Une vue des grands ensembles dans un quartier populaire des Mureaux |
CONSTAT
LA VILLE DES MUREAUX POINTEE DU DOIGT
L'immigration africaine a plusieurs raisons. Souvent ce sont les conséquences d'un système d'exploitation généralisé qui a touché tous les domaines de la societé et de l'éducation.
Dit-on souvent:"On est mieux que chez soi"...Mais cette se réalise dans sin contraire; les africains se sentent mieux que chez eux; Donc; "on est mieux à l'"étranger que chez soi"!
N'y a-t-il aucune raison dans ces choses?. Certainement!!
Vidéo refléxion:
La direction
Ammafrica world Team
Si les Africains ne veulent résoudre les conflits majeurs qui poussent leurs populations à déserter le continent pour fuir vers ce paradis qu'ils ignorent ses méandres, ils seront surpris que d'autres gens venus d'ailleurs posséderont leur continent si riche qu'il ne mérite de déserter le lieu!
Quant à l'occident qui, au lieu d'aider réellement à ce qu'il y ait aussi une certaine amélioration de condition de vie des ces populations qui viennent chez eux pour chercher à "survivre", ils leur donnent de l'espace pour vivre! Une bonne manière d'étouffer le vrai problème et tout le monde s'en contente! Il est temps de commencer aussi à parler de cet hémorragie qui déjà, est devenue plus qu'un désastre!
@ammafrica
Le nombre de réfugiés et migrants ayant traversé la mer Méditerranée au péril de leur vie à destination de l'Europe en 2015 a dépassé les 300.000 personnes, dont près de 200.000 d'entre elles ont débarqué en Grèce et 110.000 en Italie, a déclaré vendredi le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).
« Cela représente une augmentation importante par rapport à l'année dernière, où 219.000 personnes ont traversé la Méditerranée au total », a indiqué Melissa Fleming, une porte-parole du HCR, lors d'un point de presse à Genève.
Parallèlement, environ 2.500 réfugiés et migrants sont estimés avoir péri ou disparu durant la traversée depuis le début de l'année, a ajouté Mme Fleming, précisant que ce bilan ne tient pas compte de la tragédie survenue la veille au large de la Libye.
La porte-parole du HCR a en effet déploré les pertes en vies humaines enregistrées au cours des derniers jours lors de trois incidents distincts.
Selon elle, les garde-côtes libyens ont réalisé deux opérations de sauvetage jeudi matin, au large de la ville portuaire de Zwara, où deux bateaux transportant environ 500 réfugiés et migrants au total ont été interceptés et leurs survivants ramenés sur les côtes libyennes. Mme Fleming a indiqué que 200 personnes sont toujours portées disparues et présumées mortes suite à cet incident, alors qu'un nombre encore indéterminé de corps a été retrouvé.
D'autre part, le mercredi 26 août, des secouristes venus à l'aide d'un bateau au large de la côte libyenne ont trouvé 51 personnes mortes par asphyxie dans la cale du navire.
La Méditerranée, la voie de passage la plus meurtrière pour les migrants
Selon les survivants, les passeurs auraient fait payer les migrants pour leur permettre de sortir de la cale afin de respirer. Le 15 août dernier, a rappelé la porte-parole du HCR, lors d'un incident similaire, les corps de 49 personnes avaient été retrouvés dans la cale d'un autre bateau, suite à l'inhalation de fumées toxiques.
Enfin, mercredi août également, un canot pneumatique transportant environ 145 réfugiés et migrants a connu des difficultés lorsque la personne à la manœuvre a accidentellement fait basculer le bateau d'un côté, a expliqué Mme Fleming, provoquant la chute en mer de plusieurs personnes, dont 18 sont toujours portées disparues et présumées noyées.
Trois femmes ont ensuite été piétinées à mort sur le canot dans la bousculade qui a suivi l'incident. Les survivants ont été secourus et emmenés à Lampedusa, y compris le nourrisson de deux mois d'une des trois femmes mortes durant la traversée.
Malgré les efforts concertés de l'opération conjointe européenne de recherche et de sauvetage FRONTEX, qui a sauvé des dizaines de milliers de vies cette année, la mer Méditerranée continue d'être la voie de passage la plus meurtrière pour les réfugiés et les migrants, a déclaré la porte-parole du HCR.
La plupart des personnes arrivant par la mer en Europe du Sud, notamment en Grèce, proviennent de pays touchés par la violence et les conflits, comme la Syrie, l'Iraq et l'Afghanistan. Physiquement épuisés et psychologiquement traumatisés, ils ont besoin d'une protection internationale.
Le HCR a donc appelé tous les gouvernements concernés à fournir une réponse collective et à faire preuve d'humanité, conformément à leurs obligations internationales.
@le potentiel
AMMAFRICA WORLD
L'afflux en masse des Africains vers l'occident devient plus qu'un souci. Et cela devrait interpeller les dirigeants Africains ainsi que l'Union Africaine de la peine que se donne leur peuple pour chercher à survivre ailleurs, en quête de ce bonheur qu'ils ne pensent le trouver qu'en Europe!
Il est temps de chercher à résoudre le problème à partir de sa racine que vouloir à tout prix combattre les effets que nous propulse la racine de problème!
@ammafrica
Par IMANI Ghana.
Des mouvements migratoires ont toujours existé entre les pays sahéliens et le Maghreb en général ; mais il s’agissait surtout de Maliens, de Nigériens et de Tchadiens, qui s’y rendaient pour des travaux saisonniers, et parfois, pour s’y installer. Mais aujourd’hui, le but a changé : il s’agit d’aller plus loin… en Europe. Le système des visas pour accéder aux pays européens, la difficulté pour les obtenir, et la création de l’espace Schengen, ont contribué au développement de filières migratoires clandestines, surtout en Algérie et au Maroc. Elles sont désormais, pour les candidats à l’émigration, la seule possibilité de réaliser leur projet.
Certes, l’accès en France des ressortissants de l’Afrique Noire relève des conventions de libre circulation des personnes, signées entre la France et la plupart des pays d’Afrique noire, peu après les indépendances. Mais les choses ont changé, et « l’immigration choisie » est loin de répondre aux attentes de tous ceux qui veulent partir.
Dans ces dernières années, l‘océan Atlantique est devenu le cimetière de milliers d’émigrants africains inconnus qui s’y noient en tentant de gagner les Canaries à partir de la Mauritanie. Pour environ mille euros chacun, gagnés dans l’économie souterraine à Nouakchott ou à Nouadhibou, les clandestins venus de divers pays d’Afrique noire se lancent dans la traversée, entassés à 40 ou 50 et parfois 70 sur des barques de pêche relativement robustes. Une panne de moteur ou une trop grosse vague seront souvent mortelles. Ils risquent tout pour ce voyage, et ils savent que leur futur ne sera pas aisé. Certains y laisseront leur vie, d’autres seront renvoyés chez eux et d’autres encore, qui atteindront leur destination, savent que leur existence n’y sera pas forcément plus facile. Mais les difficultés qu’ils rencontrent dans leur pays poussent des milliers de jeunes Africains à préférer l’exode, même clandestin.
