interdire le port du voile aux enseignantes musulmanes. Une décision très commentée.
En Allemagne, les enseignantes musulmanes peuvent porter un voile à l’école. Dans un arrêt rendu vendredi dernier par la Cour constitutionnelle allemande, le juge suprême a estimé que le fait d’interdire de manière générale le voile islamique n’était pas compatible avec la liberté de croyance prévue dans la Loi fondamentale (Constitution). Les juges de Karlsruhe ont toutefois estimé qu’un interdit pouvait s’appliquer aux enseignantes musulmanes s’il existe un « danger concret » de remise en cause de la neutralité de l’Etat, ou si le port du voile venait perturber le bon fonctionnement d’un établissement, laissant présager une vague de recours devant les tribunaux. Dans les faits, la Cour a donné raison à des enseignantes de la région de Rhénanie du Nord – Westphalie, qui étaient empêchées du fait d’une loi de cet Etat fédéral de porter un voile ou un bonnet dans leur établissement scolaire. Les juges sont ainsi revenus sur une décision de 2003, dans laquelle ils avaient estimé que le port du voile pouvait être interdit si une base légale existait pour cela. Depuis, plusieurs autres Etats régionaux, la Hesse et la Bavière, ont légiféré dans ce sens.
Les réactions à la nouvelle jurisprudence ont été, sans surprise, contrastées. Le Conseil central des musulmans d’Allemagne y a vu un « signal positif », et le député vert Volker Beck s’est réjoui d’« une belle journée pour la liberté religieuse ». A gauche, l’ex-députée turque du Bundestag, Lale Akgün (SPD), a estimé qu’une enseignante portant le voile n’était plus neutre au regard de la religion. Le spécialiste des affaires intérieures à la CDU, Wolfgang Bosbach, a critiqué une décision qui ne fait que déplacer les problèmes à l’école. Car, si le port du voile par les enseignantes dans les écoles publiques ne peut être interdit que s’il existe un « danger concret », « qui définit le danger concret ? » s’interrogeait hier un éditorialiste de l’édition dominicale de la Frankfurter Allgemeine. Le conflit se déportant sur les écoles, « les chefs d’établissements et inspecteurs académiques vont remercier (la Cour), un tas de problèmes vont émerger. De nombreuses juridictions seront saisies, qui devront jauger s’il y a danger pour la paix à l’école. Et tous les Etats fédéraux vont devoir revoir leur législation, si elles respectent l’esprit de l’arrêt sur le port du voile », poursuit le journal.
Plusieurs Etats ont déjà annoncé qu’ils feraient cet examen. Le quotidien « Die Welt » en est venu à cette conclusion : « l’Allemagne n’est pas un Etat laïc. A la différence de la France, où la religion est absente à l’école, en Allemagne l’école est un lieu de coopération entre l’Eglise et l’Etat. Et désormais entre les mosquées et l’Etat ». Reste à savoir si cet arrêt, renvoyant au second rang les priorités données à ce jour aux valeurs chrétiennes, va redonner un élan à la vague de manifestations du mouvement Pegida, stigmatisant l’islamisation rampante de l’Occident. Celle-ci a traversé l’Allemagne depuis octobre dernier avant de lentement s’essouffler.
Ca se passe en Italie : le compte à rebours pour le Jubilé de 2016 à Rome
Après les canonisations de 2014, Rome se prépare déjà au Jubilé extraordinaire du pape François. Au lendemain de l’annonce-surprise par le pape François d’un «Jubilé de la Miséricorde» pour célébrer le cinquantième anniversaire de la fin de Vatican II, en 2016, la ville de Rome est en effervescence. Le dernier Jubilé de 2000 avait attiré quelque 26 millions dans la capitale italienne, pour un coût estimé à 6,7 milliards d’euros. Le maire de Rome, Ignazio Marino, se dit prêt à tout mettre en œuvre pour faciliter la célébration qui débutera le 8 décembre, et le ministre de l’Intérieur, Angelino Alfano, a déjà prévu de réaffecter les 5.000 agents destinés à assurer la surveillance de l’Expo 2015 de Milan du 1er mai au 31 octobre. Mais les médias s’interrogent sur les délais de préparation.
