La nomination de Robert Mugabe à la tête de l'union Africaine fait débat!
Une Nomination qui tombe à pic!
En effet, après tas des conflits que l'Afrique traverse en ce moment, des guerres souvent "imposées" selon certains analystes politique, des agressions diverses, renversements des certains pouvoir en Afrique, jugé état "bandit" par ces dirigeants qui s'éternisent au pouvoir comme le cas de la Lybie et Côte d'Ivoire, l'Afrique ne cesse de succomber sous les jougs de l'impérialisme colonial, qui, estimant bien nécessaire de corriger ces dirigeants "Têtus" par une sorte des guerres des libérations qui, dans le fond, ne libère rien de concret, car le peuple croupisse encore dans les misères sans précédentes! Comme c'est le cas de la république Démocratique du Congo dont son peuple ne vit pas pleinement la joie de cette démocratie qui venait de renverser le pouvoir de Mobutu, alors qu'il restera après avoir trahi son ami du "scooter" Patrice Emery Lumumba plus de 30 ans au pouvoir sans aucune émergence économique après le départ des Belges!
Le président Mugabe est resté parmi ces dirigeants Africains qui continuent de faire encore la tête aux occidentaux!
sa nomination risque de bousculer certains données dans la politique Africaine, si cela est ce que redouterait donc l'occident!
Cependant, pour bien consolider la démocratie en Afrique, il est temps de commencer à préparer les alternances de pouvoir car, en politique, il est vrai, qu'il faudrait maitriser le jeu démocratique!
il s'agit de former l'équipe qui gagne et gagnera toujours pour les projets communs qu'on tient à réaliser à tout prix, que de pouvoir défendre un "individu" qui, lorsque ce dernier sera écarté, c'est donc pour la plupart, la fin brusque sans alternance rassurante qu'on assiste!!!
L'analyse de l'agence France presse est plus tendancieuse qu'impartiale!
Je vous laisse découvrir l'analyse mais avertissons les africains que le changement radicale est une chose évidente que ce continent ne saurait plus éviter!
Nous souhaitons beaucoup de succès au président Robert Mugabe pour sa nomination!
@ammafrica world
Le Zimbabwéen Robert Mugabe nouveau président en exercice de l’Union africaine
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, plus ancien chef d’Etat africain en exercice, a été désigné vendredi à la présidence tournante de l’Union africaine (UA), a constaté un journaliste de l’AFP.
Robert Mugabe, autocrate de près de 91 ans, au pouvoir depuis l’indépendance de son pays en 1980, a échangé une poignée de main avec son prédécesseur, le Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz sous les applaudissements de leurs pairs.
J’accepte humblement votre décision collective, pleinement conscient de la lourde responsabilité qu’elle implique, a-t-il déclaré, en prenant la présidence tournante de l’UA pour un an.
M. Mugabe, héros de la libération nationale au Zimbabwe et qui se pose en champion du panafricanisme, est régulièrement accusé de museler l’opposition par la violence et d’avoir ruiné son pays. Il multiplie depuis des années provocations et tirades incendiaires contre l’Occident et les impérialistes.
Paria aux yeux des pays occidentaux, le chef de l’Etat zimbabwéen est l’objet depuis 2002 de sanctions européennes et américaines, incluant une interdiction de voyager.
L’an dernier, une invitation spéciale lui avait été délivrée pour lui permettre d’assister au sommet UE-Afrique organisé à Bruxelles. C’est lui qui avait alors décidé de boycotter la réunion.
La nomination de M. Mugabe à la tête de l’UA a suscité un certain embarras dans les rangs de l’organisation panafricaine.
Des diplomates ont évoqué un hasard malheureux et une règle impossible à contourner offrant, à tour de rôle, la présidence de l’UA à chaque grande région africaine: c’était le tour de l’Afrique australe et le Zimbabwe était seul pays en lice.
Des observateurs ont estimé que cette élection était un mauvais signal envoyé par l’organisation sur les valeurs de démocratie et de gouvernance qu’elle prétend défendre et risquait de nuire à son image.
Samedi matin, en ouverture du Sommet de l’UA, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a appelé les dirigeants africains à ne pas s’accrocher au pouvoir. Les dirigeants modernes ne peuvent se permettre d’ignorer les voeux et aspirations (des peuples) qu’ils représentent, a plaidé M. Ban.
AFP
@Oeildafrique
AMMAFRICA WORLD
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