Pourquoi un tel afflux d’immigrés vers l’Occident ? Pourquoi ces gens prennent-ils des risques frôlant le suicide ? Pourquoi ? Ils se retrouvent face à un choix difficile : « Avancer, c’est mourir ; reculer, c’est mourir. Alors, mieux vaut avancer et mourir. »
Pourquoi quittent-ils alors leurs pays ? Aucun homme ne quitte son pays pour le plaisir d’immigrer. « Mes oreilles résonnent encore d’un mot que prononçaient inlassablement les clandestins que j’ai côtoyés : le bonheur. Vouloir être heureux à tout prix, mettre sa vie en jeu et ne pas renoncer… Quelle que soit la difficulté. Quel que soit le temps qu’il faudra y consacrer. Un quitte ou double que nous n’osons plus regarder en face… » (Serge Daniel) « Nous sommes sortis de nos familles et de nos pays la rage au cœur avec l’envie de réussir… », affirme un jeune Camerounais. Pour lui, le chômage et la pauvreté constituent la principale cause de l’immigration, et le rêve et le mirage de l’eldorado occidental.
Depuis la décolonisation, on voit l’accentuation du sous-développement. L’Afrique subsaharienne doit importer la majorité des produits industriels et de consommation dont elle a besoin. Ceux-ci ont des coûts de plus en plus élevés, en raison de la forte dévaluation de la plupart des monnaies. Aussi la dette extérieure augmente dangereusement. De plus, les cultures vivrières qui doivent alimenter les populations sont sacrifiées au bénéfice de cultures d’exportation, au nom de l’impératif du développement. Or, les pays du Sud n’ont aucune prise sur la fluctuation des cours de ces cultures qui sont fixés unilatéralement par les pays industriels occidentaux. Devant faire face à la faim, la population doit chercher un endroit où le manger ne fera pas partie de la préoccupation quotidienne. Une sorte de terre promise, pays du salut. Et cet endroit, c’est l’Occident.
La seconde cause de migration est bien sûr l’injustice sociale et la grande précarité. Depuis la fin de la guerre froide, les aides se sont effondrées à des niveaux jamais connus. L’Afrique ne joue plus son rôle de partenaire, et elle doit traiter à leurs conditions avec les grandes multinationales occidentales, et les institutions financières internationales. La lutte pour le pouvoir et l’accès aux richesses a ouvert des conflits intérieurs et extérieurs de plus en plus dévastateurs. Un Africain sur cinq vit une situation de guerre ; et la violence est en train de devenir le mode usuel des relations sociales entre cadets et aînés, riches et pauvres, ethnies et religions différentes.
Le sida qui continue ses ravages (en 2007, 22,5 millions de sub-sahariens vivent avec le VIH) ; la faim (200 millions d’Africains ont faim, car l’Afrique demeure le continent le plus touché par la faim et la malnutrition) ; l’eau (malgré des réserves d’eau douce qui sont parmi les plus importantes du monde, 450 millions d’Africains souffrent toujours du manque d’eau courante et potable) ; le chômage (les emplois sont rares et les salaires trop maigres).
Bien des voix se lèvent pour dénoncer la victoire des partis d’extrême droite dans beaucoup de pays d’Europe et le renforcement des lois sur l’immigration. La xénophobie augmente, les immigrés sont montrés du doigt… Mais peut-on honnêtement accuser les immigrés d’être la cause du chômage, de l’insécurité, de l’insalubrité ?
On ne peut nier que l’immigration irrégulière constitue l’une des principales préoccupations des pouvoirs publics et des citoyens des pays industrialisés. Les moyens sont nombreux pour détourner la loi : entrée illégale dans les pays de destination, mariages blancs, dépassement des séjours autorisés, interprétation abusive du droit d’asile. On connaît aussi la difficulté à renvoyer les candidats non désirés.
Aussi tout est fait pour accroître le contrôle des frontières. Le 26 octobre 2004, l’Union Européenne crée Frontex (agence européenne pour gérer les frontières extérieures de l’Union Européenne). Certes, plus ces contrôles sont renforcés, plus il est difficile et risqué pour les clandestins de les franchir. Cela se traduit par plus de morts et de souffrances parmi ceux qui cherchent désespérément un avenir meilleur. Même ceux qui réussissent à passer ne sont pas pour autant sortis d’affaire. Ils sont souvent arrêtés et renvoyés dans leur pays, quand ils ne finissent pas dans des centres de rétention.
« Nous ne pouvons ignorer les véritables problèmes politiques que pose l’émigration, comme nous ne pouvons non plus perdre de vue les formidables perspectives qu’offre celle-ci aux émigrants, aux pays qu’ils quittent et ceux où ils se rendent. » (Kofi Annan, ancien Secrétaire général de l’ONU).
Il faut reconnaître que les migrations venant des pays du Sud sont d’abord une conséquence de la surexploitation des écosystèmes et d’une main-d’œuvre pauvre, insuffisamment protégée et non organisée. Piller les ressources naturelles d’une population, abuser de sa faiblesse pour lui faire extraire des minerais, cultiver des denrées alimentaires à vil prix, c’est exercer contre elle une véritable violence économique.
Chez nous, miser essentiellement sur « la sécurité » favorise le travail au noir et la clandestinité. Et ces clandestins, dont la fragilité fait l’affaire des trafiquants, sont évidemment perçus comme une concurrence déloyale par les travailleurs européens les plus exposés. C’est pour cette raison que l’économie souterraine doit être régularisée, comme les travailleurs sans papiers, afin de ramener l’argent noir vers les cotisations sociales. Et alimenter ainsi la solidarité, plutôt que les peurs et la répression.
Car cela nous regarde tous… L’Europe va perdre 66 millions d’actifs d’ici 40 ans. Et parce que sa population est vieillissante, elle ne pourra remédier à son déclin qu’en recourant à l’immigration.
C’est là une chance pour les populations des pays d’émigration, qui pourraient profiter de cette opportunité pour se développer et mieux se faire respecter. Enfin, parce que le métissage culturel est une richesse, les migrations doivent aussi être considérées comme une chance à saisir.
Si même le risque de mort ne dissuade pas les clandestins, comment agir ? La prison ? Ils s’en moquent. Le renvoi dans leur pays ? Ça coûte cher et ils reviennent. Surveiller les frontières, encore plus ? Coût trop élevé et impossible mission… Alors que faire ?
Il nous faut d’abord prendre davantage conscience des nombreuses difficultés que les migrants rencontrent au quotidien, bien qu’elles ne soient pas forcément les mêmes pour tous au même titre : une grande précarité au plan matériel (nourriture, entretien personnel, logement) et des difficultés d’accès aux soins ; peu et parfois pas du tout de travail, et un travail mal rémunéré ; l’attitude inamicale d’une bonne partie de la population locale ; un sentiment d’abandon et d’isolement, du fait qu’ils sont des clandestins ; souvent l’abus de pouvoir de la part des forces de l’ordre ; des conditions de refoulement très dures, voire inhumaines. Et tout cela est encore plus lourd pour les femmes et les enfants.
Il est certain que la plupart des migrants préféreraient rester dans leur pays d’origine, parce qu’ils y ont leur famille, leur culture, leurs racines. Il est donc urgent d’aider au développement des droits humains, de la démocratie, du syndicalisme et de la protection de l’environnement dans les pays africains. Mais il est vrai que les Occidentaux doivent aussi aider à créer de l’emploi chez eux, en investissant dans l’industrie, le textile, l’agriculture, la pêche, l’élevage… Réduire la pauvreté en Afrique est le moyen le plus efficace pour lutter contre l’immigration clandestine.