«Notre préoccupation prioritaire n’est pas le «business», mais exprimer des signes concrets de miséricorde», a assuré Monseigneur Rino Fisichella, président du conseil pontifical pour la Nouvelle Evangélisation, en se refusant à se livrer à des prévisions sur le nombre de visiteurs prévus. Mais le compte à rebours est déjà parti pour se préparer à cette célébration qui durera jusqu’au 20 novembre 2016. D’ores et déjà, la ville de Rome a demandé au gouvernement italien une contribution exceptionnelle de 250 millions d’euros pour couvrir les surcoûts entraînés par l’annonce-surprise du pape en termes de gestion du trafic urbain. Face aux menaces de l’ISIS qui a fait de Rome une cible prioritaire, en pleine crise libyenne, «la sécurité sera une question clef», a prévenu, toutefois, le député démocrate, Luigi Zanda, ex-Directeur de l’agence pour le Jubilé de 2000, en rappelant que l’Italie avait eu quatre ans pour se préparer à la dernière célébration. Normalement, les «années saintes», ou Jubilés, ont lieu tous les 25 ans. Mais Jean-Paul II avait déjà célébré un Jubilé extraordinaire en 1983.
@lesechos.fr
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L'Allemagne devenue la deuxième terre d'immigration après les Etats-Unis!
Avec plus de 465.000 arrivants en 2013, l'Allemagne devient pour la première fois la deuxième destination du monde pour les émigrés, derrière les États-Unis, selon l'OCDE. Elle devance l'Australie et le Canada.
L'immigration a augmenté en Allemagne pour la quatrième année consécutive jusqu'à enregistrer une croissance à deux chiffres. Ce constat ressort du dernier rapport de l'OCDE sur les migrations internationales en 2013, publié ce lundi. «La dynamique des flux migratoires dans les pays développés est entièrement due à l'Allemagne qui est devenue la deuxième terre d'immigration permanente derrière les États-Unis», observe Jean-Christophe Dumont, directeur de la division migrations.
Globalement, ces flux ont augmenté de 1,1 % dans la zone OCDE ce qui représente 4 millions de nouveaux immigrés permanents. L'Allemagne a accueilli 465 777 personnes en 2013, soit une hausse de 16,3 %. Cette forte immigration est l'effet direct de la dynamique économique des dernières années et d'une faible démographie. Le pays fait face à un vieillissement de la population et un taux de fécondité trop bas (1,41 enfant par femme).
Arrivée des Bulgares et des Roumains
A l'inverse, la sévère crise subie dans les pays périphériques de la zone euro fournit un afflux de main d'œuvre à l'économie allemande, en particulier venue d'Europe du Sud. Plusieurs grands pays d'immigration comme l'Italie, l'Espagne et le Portugal ont connu une baisse du nombre d'arrivants, note l'Organisation internationale. Les migrations en provenance de ces trois pays, plus la Grèce, ont été multipliées par trois ces dernières années.
«L'immigration en Allemagne vient essentiellement des flux intra-européens mais pas seulement d'Europe du Sud», complète Jean-Christophe Dumont. Si les Polonais représentent toujours la communauté la plus importante, une nouvelle vague d'immigration provient des derniers entrants dans l'Union européenne, en particulier les Bulgares et les Roumains, qui surpassent pour 2013 les Européens du Sud.
