Une américaine de 20 ans a été emprisonnée pour avoir eu des rapports sexuels avec deux chiens de sa famille. Une belle relation amoureuse qui durait depuis les 13 ans de la jeune fille et que la justice réactionnaire américaine a rendu impossible. Espérons que Cécile Duflot et Audrey Pulvar prennent rapidement position pour défendre l’amour, l’égalité et la tolérance.
Brittany Angélique Sonnier, jeune américaine de 20 ans, habitante de l’Arizona, avait découvert l’amour à l’âge de 13 ans, dans une relation non conventionnelle avec deux de ses chiens. Entre félations faites aux chiens, cunilingus reçus et pénétrations vaginale pratiqueées avec brio par les deux bêtes (selon les enqueteurs) dont on ignore les races, les fichages ethniques étant interdits, la jeune fille prenait et donnait du plaisir. N’y a-t-il pas plus belle valeur, plus forte vertu, ou même d’autres raisons de vivre que la jouissance sexuelle ? Non, bien sûr, c’est pourquoi il est inadmissible que des limites aient pu être fixées à une personne en matière de plaisir sexuel.
La jeune femme avait du entrainer ses chiens à se comporter normalement en présence d’étrangers, à cause du poids trop lourd du regard porté par la société sur la « différence ».
Les policiers ont été alertés par le petit copain de Britanny, visiblement jaloux, qui a dénoncé sa concubine quand elle lui a montré des photos zoophiles et avoué son penchant pour les canidés et son fantasme pour l’inceste. Le jeune homme avait également prévenu le père de Britany mais celui ci était déjà au courant de la « différence » de sa fille. Il aurait même entamé une procédure judiciaire afin d’ôter à sa fille la garde de son bébé.
Viens en France Britanny, nous t’accueillerons à bras ouverts et François Hollande ou Valérie Trierweiler pourront même être témoins de tes noces à trois avec tes deux gentils toutous !
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