Les États d’Afrique doivent cesser d’agir comme dans les années de prospérité où l’Europe, en plein boom industriel et immobilier, avait besoin d’une main-d’œuvre africaine bon marché. Les temps ont changé, l’économie moderne emploie peu de travailleurs, et les syndicats européens eux-mêmes en sont les premières victimes.
Pour conclure
On peut reprendre les paroles de la Ligue des Droits de l’Homme :
« Migrer, quitter son pays, quel qu’en soit le motif, est toujours un choix douloureux, mais un choix dont le droit est inscrit dans la Déclaration universelle des Droits de l’Homme à l’article 13. Migrer est un choix personnel, aucune mesure étatique dans un monde où existe la liberté de circulation des marchandises, des services et des capitaux, ne pourra empêcher les personnes de circuler. S’il est légitime que les États contrôlent les entrées et les sorties à leurs frontières, il n’est pas légitime que les États considèrent les personnes qui se présentent à leurs frontières comme des criminels.
Les femmes et les hommes qui veulent venir en Europe ont le droit d’être accueillis, de faire valoir les raisons de leur venue. Faire croire aux citoyens européens que des mesures de contrôle aux frontières et bien au delà des frontières « protégeraient » l’Europe de l’immigration, que des morts en Méditerranée et ailleurs en seraient le prix à payer est un mythe dangereux, quand l’Union européenne évalue elle-même son solde migratoire à plus d’un million de personnes. »
Des hommes ont faim. Rien ne les empêchera d’aller dans les pays où ils pensent qu’on ne connaît ni la faim ni l’arbitraire. L’Afrique doit en tirer ses leçons.
L’Afrique est un continent si riche en ressources humaines ainsi que naturelles ; pourquoi donc refuser la liberté économique aux Africains ? « Nous sommes une génération qui croyons que le présent, c’était hier et aujourd’hui nous sommes déjà en retard.
L’avenir nous appartient ! À nous de le posséder… »
@contrepoints.org
AMMAFRICA WORLD
Ce que nous reprochons aussi à ceux de nôtres, c'est le refus de la "lecture" sur les événéments! Le Canada avait donc avertis, et reagir maintenant, c'est être le Dindon de la Farce....
Lisez l'article sur ce lien:http://www.ammafricaworld.com/citoyennete-canadienne-revoquee-pour-3000-personnes
De quoi se plaignent-ils?.Non mais soyons sérieux, le CANADA n'est pas BRAZZAVILLE qui n'a aucune Notion de refoulement des citoyens d'un pays voisin! Alors chers Congolais, si tu n'avais rien appris, tu n'apporteras RIEN dans ton pays d'origine, on en recevra encore un de fardeau de plus en RDC....Désormais, que chaque RD Congolais qui se trouve partout dans le Monde, puisse apprendre de l'étranger, afin qu'un jour, il apporte sa pierre à l'édifice...La RDC, un CANAAN à reconquérir....
Pourquoi boudez vous de rentrez chez vous si l'on vous chasse? 50 RD Congolais remplaceront ceux qu'on a exterminé non? (bien que retour forcé n'est jamais chose appreciable par le refoulé).
Mais de Grâce, le Pays ne se trouve nullement en GUERRE, sinon, vous ne ferez pas de "western union" à vos proches! Vous n'apprenez rien à ces gens là...LaGuerre si elle s'y trouve, c'est bien à L'EST du pays et tout un Monde se trouve labas (Brigade d'intervention rapide, MONUSCO, la Fardc en pleine lutte..)Quel genre des COMBATTANTS êtes vous?;les gens de L'EST, eux, n'affluent pas en masse vers l'occident, ils veulent RESTER chez eux , qu'on les extermine chez eux et se battent car ils connaissent mieux que vous leurs adversaires et "voisin" Rwanda!!!! Vous, vous dites combattants, mais restez loin du lieu de combat??.
Nous compatissons, mais nous sommes aussi realistes! Rentrez chez vous, on vous rejoindra lorsque NOUS, nous aurons fini avec nos sensibilisations en occident pour se retrouver au TERMINUS: LA RDC, Un CANAAN à reconquérir......
BITUMBA NIONSO EKOSUKISA BISO NA MBOKA, ESIKA BABOTA BISO!!!!!!!
'Sachez-les deja, avec ce qui se prépare en RDC, les RD Congolais auront des sérieux problèmes d'accepter leur "demande d'asile"! La Démocratie, bien que tatônnante,étant aussi fraichement "retablie" après plus de 30 ans de la dictacture, nul doute, qu'elle ne puisse pas être parfaite comme au Canada ou en occident....LePays a encore de ses politiciens qui se battent pour le POUVOIR et rien que le pouvoir au point de grincer des dents pur celui qui arrive au sommet de l'état!!!! La Démocratie se veut accepter la défaite dans toute humilité et de vâquer à autre chose tout en surveillant la "gouvernance" de l'autre; là où il a failli, les plaintes de peuple, inspirera l'adversaire politique et non un "ennemi politique", chose dont il faudrait éradiquer dans votre pays, qui est un ESPOIR du Monde!!!!!
Alors, mes frères; arrêtez de vous plaindre, on refoule ceux qui sont en situation irrégulière (Canada n'est pas Brazzaville...le nègre a fait honte à sa propre RACE) Sur ce, aidez ceux qui rentrent d'aller rejoindre les autres et leur être utile..Quant à vous qui restez, vivez avec "objectif", parce que DEMAIN de la RDC, sera MEILLEUR....
Bon retour au Bled Bro!!!!!
Video sur "Télé24 Live.com":
La Redaction
AMMAFRICA WORLD
Une vue des grands ensembles dans un quartier populaire des Mureaux |
La Belgique n'est-elle donc pas un "Etat de Droit"? et les policiers Belges ne connaissent-elles pas leurs "députés" pour être humilié de la sorte?. Devrait-on donc dire que le "racisme" serait-il une des causes qui a poussé à de tels traitements "Hitlerien"?
AmmAfrica world Refléxion.
Voici ce que nous rapporte le site de "Cheik Fita news":
Gisèle Mandaila, députée bruxelloise ainsi que trois autres femmes et un homme, tous d’origine congolaise ont été débarquées manu militari d’un vol SN à destination de Kinshasa, le samedi 15 février 2014.
Voici ce que nous avons recueilli sur place, auprès des cinq personnes débarquées.
Dans l’avion qui devait les amener à Kinshasa à partir de l’aéroport belge de Zaventem, il y avait une dame encadrée par la police et qu’on expulsait de la Belgique. Comme celle-ci criait, les cris de la malheureuse ont attiré l’attention des autres passagers. Madame Gisèle Mandaila qui était aussi dans l’avion s’approchera des policiers pour s’enquérir de la situation, elle sera reçue comme un chien dans un jeu de quilles. Les policiers ne voulaient rien entendre, rien savoir. Pourtant, c’est le souvenir du drame de Semira Adamu, tuée dans les mêmes circonstances en 1988 par la gendarmerie belge, qui motivait l’intervention de la députée. Car, le policier menaçait la dame expulsée de l’étouffer avec un coussin, en cas de nécessité.