Des efforts sont faits Outre-Rhin pour attirer la main d'œuvre et faciliter leur intégration, notamment sur la gestion des compétences. «Le gouvernement a mis en place une loi sur la reconnaissance des qualifications et l'évaluation des compétences qui oblige les autorités à répondre dans les deux mois. L'instrument est disponible dans les pays d'origine. Il est très utilisé», commente l'expert international. La conjoncture, ajoute-t-il, favorise en elle-même l'intégration. Le contexte est bien différent en France avec plus de 5 millions de chômeurs et une croissance au ralenti.
L'exemple de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande
L'OCDE qui consacre dans ce rapport un chapitre sur les politiques d'intégration, souligne les difficultés. «La maîtrise de la langue et la non équivalence des diplômes pose souvent des problèmes. Nous constatons que globalement un tiers des immigrés diplômés ne travaillent pas au niveau de leurs qualifications. Un sur deux est inactif ou au chômage», ajoute Jean-Christophe Dumont. Et d'insister: «Les politiques migratoires sont trop figées, pas assez adaptées aux évolutions géopolitiques, économiques, concurrentielles». L'Organisation internationale recommande entre autres un meilleur accès pour les immigrés aux politiques actives du marché du travail, un contact plus direct entre les employeurs et les immigrés et des formations linguistiques adaptées.
Cités en exemple, les systèmes mis en place en Australie, Nouvelle Zélande et Canada ciblent leurs politiques d'immigration selon les besoins. «La nouveauté est de combiner l'offre et la demande, de dresser une liste de personnes éligibles consultables directement par les entreprises, les régions…», illustre l'expert de l'OCDE.
Le Figaro
AMMAFRICA WORLD
Deutschland Feiert das 25 Jahre Mauerfall : 25 ans de la Chute du Mur de Berlin ce Samedi 9 Novembre 2014
Presse- und Informationsamt der Bundesregierung
25 Jahre Mauerfall
"Das Fest der Freiheit":
25 Jahre Freiheit und Einheit
Hunderttausende friedlicher Demonstranten haben 1989 die Diktatur in der DDR überwunden. Sie haben die Mauer zu Fall gebracht und den Weg zur Deutschen Einheit freigemacht. Ihr Mut zur Freiheit war auch Mut zur Zukunft.
Die Vorbereitungen zum Bürgerfest laufen auf Hochtouren: Heute wird der Fall der Mauer vor 25
Jahren gefeiert. Die Bundesregierung und das Land Berlin laden ein. "Wir feiern das Fest der
Freiheit mit einem wunderbaren Programm", so Regierungssprecher Seibert. Erwartet werden Stars wie
Peter Gabriel und Udo Lindenberg.
"Sonderzug nach Pankow" und "Cello": Diese beiden Klassiker wird Udo Lindenberg heute beim großen
Bürgerfest in Berlin auf jeden Fall live präsentieren. "Das wird eine wunderbare Party. Jedes Jahr
zelebriere ich den 9. November. Aber dieses Mal ist es etwas ganz Besonderes", sagte Udo Lindenberg
am Freitag in großer Vorfreude auf das Fest. Den 9.11. vor 25 Jahren habe er in München verbracht.
"Da rief mich ein Kumpel an und meinte: Mach die Glotze an", so der Musiker. Am nächsten Tag habe
er sich in den Flieger nach Berlin gesetzt und tagelang gefeiert: "Das war die schönste Party
meines Lebens."
"Ohne Udo Lindenberg wäre das Fest nur halb so schön", meinte Regierungssprecher Steffen Seibert.
Er freue sich aber auch besonders auf Stars wie Clueso, die Fantastischen Vier, Peter Gabriel und
auf Daniel Barenboim und die Staatskapelle Berlin. Seibert rief alle Bürgerinnen und Bürger auf:
"Mitkommen, Mitfeiern, Mitfreuen und Miterleben."
