SHALOM A TOUS JE VOUS INVITE A LIRE ET A PARTAGER CE TÉMOIGNAGE PUISSANT,C'EST TRÈS LONG MAIS PREND LE TEMPS DE LIRE TU SERAS EDIFIE...
NCROYABLE MANIFESTATION DE JESUS-CHRIST DANS LA VIE D'UNE EX MUSULMANE (complet)
" Une maladie étrange"
Je suis Mme OUATTARA MAÏMOUNA. Je suis née et j’ai grandi dans l’Islam. Dans ma jeunesse, je me plaignais souvent de douleurs au ventre dont mes parents et moi ignorons l'origine. Ils tentèrent de me soigner à l’indigénat sans succès. A la longue, ils abandonnèrent les traitements parce qu’il n’y avait pas de suite favorable.
Dans cet état, mes parents me marièrent à un homme que j’ai découvert le jour même du mariage. J’ai alors appris à l’aimer et à la servir dans la soumission qu’exigeait ma religion.
NCROYABLE MANIFESTATION DE JESUS-CHRIST DANS LA VIE D'UNE EX MUSULMANE (complet)
" Une maladie étrange"
Je suis Mme OUATTARA MAÏMOUNA. Je suis née et j’ai grandi dans l’Islam. Dans ma jeunesse, je me plaignais souvent de douleurs au ventre dont mes parents et moi ignorons l'origine. Ils tentèrent de me soigner à l’indigénat sans succès. A la longue, ils abandonnèrent les traitements parce qu’il n’y avait pas de suite favorable.
Dans cet état, mes parents me marièrent à un homme que j’ai découvert le jour même du mariage. J’ai alors appris à l’aimer et à la servir dans la soumission qu’exigeait ma religion.
Dans le foyer, le problème de ventre, rencontré dans ma jeunesse, a resurgit et je n’enfantais pas. Mon mari commençait à perdre patience quant à mon infertilité et devenait menaçant de jour en jour. Je lui ai avoué que cela était dû à des problèmes de ventre que j’ai eu depuis ma jeunesse. Il décida alors de m’accompagner voir des guérisseurs et des marabouts. Malheureusement, nous n’avons pas eu gain de cause. Aussi, nous ne connaissions pas la cause de ces douleurs de mon ventre. Dès lors, la joie commença a manqué dans mon foyer du fait de l’absence de Grossesse.
" Je n'avais pas de trompes"
Après quatre années de vie conjugale et après avoir essayé plusieurs solutions traditionnelles, mon mari décida d'essayer la médecine moderne. Arrivé en clinique, le médecin me demanda ce qu'il n'allait pas chez moi. Tout ce que je pouvais lui dire était que j'avais des douleurs de ventre. Après les examens médicaux, il s'est avéré que je n'avais aucune trompe. Le docteur nous disait qu'il peut arriver qu'une femme ait une seule trompe mais quant à manquer totalement de trompes c'était un cas très rare.
Mon mari me proposa après d'aller voir ailleurs pour avoir confirmation. Après consultation de plusieurs médecins, il s'est avéré que je n'avais effectivement pas de trompe. Tout cela était mystérieux. Exaspéré de tout cela, mon mari me demanda quelle de planète venais-je pour ne pas avoir de trompes. Je lui répondit que tout s'arrangerait.
" Le début de mon calvaire dans mon foyer"
C'était le début d'une vie de souffrance et de douleur due à la colère que manifesta mon mari. Mais devant tout acte qu'il posait, je gardais mon calme et faisais tout pour apaiser sa colère car je me reconnaissais fautive. il arrivait des moments où il cassait les assiettes, versait les repas que je préparais, refusait de me saluer. J'étais convaincu qu'il cherchait une faute à mon niveau, soit en acte soit en parole, pour occasionner le divorce. Mais par la grâce de Dieu je trouvais toujours des paroles pour ne pas attiser le feu qui était déjà en cours dans mon foyer. Par exemple, lorsqu'il renversait le repas et qu'il m'interrogeait sur ce que j'avais à dire, je répondais que c'est parce que le repas n'était doux qu'il avait versé. Lorsqu'il cassait les assiettes, je lui disait que c'est parce qu'elles avaient trop durées avec nous. Donc il n'avait pas tort.
Face à mon calme devant ces agissements, il décida de vivre dans l'adultère allant même à souiller parfois le lit conjugale et ce en ma présence. Aussi, ma belle-mère profita d'une de ses visites à mon domicile pour
renverser de la bouillie sortie du feu sur mon dos. j'en porte encore les traces.
Après tout, mon mari décida de me laisser dans la maison et de s'en prendre une autre ailleurs.
" ma rencontre avec Jésus "
J'étais toute seule dans la maison, abandonnée, méprisée avec tant de méchanceté. Certains sont allé même à me donner un surnom qui signifiait celle qui était "ni femme ni homme". D'autres me traitaient de sorcière.
C'est dans cette situation de solitude et de mépris qu'un jour, enfermée dans la maison et malheureuse, j'entendis une voix me disant : "ma fille Hélène". Je croyais me trouver dans un rêve. Mais cette voix continuait de retentir dans mes oreilles jusqu'à ce que je me réveille. Je ne m'appelle pas Hélène mais Maïmouna. Lorsque j'ai ouvert les yeux, je me rendis compte que ce n'était pas un rêve mais la réalité. Ma chambre était remplie d'une Lumière qui n'avait rien de comparable à nos ampoules luminescentes.
Je me suis levée et de mon lit puis je me suis assise. J'ai remarqué que dans cette lumière, il y avait un homme arrêté qui me disait encore "Hélène ma fille, j'ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours". J'étais stupéfaite et perturbée en moi-même car je n'avais jamais vu de telle chose. Une autre nuit, Il arriva et redit les mêmes paroles ajouta "Je suis l'Eternel ton Dieu". C'était un inconnu pour moi car je ne connaissais qu'Allah et Mahomet.