(Les 5 personnes débarquées:Virginie; céline; Mavé, Gisèle Mandaila,et Boss)
Plusieurs passagers désapprouveront le traitement inhumain infligé à la jeune dame. La situation dégénéra au point que l’avion ne put continuer les manœuvres de décollage. Un renfort de la police arriva. Ce fut des coups sur ceux qui osaient s’exprimer, des injures du genre : « macaques », « rentrez chez vous si vous n’êtes pas contents… ».
La députée bruxelloise recevra même d’un policier un coup de poing en plein visage. Expulsés de l’avion, Gisèle Mandaila et ses compagnons d’infortune se retrouveront dans un fourgon de la police comme si c’était des bandits de grands chemins, pieds nus, sans manteau.
Si la compagnie aérienne a accepté de reprendre nos cinq voyageurs pour le vol du dimanche 16 février, au moment où nous avions quitté l’aéroport, rien n’avait encore été prévu pour le logement de celles qui venaient de Suisse et de France, et qui n’étaient que de passage à Bruxelles.
Vidéo témoignage:
Bruxelles, le 15 février 2014
Cheik FITA
(Titre et Refléxion)
AMMAFRICA WORLD
- Mis à jour le
GISÈLE MANDAILA A ÉTÉ DÉBARQUÉE DE FORCE DE L'AVION QUI DEVAIT L'EMMENER VERS KINSHASA CE SAMEDI MATIN, SELON LE TÉMOIGNAGE COURROUCÉ QU'ELLE NOUS A LIVRÉ IL Y A QUEQLUES MINUTES, ALORS QU'ELLE SE TROUVAIT ENCORE PIEDS NUS DANS UN FOURGON DE LA POLICE
À l'intérieur du même avion, "elle était entourée de deux policiers, retenue par le bras, elle ne pouvait pas bouger. On l'a même menacée de lui mettre un coussin pour la calmer". La situation a provoqué un mouvement d'humeur chez certains passagers ayant assisté à la scène, raconte encore Gisèle Mandaila qui se serait manifestée pour calmer les esprits, non sans prendre des photos à l'aide de son téléphone portable.
C'est ce qui, d'après elle, a conduit à son débarquement de l'avion par la police, de même que celui de la jeune femme renvoyée à Kinshasa. "Je ne suis pas contre les retours et je ne connais pas le dossier de cette dame, mais dans des conditions pareilles, c'est tout simplement inacceptable".
Elle annonce qu'elle va porter plainte suite au coup qu'elle aurait reçu dans le fourgon qui l'emmenait au poste de police de l'aéroport de Zaventem.
LA LIBRE.BE
AMMAFRICA WORLD
Les mises en garde préalables de José Manuel Barroso, le président de la Commission, et de Viviane Reding, la commissaire à la justice et aux droits fondamentaux, n'ont apparemment pas suffi à décourager les adversaires de la libre-circulation.
Dimanche, la Commission a publié une très brève réaction évoquant son« regret ». Selon elle, la votation « va à l'encontre du principe de libre-circulation des personnes entre l'UE et la Suisse ». L'Union, indique ce communiqué, examinera dès lors « les implications de cette initiative sur l'ensemble des relations » entre les Vingt-Huit et Berne. « Dans ce contexte la position du Conseil fédéral sera aussi prise en compte. »
REPLIS NATIONALISTES
Interrogé par la Radio suisse romande, le ministre luxembourgeois des affaires étrangères, Jean Asselborn, a été l'un des premiers à réagir. « Il faut accepter le choix du peuple suisse mais cela aura des conséquences », a-t-il indiqué. Pour le ministre, « la libre-circulation des citoyens européens a un pendant, c'est le marché intérieur. La liberté de circuler ne saurait être bradée, ni dans son principe, ni dans ses réalisations. Et le peuple suisse doit respecter les valeurs de l'UE ».
Pour M. Asselborn qui, dit-il, « refuse d'être radical », le vote de dimanche représente « en quelque sorte un coup d'arrêt aux relations anciennes entre la Suisse et l'UE ». Il estime que la politique du gouvernement britannique dans le domaine des prestations sociales pour les travailleurs de l'Est ou certains discours d'extrême droite ont pu influencer de manière négative le débat helvétique.
Lire : Suisse : les jeunes de l'UDC n'en « reviennent pas » de leur victoire
Interrogé par Le Monde, le ministre belge des affaires étrangères, Didier Reynders, estime également que les débats sur l'immigration qui agitent divers pays européens ainsi que les replis nationalistes ou régionaux, conjugués aux impacts de la crise économique, peuvent expliquer « l'agitation » du moment.Selon lui, les ministres affaires étrangères des Vingt-Huit, qui seront en réunion à Bruxelles lundi, devront examiner « les conséquences du vote pour la Confédération helvétique et les leçons qu'elle devra tirer ». « Nous devronsinterroger ses responsables sur la manière dont ils traduiront dans la réalité le résultat de la votation », souligne le ministre belge.« LA SUISSE A PROFITÉ DE L'IMMIGRATION EUROPÉENNE »Au Parlement européen, Hannes Swoboda, leader du groupe socialiste, a évoqué « le recul inquiétant » qu'implique le résultat de dimanche : « La Suisse tourne le dos à l'un des éléments les plus importants de sa relation avec l'UE (…)L'immigration n'est pas une menace mais un atout appréciable pour le développement économique et social de tout Etat moderne. »Pour l'eurodéputé social-démocrate, « la Suisse a longtemps profité de l'immigration européenne », et si elle suspend cette dernière « elle ne sera plus en mesure de compter sur les bénéfices économiques et commerciaux dont elle jouit à l'heure actuelle ».Lire : Suisse : « Un vote identitaire contre l'immigration, pas contre l'Europe »
Dimanche soir, Berlin a réagi à son tour à une décision qui va « créer de nombreuses difficultés » à la Confédération, selon le ministre allemand desfinances, Wolfgang Schäuble. Le plus européen des ministres d'Angela Merkel a déclaré dans une interview à la télévision publique allemande ARD : « La Suisse ne le prendra pas mal si je dis que nous regrettons cette décision. (…) Cela montre un peu, naturellement, que dans ce monde de la globalisation les gens ressentent un malaise grandissant vis- à-vis de la liberté complète d'installation (…) Je crois que nous devons tous prendre cela au sérieux. »Une lecture postcoloniale est pertinente pour rendre compte de la situation des immigrés et de leurs descendants en Occident
Depuis les temps immémoriaux, beaucoup d'Européens se considéraient comme une « race supérieure »à laquelle incombait le devoir de diriger le monde et de dominer les
« races inférieures ».
Cette vision raciale du monde a été la justification du colonialisme, une des plus grandes tragédies humaines de ces deux derniers siècles.
En Afrique, les victimes des guerres, des maladies, des famines engendrées par les Européens se comptent par centaine de millions, et les crimes de leurs armées préfigurent ceux que les nazis commettront plus tard à l'encontre des peuples européens.
Nous ne le pensons pas. Et aussi, loin de nous l'idée de réveiller les vieux démons, mais, par devoir de mémoire, il nous paraît impératif de partager avec vous une sélection non-exhaustive des réflexions de ces hommes de « Lumières ».