Motto: "Mut der Freiheit"
Das große Bürgerfest unter dem Motto "Mut zur Freiheit" findet am Brandenburger Tor statt. Der
Schauspieler Jan Josef Liefers führt durch ein abwechslungsreiches Abendprogramm – mit Erinnerungen
an die Friedliche Revolution, der Öffnung einer symbolischen "Lichtgrenze" und natürlich viel
Musik. Auf dem Programm, inszeniert von der Berliner Künstlercompany phase7 unter Leitung von Sven
Sören Beyer, stehen unter anderem die Fantastischen Vier, Udo Lindenberg und Paul Kalkbrenner.
Daniel Barenboim und die Staatskapelle Berlin spielen den 4. Satz aus Beethovens 9. Symphonie ("Ode
an die Freude").
Als vor 25 Jahren die Mauer fiel, gingen die Bilder vom Brandenburger Tor um die Welt. Die Menschen
lagen sich in den Armen und tanzten auf der Mauer. Beim Bürgerfest sind diese Bilder neu zu
entdecken. Aber auch die Vorgeschichte darf nicht fehlen: Am Anfang steht die Erinnerung an die
Opfer der Mauer. Zeitzeugen, die sich der SED-Diktatur widersetzt haben, sind zum Gespräch
eingeladen, darunter auch der Liedermacher Wolf Biermann.
Zugangsmöglichkeiten zum Bürgerfest "Mut zur Freiheit" finden Sie hier.
Die "Lichtgrenze"
Bereits seit Freitag wird eine zwölf Kilometer lange "Lichtgrenze" aus 8.000 weißen Ballons den
ehemaligen Mauerverlauf nachgezeichnet – von der Bornholmer Straße über den Mauerpark, die
Gedenkstätte Bernauer Straße und den Reichstag, vorbei am Brandenburger Tor und am Checkpoint
Charlie bis zur East Side Gallery.
Jeder hat die Möglichkeit, Teil dieser Ballonaktion zu werden: Sie sind eingeladen, als Ballonpate
Ihre Botschaft, eine persönliche Mauergeschichte oder einen Gedanken zum Mauerfall zu erzählen. Auf
der Website www.fallofthewall25.com können Sie Ihre Beiträge einsenden.
Das Nachmittagsprogramm
Das Fest beginnt bereits um 14 Uhr – mit Interviews, Filmen und Musik, darunter einem Auftritt von
Clueso. Weitere Einzelheiten finden Sie hier.
Auf der anderen Seite des Brandenburger Tores, auf dem Pariser Platz, finden Sie ein interessantes
Informationsangebot: Die Bundesregierung zeigt die "Zeitreise", eine Video-Installation, die
Schlaglichter auf die vergangenen hundert Jahre der deutschen Geschichte wirft. In einem Gästebuch
können Sie Ihren persönlichen Eindruck wiedergeben. Besucher aus den USA, Polen und China haben
sich bereits eingetragen. Ihr Tenor: Berlin ist eine wundervolle und bewegende Stadt. Zudem
präsentiert das Bundespresseamt die Regierungs-App: Informationen aus erster Hand direkt auf Ihr
Smartphone. Und mehrere Institutionen, die sich der Friedlichen Revolution, dem Mauerfall und der
Aufarbeitung der SED-Diktatur widmen, bieten Informationsmaterial und geben Auskünfte.
Zum Jubiläum des Mauerfalls schreibt Bundeskanzlerin Angela Merkel in der jüngsten Ausgabe des
Magazins "Deutschland aktuell": "Ja, wir haben allen Grund, dankbar zu sein – denjenigen, die Mut
zur Freiheit bewiesen; denen, die mit politischer Um- und Weitsicht die Wiedervereinigung
Deutschlands herbeiführten; und allen, die in den vergangenen 25 Jahren die Chancen der Freiheit
nutzten."
Rede des Kanzlerin Angela Merkel von 6.November 2014:
Merkel: Das hat das Leben verändert
Es sei ein unbeschreibliches Gefühl gewesen, zum ersten Mal über die Bornholmer Brücke in den Westteil Berlins zu gehen, sagte die Kanzlerin in ihrem Video-Podcast zum 25. Jubiläum des Mauerfalls. 35 Jahre habe sie warten müssen, um endlich dieses freie Gefühl zu haben.
"Das hat das Leben verändert", so Merkel weiter. Auch wenn es heute noch strukturelle Unterschiede gebe, so könne man doch sagen: "Die junge Generation ist heute zusammengewachsen." Der Osten habe durch die Hilfe der alten Länder aufholen können. Es gebe heute die blühenden Landschaften, von denen Helmut Kohl damals gesprochen habe. Der Abwanderungstrend sei gestoppt. Das zeigt auch der Jahresbericht 2014 zum Stand der Deutschen Einheit.
"Und deshalb glaube ich, dass wirklich zusammenwächst, was zusammengehört", ist Merkel überzeugt.
Damit konnte damals, am 9. November 1989, kaum einer rechnen. Zunächst geschah an diesem Abend das Unfassbare: 28 Jahren, zwei Monate und 28 Tage nach ihrem Bau fällt die Berliner Mauer. Der Mut der Bürgerrechtler und hunderttausender friedlicher Demonstranten hat sie zum Einsturz gebracht und damit die Deutsche Einheit vorbereitet. Mit einem großen Bürgerfest wollen die Bundesregierung und das Land Berlin am 9. November 2014 das Jubiläum dieses Tages am Brandenburger Tor feiern.
9. November: Ein historischer Tag
"Dieser neunte November ist ein historischer Tag", sagte Moderator Hanns Joachim Friedrichs damals um 22.42 Uhr in den ARD-Tagesthemen. Die DDR habe mitgeteilt, dass ihre Grenzen ab sofort für jedermann geöffnet seien.
Viele haben noch heute die Bilder von dieser Nacht in Berlin im Kopf: Überglückliche Menschen, oft mit Tränen in den Augen, liegen sich in den Armen und feiern den Fall der Mauer. Immer wieder ist das Wort "Wahnsinn" zu hören.
Doch für die Deutschen ist nicht nur der 9. November 1989 ein besonderes Datum. 1918 markiert der Tag den Beginn der ersten deutschen Republik. 20 Jahre später: die Reichspogromnacht – das dunkelste Kapitel der deutschen Geschichte. Damals begann die offene Verfolgung der Juden durch die Nationalsozialisten.
Die Bundesregierung unterstützt und fördert das Gedenken an beide Ereignisse: die Reichspogromnacht und den Fall der Mauer. Es ist ein großes Glück, dass das jüngere der beiden Daten für den Sieg der Freiheit steht.
Mehr zu wissen-Pour plus d'informations supplémentaires, veillez consulter sur ce lien du site de la chancellerie:
http://www.bundeskanzlerin.de/Content/DE/Artikel/2014/11/2014-11-09-mauerfall.html;jsessionid=3290DA3C175134B1F38EE31DA52CA84A.s3t2
Ou alors en consulter le site du Gouvernement Allemand en cliquant ce lien:
http://www.bundesregierung.de/Webs/Breg/DE/Themen/Buergerfest/_node.html
Bundeskanzlerin./Bundesregierung.de
L'Allemagne fête 25 ans de la Chute du Mur de Berlin ce Samedi 9 Novembre 2014 Que Retient-on de cette journée commémorative?:Une Idiotie de la race Humaine dans son "égo" et une vision pour un avenir Meilleur lorsque le mur tombe. Ammafrica world team.
Le 9 novembre 1989, le Mur de Berlin tombait.
LA GUERRE FROIDE : LE MUR DE BERLIN
A l’occasion du 25e anniversaire de la chute du Mur de la Honte nous vous proposons de découvrir le quotidien des Berlinois confrontés à cette frontière infranchissable et meurtrière pendant 28 ans.