Ces idéologues du mal, dont les hommes, les monuments, les rues et certains lieux publics portent encore fièrement le nom dans nos villes et campagnes. Lisez plutôt...
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1. « Les Blancs sont supérieurs à ces Nègres, comme les Nègres le sont aux singes, et comme les singes le sont aux huîtres. »
« Leurs yeux ronds, leur nez épaté, leurs lèvres toujours grosses, leurs oreilles différemment figurées, la laine de leur tête, la mesure même de leur intelligence, mettent entre eux et les autres espèces d’hommes des différences prodigieuses. Et ce qui démontre qu’ils doivent point cette différence à leur climat, c’est que des Nègres et des Négresses transportés dans les pays les plus froids y produisent toujours des animaux de leur espèce, et que les mulâtres ne sont qu’une race bâtarde d’un noir et d’une blanche, ou d’un blanc et d’une noire. »
« La nature a subordonné à ce principe ces différents degrés et ces caractères des nations, qu’on voit si rarement se changer. C’est par là que les Nègres sont les esclaves des autres hommes. On les achète sur les côtes d’Afrique comme des bêtes. »
« La race des Nègres est une espèce d’hommes différente de la nôtre [...] on peut dire que si leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est très inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention, ils combinent peu et ne paraissent faits ni pour les avantages, ni pour les abus de notre philosophie. Ils sont originaires de cette partie de l’Afrique comme les éléphants et les singes ; ils se croient nés en Guinée pour être vendus aux Blancs et pour les servir.
» Voltaire (1694-1778, écrivain et philosophe, Essai sur les moeurs)
2. « On ne peut se mettre dans l’idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. (…) Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens. » Montesquieu(1689-1755, L’esprit des Lois).
3. « Le Noir africain est guidé par la fantaisie ; l’homme européen est guidé par les coutumes. »
Carl von Linné (1707-1778, naturaliste, fondateur de la systématique moderne, Systema naturae).
4. « Je suspecte les Nègres et en général les autres espèces humaines d’être naturellement inférieurs à la race blanche. Il n’y a jamais eu de nation civilisée d’une autre couleur que la couleur blanche, ni d’individu illustre par ses actions ou par sa capacité de réflexion… Il n’y a chez eux ni engins manufacturés, ni art, ni science. Sans faire mention de nos colonies, il y a des Nègres esclaves dispersés à travers l’Europe, on n’a jamais découvert chez eux le moindre signe d’intelligence. »
David Hume (1711-1776, économiste anglais).
5. « La nature n’a doté le nègre d’Afrique d’aucun sentiment qui ne s’élève au-dessus de la niaiserie (…) Les Noirs (…) sont si bavards qu’il faut les séparer et les disperser à coups de bâton. » Emmanuel Kant(1724-1804, Essai sur les maladies de la tête, Observation sur le sentiment du beau et du sublime).
6. « L’achat des nègres aux côtes d’Afrique, pour les transférer et revendre ensuite dans les possessions de l’Amérique, est-il un commerce légitime et peut-on le faire en conscience ? … La formulation de la question dont on vient de parler dépend d’un point de vue principal, il consiste à savoir si on peut légitimement avoir en sa possession des esclaves et les retenir en servitude, En effet, une fois bien prouvé qu’on peut légitimement en avoir et s’en servir : il demeure hors de doute, que l’on peut en acheter et en vendre …
A cette dernière question, je réponds que l’on peut licitement avoir des esclaves et s’en servir ; cette possession et ce service ne sont ni contraires à la loi naturelle, ni à la loi Divine écrite, ni même à la loi de l’Évangile. » Bellon de Saint-Quentin (théologien, Dissertation sur la traite et le commerce des nègres, 1765).
7. « Tout sentiment d’honneur et d’humanité est inconnu à ces barbares… Point de raisonnement chez les nègres, point d’esprit, point d’aptitude à aucune sorte d’étude abstraite… Leur naturel est pervers… »
Jacques-Philibert Rousselot de Surgy (Histoire générale des voyages, 1765).
8. « Par le métissage, le sang noir attaquerait en France jusqu’au cœur de la nation en déformant les traits et en brunissant le teint. » Louis Narcisse Baudry Deslozières (1764-1841, avocat et écrivain, Les égarements du Négrophilisme).
9. « La race nègre est confinée au midi de l’Atlas, son teint est noir, ses cheveux crépus, son crâne comprimé et son nez écrasé ; son museau saillant et ses grosses lèvres la rapprochent manifestement des singes : les peuplades qui la composent sont toujours restées barbares (…) la plus dégradée des races humaines, dont les formes s’approchent le plus de la brute, et dont l’intelligence ne s’est élevée nulle part au point d’arriver à un gouvernement régulier. » Georges Cuvier (1769-1832, zoologiste, Recherches sur les ossements fossiles).
10. « Les Africains, en revanche, ne sont pas encore parvenus à cette reconnaissance de l’universel. Leur nature est le repliement en soi. Ce que nous appelons religion, état, réalité existant en soi et pour soi, valable absolument, tout cela n’existe pas encore pour eux. Les abondantes relations des missionnaires mettent ce fait hors de doute (…)
Ce qui caractérise en effet les nègres, c’est précisément que leur conscience n’est pas parvenue à la contemplation d’une objectivité solide, comme par exemple Dieu, la loi, à laquelle puisse adhérer la volonté de l’homme, et par laquelle il puisse parvenir à l’intuition de sa propre essence" et de continuer en disant que l’Afrique est "un monde anhistorique non développé, entièrement prisonnier de l’esprit naturel et dont la place se trouve encore au seuil de l’histoire de l’universel. » Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831, La raison dans l’histoire).
11. « Le cerveau du Bochiman (…) mène à celui des Simiadae (les singes). Cela implique une liaison entre le défaut d’intelligence et l’assimilation structurelle. Chaque race d’Homme a sa place, comme les animaux inférieurs. » Charles Lyell (1797-1875, géologue, fondateur de la géologie scientifique).
12. « Le Nègre est une monstruosité intellectuelle, en prenant ici le mot dans son acception scientifique. Pour le produire, la nature a employé les mêmes moyens que lorsqu’elle enfante ces monstruosités dont nos cabinets offrent de nombreux exemples. (…) Il a suffi pour atteindre ce résultat que certaines parties de l’être s’arrêtassent à un certain degré de leur formation. De là, ces fœtus sans tête ou sans membres, ces enfants qui réalisent la fable de cyclope (…). Eh bien ! Le Nègre est un Blanc dont le corps acquiert la forme définitive de l’espèce, mais dont l’intelligence tout entière s’arrête en chemin. » Armand de Quatrefages de Breau (1810-1892, naturaliste et anthropologue, cité par Léon Poliakov, in Le racisme)
13. « La plus stupide, la plus perverse, la plus sanglante des races humaines », « Aucun progrès, aucune invention, aucun désir de savoir, aucune pitié, aucun sentiment », « La couleur noire, la couleur des ténèbres est vraiment le signe de leur dépravation. » Alfred Michiels (1813-1892, écrivain, Le capitaine Firmin ou la vie des nègres en Afrique).