En cette année 1961, de plus en plus de personnes fuient l'Allemagne de l'Est en passant par Berlin Ouest. Cette date nous rappelle et nous fait vivre la succession des évènements et le contexte diplomatique qui ont amené à la fermeture rigoureuse de la frontière entre Berlin Ouest et Berlin Est dans la nuit du 12 au 13 août 1961 et à l'érection du mur de Berlin, décidée par les Etats du bloc communiste.
Que retient-on de par Cette journée Historique pour l'Allemagne?: Version Herodote:
1961-1989
Le Mur de Berlin dans l'Histoire
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, dès 1947, l'Europe se divise en deux camps ennemis, avec la mise en place d'un «rideau de fer», de Lubeck jusqu'en Tchécoslovaquie et au-delà. L'ancienne capitale allemande, Berlin, est elle-même partagée entre les Occidentaux et les Soviétiques.
Anglo-Saxons et Français craignent que le partage de la ville et du continent ne se pérennise. Leurs rivaux soviétiques veulent mettre la main sur l'ensemblee se cristallise le refus de l'Ouest d'accepter définitivement la partition de l'Allemagne et de l'Europe. Il n'y aurait jamais eu de mur de Berlin si les Américains et les Anglais n'avaient réagi avec vigueur au blocus de l'ancienne capitale du Reich !
Le Mur avant le Mur
Le 24 juin 1948, les Soviétiques, qui occupent Berlin-Est, coupent les communications terrestres entre l'enclave de Berlin-Ouest, répartie en secteurs anglais, américain et français, et l'Allemagne occidentale. La réussite du coup de force que représentait le blocus aurait signifié l'abandon par les alliés occidentaux de Berlin et son occupation par les Soviétiques. Mais, pendant près de onze mois, les Américains et les Anglais organisent un pont aérien pour ravitailler les Berlinois de l'Ouest.
Malgré 76 morts et un coût financier considérable pour les Occidentaux, le pont aérien finit par contraindre les Soviétiques à mettre fin au blocus, en avril 1949. La première raison de la construction du mur de Berlin tient donc à la détermination des Occidentaux à ne pas abandonner Berlin-Ouest aux Soviétique.
En 1950, le Land (région administrative) de Berlin-Ouest est intégré au sein de la nouvelle République fédérale d'Allemagne (RFA). Son statut d'enclave occidentale au milieu d'un territoire contrôlé par la RDA est ainsi conforté.
L'existence de Berlin-Ouest continue d'être insupportable pour les Soviétiques car les Allemands de l'Est y votent chaque jour «avec leurs pieds» en fuyant le régime soviétique. Il devient difficile de contrôler les 500.000 personnes qui traversent chaque jour la ligne de démarcation berlinoise, à pied ou par les réseaux de communication ferroviaire et métropolitain.
Berlin-Ouest est le principal espace de transit des Allemands de l'Est émigrant à l'Ouest. En 1958, déjà plus de trois millions d'Allemands de l'Est ont fui pour la RFA. Cette hémorragie humaine prive le pays de main-d'œuvre et montre à la face du monde la faible adhésion à la soviétisation de l'Allemagne de l'Est.
L'URSS tente un nouveau coup le 27 novembre 1958 en lançant un ultimatum exigeant le départ des troupes occidentales dans les six mois pour faire de Berlin une«ville libre» démilitarisée. Les alliés occidentaux refusent. En 1961, les Soviétiques prennent donc la décision de faire supprimer par la RDA la ligne de démarcation berlinoise en construisant un mur, qui deviendra «le mur de la honte».
Cette construction commence les 12 et 13 juin 1961 avec la pose de grillages et de barbelés autour de Berlin-Ouest. Puis les Soviétiques choisissent une date idéale pour faire exécuter leur oeuvre : le 13 août 1961, soit en plein pont estival pendant lequel nombre de de chefs d'État occidentaux sont en vacances.
La RDA annonce avoir l'agrément du pacte de Varsovie et présente la construction un«mur de protection antifasciste». Des unités armées de la RDA encerclent-elles Berlin-Ouest de façon hermétique et la construction du mur se réalise dans un temps record, ce qui signifie qu'il est le fruit d'une préparation longue et minutieuse.
Le mur est plus qu'un mur
Le mur est bordé de mines anti-personnelles, de pièges pour tanks, de barrières d'alarme... Au mur de 3,5 m de hauteur courant sur 155 km autour de Berlin-Ouest s'ajoutent ensuite les «murs» créés par la fermeture des réseaux de communication ferroviaire et métropolitain entre Berlin-Ouest et Berlin-Est.
Sur les 81 points de passage existant avant août 1961, 69 sont fermés dès le 13 août, par des barbelés et des murs de briques. Pour les visiteurs étrangers est assigné un point de passage unique situé dans Friedrich Strasse (Chekpoint Charlie), ouvert jour et nuit.
Les échanges économiques cessent entre les deux Berlin : 63 000 berlinois de l'Est perdent leur emploi à l'Ouest, et 10 000 de l'Ouest perdent leur emploi à Berlin-Est.
Pour faire face à cette nouvelle situation, de nombreux grands équipements concernant la culture (opéras), l'éducation (universités), les sciences (parcs zoologiques) sont dédoublés.
L'appel de la liberté reste constant tout au long des 28 ans de l'histoire du mur. Des milliers d'Allemands de l'Est tentent de le franchir au péril de leur vie. Au total, d'août 1961 au 8 mars 1989, 5 075 personnes réussissent à s'évader de l'Est pour Berlin-Ouest par divers moyens : escalade, mais aussi souterrains, voitures spécialement transformées, fuites à la nage sur la Spree... 588 personnes périssent dans cette tentative.
Le mur après le mur
En 1989, le gouvernement de la RDA ne parvient plus à enrayer l'émigration car celle-ci utilise un nouvel espace de transit, la Tchécoslovaquie, qui finit, sous la contrainte des milliers de voitures fuyant l'Est, par ouvrir ses frontières avec l'Autriche. Aussi le 9 novembre 1989, Günter Schabowski, membre du bureau politique, annonce-t-il la décision du gouvernement de RDA d'autoriser «les voyages privés à destination de l'étranger [...] sans aucune condition particulière».
Quelques heures plus tard seulement, les douaniers de Berlin ne parviennent plus à faire face à la demande et ne peuvent faire autrement de que de laisser simplement passer. Le mur est vaincu. Puis, fin 1989 et en 1990, le mur est démantelé à raison de 100 mètres en moyenne par nuit, avant l'organisation d'une démolition officielle qui se termine fin 1991. Six pans de mur sont conservés pour mémoire.
Toutefois, le mur demeure une cicatrice économique et humaine. Avant la guerre, Berlin était le plus gros et le plus innovant pôle économique et surtout industriel d'Allemagne. Puis Berlin-Ouest, en raison de son statut d'exception s'est retrouvé écartée de tous les secteurs d'entreprise innovants. À Berlin-Est, le système d'économie planifié socialiste, avec des entreprises étatisées et une organisation en grosses entreprises, entraîne déficience dans l'organisation et la rentabilité de l'économie.
Depuis 1990, Berlin, redevenu capitale allemande au détriment de Bonn, bénéficie de l'apport croissant d'administrations politiques nationales, de l'implantation d'institutions diverses, de l'installation de marques connues et surtout d'un essor touristique. Berlin a retrouvé ses «Champs Élysées», avec l'avenue Unter den linden (sous les tilleuls), artère Ouest-Est allant de la porte de Brandebourg jusqu'à la place du château (détruit et en voie de reconstruction).