14. « Il me semble voir un Bambara assistant à l’exécution d’un des airs qui lui plaisent. Son visage s’enflamme, ses yeux brillent. Il rie, et sa large bouche montre, étincelante au milieu de sa face ténébreuse, ses dents blanches et aiguës. La jouissance vient … Des sons inarticulés font effort pour sortir de sa gorge, que comprime la passion ; de grosses larmes roulent sur ses joues proéminentes ; encore un moment, il va crier : la musique cesse, il est accablé de fatigue…
Le nègre possède au plus haut degré la faculté sensuelle sans laquelle il n’y a pas d’art possible ; et, d’autre part, l’absence des aptitudes intellectuelles le rend complètement impropre à la culture de l’art, même l’appréciation de ce que cette noble application de l’intelligence des humains peut produire d’élevé. Pour mettre ses facultés en valeurs, il faut qu’il s’allie avec une race différemment douée… » Joseph Arthur de Gobineau (1816-1882, diplomate et écrivain, Essai sur l’inégalité des races humaines).
15. « Les traits de caractères intellectuel du sauvage (…) se retrouvent chez l’enfant civilisé. » Herbert Spencer (1820-1903, philosophe darwiniste, cité par Jay Gould, in Le mal mesure de l’homme).
16. « La nature a fait une race d’ouvrier, c’est la race chinoise (…) une race de travailleur de la terre, c’est le nègre (…) une race de maîtres et de soldats, c’est la race européenne. » Ernest Renan (1823-1892, le Discours sur la nation).
17. « La colonisation en grand est une nécessité politique tout à fait de premier ordre… La conquête d’un pays de race inférieure par une race supérieure n’a rien de choquant … » Ernest Renan (La réforme intellectuelle et morale).
18. « Ces malheureux sauvages ont la taille rabougrie, le visage hideux, couvert de peinture blanche, la peau sale et graisseuse, les cheveux mêlés, la voix discordante et les gestes violents. Quand on voit ces hommes, c’est à peine si l’on peut croire que ce soient des créatures humaines … On se demande souvent quelles jouissances peut procurer la vie à quelques-uns des animaux inférieur ; on pourrait se faire la même question, et avec beaucoup plus de raison, relativement à ces sauvages. » Charles Darwin(Voyage d’un naturaliste autour du monde, 1831 à 1836).
19. « Déjà les deux peuples colonisateurs, qui sont deux grands peuples libres, la France et l’Angleterre, ont saisi l’Afrique ; la France la tient par l’ouest et par le nord ; l’Angleterre la tient par l’est et le midi. Voici que l’Italie accepte sa part de ce travail colossal. L’Amérique joint ses efforts aux nôtres ; car l’unité des peuples se révèle en tout. L’Afrique importe à l’univers. Une telle suppression de mouvement et de circulation entrave la vie universelle, et la marche humaine ne peut s’accommoder plus longtemps d’un cinquième du globe paralysé.
De hardis pionniers se sont risqués, et, dès leurs premiers pas, ce sol étrange est apparu réel ; ces paysages lunaires deviennent des paysages terrestres. La France est prête à y apporter une mer. Cette Afrique farouche n’a que deux aspects : peuplée, c’est la barbarie ; déserte, c’est la sauvagerie (…). Au dix-neuvième siècle, le Blanc a fait du Noir un homme ; au vingtième siècle, l’Europe fera de l’Afrique un monde. (Applaudissements)
Refaire une Afrique nouvelle, rendre la vieille Afrique maniable à la civilisation, tel est le problème. L’Europe le résoudra. Allez, Peuples ! Emparez-vous de cette terre. Prenez là. A qui ? À personne. Prenez cette terre à Dieu. Dieu donne la terre aux hommes, Dieu offre l’Afrique à l’Europe. Prenez-la. Où les rois apporteraient la guerre, apportez la concorde. Prenez-la, non pour le canon, mais pour la charrue ; non pour le sabre, mais pour le commerce ; non pour la bataille, mais pour l’industrie ; non pour la conquête, mais pour la fraternité. (Applaudissements prolongés). Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires. Allez, faites ! Faites des routes, faites des ports, faites des villes ; croissez, cultivez, colonisez, multipliez. » Victor Hugo (Discours sur l’Afrique, 18 mai 1879).
20. « En Afrique les filles foisonnent, mais elles sont toutes aussi malfaisantes et pourries que le liquide fangeux des puits sahariens. » Guy de Maupassant (1850-1893).
21. « Je vous défie de soutenir jusqu’au bout votre thèse qui repose sur l’égalité, la liberté, l’indépendance des races inférieures. Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. » Jules Ferry (Débats parlementaires du 28 juillet 1885).
22. « Lorsque les Nègres sont échauffés, il se dégage de leur peau une exsudation huileuse et noirâtre qui tache le linge et répand une odeur désagréable. » Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, au chapitre « Nègre ».
23. « Nous créerons parmi les races qui peuplent la Terre, une véritable aristocratie, celle des blancs, non mélangés avec les détestables éléments ethniques que l’Asie et l’Afrique introduisent parmi nous ». « Après l’élimination des races inférieures, le premier pas dans la voie de la sélection, c’est l’élimination des anormaux … On va me traiter de monstre parce que je préfère les enfants sains aux enfants tarés … Ce qui fait l’homme c’est l’intelligence. Une masse de chair humaine, sans intelligence, ce n’est rien … »
Charles Richet (1850-1935, médecin, prix Nobel 1913 de physiologie, il considérait que la civilisation avait perverti la sélection naturelle, en donnant des avantages aux dégénérés qui ne méritaient pas de vivre).
24. « Notre sensibilité spécifique pour la beauté et la laideur chez nos congénères, dépend très étroitement des symptômes de dégénérescence dus à la domestication qui menace notre race. Il faudrait, pour la préservation de la race, être attentif à une élimination des êtres moralement inférieurs, encore plus sévère qu’elle ne l’est aujourd’hui ».
Francis Galton (1822-1911, physiologiste, cousin de Darwin, sa doctrine eugénique inspirera, cinquante ans plus tard, Hitler et le régime nazi).
25. « Au point de vue sélectionniste, je regarderais comme fâcheux le très grand développement numérique des éléments Jaunes et Noirs qui seraient d’une élimination difficile. Si toutefois la société future s’organise sur une base dualiste, avec une classe dolicho-blonde dirigeante et une classe de race inférieure confinée dans la main-d’œuvre la plus grossière, il est possible que ce dernier rôle incombe à des éléments Jaunes et Noirs. (…) Il ne faut pas oublier que l’esclavage n’a rien de plus anormal que la domestication du cheval ou du bœuf. » Georges Vacher de Lapouge (1854-1946, entomologiste et anthropologue, père de l’aryanisme, il fut l’auteur de L’Aryen et son rôle social, éléments fondateurs de l’antisémitisme nazi).
26. « Aucun gouvernement démocratique ne pourra jamais marcher en Afrique. » Bertrand Russell (1872-1970, mathématicien, cité par Paul Johnson, in Le grand mensonge des intellectuels).
27. « La principale de ces circonstances est assurément la privation de la lumière du Christ et même de tout reflet de cette lumière, qui a permis à l’Esprit mauvais de s’établir en maître, sur cette terre déshéritée de l’Afrique …
Les Noirs sont de temps immémorial livrés sans contrôle à un sensualisme abject, à la cruauté, au mensonge.