Version Herodote
Mur de Berlin 1989-2009 : rencontre avec l'Histoire
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Depuis sa construction en 1961, jusqu'à sa chute en 1989 et finalement la commémoration des 20 ans, cette année : toute l'histoire du Mur de Berlin. |
Le 13 août 1961, les berlinois découvre avec stupéfaction leur ville divisée en deux par un réseau de barbelés. Cette décision prise la veille par le conseil des ministres de la RDA devait permettre officiellement d'endiguer l'exode de ses ressortissants vers la RFA. Mais elle cachait surtout des problèmes bien plus anciens liés au contexte international de l'époque, celui de la Guerre froide.
Berlin, un enjeu international
C'est à Berlin que ce conflit émergea en 1948 avec le blocus, et c'est là qu'il s'achèvera 40 ans plus tard avec la chute du Mur de Berlin. 1961 marque donc un tournant décisif dans cette histoire où les enjeux économiques, politiques et idéologiques sont au cœur du conflit qui oppose les Etats-Unis à l'URSS.Or, c'est la situation bien particulière de Berlin qui explique qu'elle soit l'objet de toutes les attentions. Il faut rappeler qu'à la sortie de la Deuxième Guerre Mondiale, les grands vainqueurs se partagent Berlin et divisent la ville en quatre secteurs:
- américain,
- français,
- anglais et
- soviétique. Or, tant que les alliés d'autrefois s'entendent, il n'y a pas de soucis sauf que la situation se complique.C'est donc ainsi qu'un mur a émergé.
L'opération "Muraille de Chine"
Décidée par Ulbricht et planifié par Honecker, elle mettra moins d'une journée pour être appliquée. L'armée populaire et la police des frontières mettent alors le projet à exécution. Les frontières sont fermées, les transports en commun interrompus. Des barbelés et barricades sont installés et les chaussés dépavées. Berlin Est est sous contrôle et ses habitants ne peuvent donc plus se rendre à Berlin Ouest ou en RDA. Le 23 août, Berlin Est n'est plus accessible.
Un Mur sous haute surveillance
Le régime Est allemand peaufinera au cours des années l'amélioration de la surveillance du Mur. Si en 1961 et 1962, les fortifications ne représentent que 12 km de mur, en 1970, elles atteignent 155 km. Dès 1972, le mur est considéré comme infranchissable. Le nombre de miradors augmente, un second mur est édifié, renforcé par des pièges et surveillé par des rondes incessantes de Vopos et les points de passage entre l'Est et l'Ouest sont limités à deux, Checkpoint Charlie et celui à proximité de la gare de Friedrichstrasse. Les tentatives d'évasion ont donc été nombreuses. On estime à 5 043 le nombre de personnes à avoir réussi à franchir le Mur et à 239, le nombre de fugitifs à avoir été tués
. Tunnels, voitures, bateaux, câbles métalliques, déguisements, les moyens pour passer le mur furent parfois des plus surprenant. L'évasion collective la plus spectaculaire reste quand même celle des 57 personnes qui creusèrent un tunnel sous les fortifications de la frontière.
La pression populaire face à ce manque de liberté conduira à fissurer le régime soviétique.
***La chute du Mur: premier pas vers la réunification***
Plusieurs facteurs ont donc joué dans l'effondrement du Mur de Berlin. Tout commence vraiment à s'accélérer avec la visite de officielle en RFA de Mikhaïl Gorbatchev en mai 1987. Ce dernier mène une politique novatrice marquée par l'abandon de la doctrine Brejnev. Le 7 octobre, de nombreuses manifestations de protestations contre le régime ont lieu et les allemands demandent à Gorbatchev de leur venir en aide. Le 18 octobre 1989, Honecker est limogé et le 9 novembre 1989, le Conseil des ministres de la RDA décide l'ouverture du mur de Berlin et des frontières. Des milliers de Berlinois de l'est comme de l'ouest se regroupent autour du mur de la "honte" pour célébrer la fin de 28 années de séparation.
@Linternaute
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Deutschland:Ein Historischer Tag:Mindestlohns in 2015!
Ein Historischer Tag fuer Deutschland:
Mindestlohns von 8,50£!
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