(…) Les nègres aujourd’hui vivent sous l’influence corruptrice de tant de générations impures qu’il serait étonnant de les trouver aptes à une haute civilisation morale immédiate. » Pierre Teilhard de Chardin(1881-1955, jésuite et théologien, La Guinée supérieure et ses missions, Les causes de l’infériorité du nègre ; Sa doctrine est toujours enseignée dans les séminaires en Afrique…).
28. « Il faudrait pour la préservation de la race, être attentif à une élimination des êtres moralement inférieurs encore plus sévère qu’elle ne l’est aujourd’hui … nous devons, et nous en avons le droit, nous fier aux meilleurs d’entre nous et les charger de faire la sélection qui déterminera la prospérité ou l’anéantissement de notre peuple. »
Konrad Lorenz (1903-1989, biologiste et philosophe, ancien sympathisant nazi devenu militant écologiste, prix Nobel 1973 de physiologie pour ses recherches sur le comportement animal).
29. William Shockley (1919-1989, physicien, prix Nobel 1956 de Physique, co-inventeur du transistor) demanda à l’Académie des Sciences américaines : « que des recherches soient entreprises pour déterminer l’influence de la forte natalité des Noirs sur la qualité de la population américaine et propose de stériliser ceux qui ont un QI inférieur à 100 », et fut l’auteur d’une proposition de loi destinée à octroyer une prime financière à toutes les femmes noires qui accepteraient de se faire stériliser.
30. « L’Européen ne saura jamais à quel point est effroyable la vie de ces malheureux qui passent leur temps dans la crainte des sortilèges dirigés contre eux. Seuls, ceux qui ont vu cette misère de près comprennent que c’est un devoir d’humanité d’enseigner aux peuples primitifs une autre conception du monde et de la vie, pour les délivrer de ces croyances funestes (…) Quant à l’effort intellectuel que représentent les conquêtes techniques, l’indigène n’est pas capable de l’évaluer. Mais quand il a affaire à un Blanc, il sent avec une intuition infaillible si celui-ci est une personnalité, une personnalité morale (…) le primitif ne connaît que des jugements de valeurs élémentaires (…) quand il rencontre la bonté unie à la justice et à la véracité, la dignité intérieure derrière la dignité extérieure, il s’incline et reconnaît son maître. »
Albert Schweitzer (1875-1965, théologien, philosophe, musicien et médecin missionnaire au Gabon, prix Nobel 1952 de la Paix, in À l’orée de la forêt vierge).
Cameroonvoice
Publié par AmmAfrica world
Photo:Sizo Zeka;président des conseils des sages des migrants.
Les gouvernements africains ont tous compris de l'importance de la diaspora dans la reconstruction nationale, d'où des nombreuses tentatives de rapprochement avec la diaspora.
Du 11 au 14 novembre a eu lieu à Bruxelles la 3ème réunion des experts pour la présentation et l'évaluation des activités réalisées par le projet :
vers la création d'une plate forme Afrique-Europe de la Diaspora.
Beaucoup de représentants de la société civile et des gouvernements ont été présents à cette réunion qui s'est tenue à l'hôtel 4 étoiles du grand Sablon Rue Bodenbroek , 2-4 à 1000 Bruxelles.
L'objectif global de la mise en place de la plate forme Afrique - Europe de la diaspora est de promouvoir la contribution de la diaspora africaine en qualité d'acteur majeur du développement . Pour atteindre cet objectif, trois séminaires d'experts ont été programmés durant les trois années de mise en œuvre du projet EADPD, avec comme objectifs stratégiques, entre autres, la construction d'alliances et gestion des connaissances.
Plus particulièrement, pour cette troisième et dernière réunion d'experts, les participants ont la charge de continuer à construire les bases de la future plate forme Afrique-Europe de la Diaspora. C'est justement à cause des ces pratiques des gouvernements qui consistent à sélectionner des professeurs et des experts afin de contourner des associations représentatives des Migrants que l'asbl"les amis du monde entier" a eu l'idée de créer "le conseil des sages des Migrants " comme espace de réflexion afin de veiller à la légitimité de leurs associations qui subissent chaque fois des menaces des politiques discriminatoires.
Si l'idée d'une plate forme Afrique-Europe est louable l'asbl"les amis du monde entier" n'a jamais approuvé le système qui consiste aux gouvernement de sélectionner des représentants de cette plate forme, nous pensons qu'il appartient aux associations représentatives des Migrants à pouvoir désigner leurs propres représentants au sein de ces assises pour consolider la cohésion sociale et éviter la disparition des associations existantes.
Dès lors l'asbl" les amis du monde entier" convoque la réunion du conseil des sages des Migrants le samedi 14/12/2013 à Bruxelles pour en discuter entre les associations membres et encourager les gouvernements africains à dialoguer directement avec le conseil des sages pour que la plate forme Afrique -Europe puisse être consolidée par les associations de terrain.
Zeka Sizo
Administrateur délégué
Président du Conseil des Sages des Migrants
Rue du commerce 3/31
4800 Verviers
Tél: 0032(0)87702829
Gsm: 0032(0)486325040
AMMAFRICA WORLD
Un samedi en début de soirée dans le quartier métissé de West Hyattsville à Washington, D.C. Un groupe de ressortissants maliens discutent bruyamment des derniers événements au Sahel:l’assassinat de deux journalistes français à Kidal, dans le nord du Mali, survenu un peu plus tôt dans la journée et les législatives maliennes prévues dans deux semaines. Ce qui revient aussi dans ces échanges passionnés, c’est la libération, quelques jours plus tôt, le 29 octobre, desquatre otages français qui étaient détenus au Niger.
Le groupe est assis autour d’une table, quelques boissons devant eux, la télévision tourne en boucle et des odeurs de cuisine envahissent cette petite salle où il fait vite très chaud et qui paraît encore plus exiguë au fur et à mesure que d’autres personnes y rentrent.
Le restaurant African Congress est l’une des adresses les plus fréquentées de la communauté africaine dans la capitale fédérale américaine. C’est ici qu’elle se retrouve les week-ends, afin de recréer une ambiance dans l’esprit des «soirs au village» et partager des nouvelles «du pays». Et ce samedi soir, tout ce qui s'est passé dans le semaine au Sahel plonge la clientèle de l’African Congress dans un mélange de soulagement, d’inquiétude et de colère.
Pour autant, aucun de ces femmes et hommes ne veut céder au découragement, comme l’explique Moussa, un Malien parti de Bamako, il y a une douzaine d’années, pour s’installer à Washington.
«Ce qui se passe est très grave, nous devons en prendre conscience et réfléchir en permanence à ce que nous pouvons faire de l’étranger. Mais la première chose consiste à garder l’espoir et l’enthousiasme et montrer que, malgré tout, des choses magnifiques se font en Afrique, qui méritent aussi d’êtres connues», explique ce jeune homme de 34 ans qui a monté un commerce de revente d’appareils électroniques.
Comme beaucoup d’autres, il est venu aux Etats-Unis, afin d’expérimenter le fameux «rêve américain». Le fait de se retrouver dans ce petit restaurant avec quelques compatriotes ou des ressortissants d’autres pays africains est une manière de ne jamais l’oublier et de se donner du courage pour aller de l’avant. Et les restos façon «petits maquis» d’Abidjan ou de Douala sont des endroits appropriés pour cela. Ne cherchons pas à comprendre pourquoi. Le fait est qu’il y en a plusieurs comme le Kitchen Near You, le Sumaah ou encore le Roger Milla, tous concentrés sur la route en direction de Maryland.
«Si les Africains installés à l’étranger, et précisément ici à Washington, ne saisissent pas toutes les occasions pour mettre en avant l’énergie et la créativité de leur pays d’origine, personne ne le fera à leur place», ajoute Moussa.
C’est pourquoi, il est un rendez-vous que presqu’aucun Africain installé à Washington ne manque. C’est la foire de Downtown Silverspring, qui est une sorte de carnaval hebdomadaire. Chaque samedi, cet endroit se transforme en une sorte de grand village africain. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’on y trouve de tout: des stands d’objets artisanaux aux étals de produits alimentaires typiques du continent.
D’un côté de ce Downtown Silverspring, son disposés des stands de dégustation de ce que l’on appelle «country food» (l’atiéké ivoirien, le thièp ou le mafé sénégalais ou encore le n’dolé camerounais). D’un autre côté, une petite scène accueille toux ceux qui le souhaitent pour des activités culturelles.
«Nous avons mis en place ce rendez-vous hebdomadaire, il y a quelques années, afin de permettre aux ressortissants africains de se rencontrer, de mieux se connaître et renforcer la solidarité sans laquelle il serait assez difficile de surmonter l’éloignement de nos proches restés au pays», explique Georges-Léonard Sagno, un ancien responsable de l’Association des Guinéens de la région de Washington.
Regrouper les Africains! On pourrait penser que cela va de soi, lorsqu’ils se retrouvent dans un même endroit à l’étranger, comme c’est le cas à Washington. En réalité, pas vraiment. Si l’on s’en tient aux diverses associations répertoriées par la mairie, les Africains de Washington se regroupent principalement par affinités nationale ou sous-régionale. Nigérians, Sénégalais, Guinéens, Ethiopiens, Ivoiriens ou Camerounais, Sud-Africains ou Kényans ont chacun leur association.
«C’est une bonne chose, mais cela n’aide pas beaucoup à s’intégrer dans ce pays, qui est pourtant une vraie terre d’opportunités, ajoute Georges-Léonard Sagno, arrivé à Washington il y a dizaine d’années et qui travaille comme journaliste à la Voix de l’Amérique. Le fait de se retrouver nous permet de nous rendre compte de notre potentiel, de partager nos expériences et de réfléchir ensemble sur ce que nous pouvons faire pour nos pays respectifs.»
Dans ce même esprit, toutes ces associations se préparent pour les toutes premières Journées culturelles africaines d’Amérique du Nord (JCAAN), prévues le 14 décembre prochain à D.C. Au-delà de ce qui se veut un grand rassemblement de la diaspora africaine dans cette partie du monde, les organisateurs entendent surtout créer un cadre de réflexion et de propositions en matière d’éducation, santé, bonne gouvernance et de démocratie.
«Le développement de l’Afrique est impossible sans la diaspora. C’est une vérité incontestable, mais c’est aussi une lourde responsabilité que nous nous devons d’assumer», explique Mercy*, une coiffeuse kényane et l’une des responsables de l’organisation. Pour Mercy, les JCAAN devront proposer une plateforme de contributions pour le continent, mais elles serviront aussi à montrer que le rêve américain est toujours possible.
Les Africains de Washington occupent tous les secteurs d’activités, des plus ingrats aux plus prestigieux (vigiles, agents de nettoyage, enseignants, journalistes, ingénieurs, médecins, etc.).
De nombreux autres se sont même lancés en politique comme le Camerounais Nestor Djomkam. Il est arrivé aux Etats-Unis, il y a vingt ans et a aussitôt adhéré au Parti démocrate. Aujourd’hui, comme candidat indépendant, il ambitionne de devenir le prochain maire de Washington, à l’issue des élections de novembre 2014. Il dit avoir de bonnes chances de l’emporter et de bénéficier du soutien des Africains et même des Latinos, même s’il reste encore une longue année pour battre campagne, avant le scrutin.
«Ma candidature n’est pas une candidature africaine, même si je peux affirmer bénécier du soutien et des encouragements de tous», souligne Nestor Djomkam que tous les Africains que nous avons rencontrés dans la capitale fédérale américaine, appellent déjà affectueusement, «Monsieur le maire». Ils y croient presque tous, et Nestor Djomkam lui même s’y voit déjà.
Peu importe si la communauté africaine de Washington, D.C., malgré son dynamisme et son enthousiasme, représente seulement une infime partie des quelques 632.000 habitants de la ville. Mais nous sommes aux Etats-Unis, où l’idée que tout est possible est fortement ancrée dans les esprits. A condition de s’en donner les moyens. «Monsieur le maire» Nestor Djomkam le dit dans une jolie formule, «la chance n’existe qu’au bout de l’effort».
Raoul Mbog, à Washington
*Le prénom a été changé pour respecter l’anonymat de notre interlocutrice.
Source: Slateafrique
AMMAFRICA WORLD
Nous interpellons les Congolais ainsi que d'autres organisations pour manifester la compassion à l'egard de ce couple malheureux, apparemment qui semble nous cacher certaines informations, cela n'explique pas la raison de vivre dans le froid!
Selon l'une des informations recu,le couple ne veut entendre d'aucune autre aide sauf que rester dans la Gare s'attendant résoudre leur problème à leur manière alors qu'une église protestante Africaine du groupe de Réveil avait tendu la main au couple dont l'affaire ne dit encore son nom, mais ils n'ont pas voulu de leur aide!...
Comment alors venir en aide à ce couple?.
Prière d'interpeller les autorités compétentes afin de leur disposer une aide psychologique et spirituelle!
AMMAFRICA WORLD
Le Racisme en Europe ou presqu'en occident est un sujet assez courant que les Africains ou disons le autrement; que les "Migrants" affrontent souvent! La ministre de l'intégration Mme Cécile Kyenge en est l'une des exemples ayant subie aussi des propos discriminatoires lors de sa nommination comme ministre de l'Intégration mais; n'étant pas une femme qui se laisse faire; toujours de l'avant; elle croit au changement d'une Europe "sans racisme"! Ces nombreuses interventions peuvent nous laisser croire à cette possibilité au cas où son message est écouté et surtout saisi par les decideurs qui seront appuyés par l'opinion tant nationale qu'internationale!
AmmAfrica world par son souci d'une Diaspora Africaine épanouit et émergente; croit en une diaspora Africaine consciente et dynamique en vue de promouvoir pourquoi pas aussi la culture et la présence de l'identité Africaine au sein de la communauté Européenne qui se prépare bientôt à son forum Européen de la Culture! Avec les discours de la ministre de l'intégration de l'Italie; nous pouvons coordonner nos pensées en vue d'une action commune désirant permettre aux Migrants d'avoir un espace Libre en Europe et pourquoi pas en Occident tout entier?!
Les Africains sont appelés à participer à cet appel à l'unité dans la diversité afin de s'echanger pour apporter une seule voix à l'Union Européenne!
Nous sommes optimiste pour un Monde meilleur où le racisme; toute discrimination raciale ne serait plus qu'un simple souvenir d'un temps!
Rédaction
AMMAFRICA WORLD