Lors de l'entretien que j'ai eu avec cet Etre étrange j'étais en pleure. Je ne Le voyais pas clairement mais sa voix douce transperçait mon âme. Le troisième jour successif, je pris la décision faire mes valises et de quitter cette maison si cette Personne étrange revenait pour la troisième fois.
Le soir du troisième jour, l'Etre étrange est revenu et répétant encore les mêmes paroles à mon égard. La Lumière était toujours vive et remplissait la maison. Ce soir-là j'ai décidé de le voir de plus près. J'ai essayé de voir ses pieds, malheureusement, il portait une longue robe blanche qui traînait autour de Lui. Je voyais aussi une tête mais pas le visage; une tête qui portait une couronne et le sang autour.
Il reprit cette-fois et me dit: "Ma fille Hélène, Je suis l'Eternel ton Dieu. Je suis venu à ton secours. Dis: "Jésus". (Il le répéta trois fois). " J'ai arrêté mes pleures et je me demandai si Jésus n'était pas en réalité son Nom. J'ai essayé de prononcer ce nom mais je n'arrivais pas à le faire; jusqu'à ce que j'ai trouvé les ressources pour le faire. Après avoir prononcé ce nom, j'ai reçu un vent doux et léger qui me souffla. Je sentit un poids qui me quitta et me rendit légère. Je continuais de prononcer ce nom de Jésus et j'ai senti une joie qui m'envahi et ôta ma tristesse. J'étais tellement heureuse comme si je venais de recevoir toute la Côte d'Ivoire comme don. Lorsque j'arrêtai de répéter le nom de Jésus, j'ouvris les yeux et la Lumière n'était plus.
" A la recherche de Jésus"
Un moment, je me suis arrêtée de prononcer ce nom et je me demandais qui était-il en réalité pour que je puisse l'expliquer à ma famille ?
J'ai pris la décision de partir tout de même. Dans la rue, j'entendis encore cette voix que j'ai reconnue toute de suite. Elle m'appelait toujours Hélène. J'ai répondu alors "oui". De l'autre côté de la rue une femme se dirigeait vers moi. Cette voix me dit alors :"Demande à cette femme qui arrive qui est Jésus". Ce que je fis. Je dis à la femme que je cherchais quelqu'un qui m'a visité à trois reprises mais je ne Le connais pas. Le connaissiez-vous ? La femme me dit que si je connaissais au moins son nom ça serait facile. Alors je me suis rappelé de ce beau nom de Jésus. La dame me demanda de répéter le nom et je le répéta. elle me prit dans ses bras toute heureuse. Elle se pencha tout doucement levant les yeux vers le ciel et dit :" Oh Seigneur ! Depuis que je t'ai connu, j'ai désiré te voir mais tu ne t'est pas révélé à moi. Mais voilà que Tu te révèles à ceux qui ne te connaissent même pas."
Tout ça me paraissait étrange.
Lorsque je lui posa la question de savoir si elle savait où habitait Jésus, elle me répondit oui.
Je lui ai demandé alors de m'accompagner chez lui.
Elle m'a prise par la main et m'a conduite chez son pasteur.
Ce dernier m'a reçu avec amour. J'étais vraiment touché par leur marque d'attention et d'amour car cela m'était étrangère. Lorsqu'on me demandait les nouvelles, la dame qui m'a accompagné me demanda de répéter au pasteur ce que je lui avait dit sur la route. Je lui dit "Ne m'as-tu dit que tu connaissais chez l'autre (Jésus) monsieur ?"
Je lui ai proposé de partir directement chez celui que je cherche c’est-à-dire chez Jésus.
Elle me répondit que ce monsieur est son serviteur et qu'il Le connaissait très bien.
Cela me rassura et je lui ai donné l'objet de ma visite.
Après les exhortations du pasteurs, je lui ai encore demandé où habitait Jésus ?
Il me dit que Jésus habitait chez lui. Je repris pour lui demander de dire à Jésus que j'étais là qu'Il pouvait venir me voir.
L'homme de Dieu me dit alors que Jésus recevait les mardis et jeudis à 18 heure et les Dimanche matin.
Je pris alors la décision de rentrer à la maison et de revenir le mardi soir.
Le mardi, je me suis rendu à l'église. Dans le sermon du pasteur, je voyais le récit de ma vie de souffrance et de misère. Je me demandais si c'était la dame qui lui a parlé de moi. Mais avec elle, je n'ai pas eu d'échanges. Je croyais plutôt que c'était Jésus qui lui avait tout raconté car Il connaissait ma maison.
A la fin du sermon, l'appel fut lancé et je pris la décision d'accepter Jésus comme mon Seigneur et mon Sauveur personnelle.
Après ma conversion, un changement se lisait sur mon visage, dans ma condition physique et morale. Car l'Evangile venait de faire son entrée solennelle dans ma vie. Je vivais tranquillement ma foi avec la conviction d'avoir reçu le pardon de mes péchés.
A l'église, je priais pour mon époux qui avait déserté la maison afin qu'il fasse la rencontre de Jésus. Le temps passait et l'exaucement à ma prière tardait. Je gardais la foi en Dieu et je persévérais toujours dans la prière.
Quelques mois plus tard, mon mari décida de faire un tour à la maison pour prendre un document. Dès qu'il entra dans la maison, je l'ai salué et il ne me répondit pas. J'ai tenté de lui parler de mon expérience mais il ne me donna pas l'occasion. Et lorsqu'il s'apprêta à sortir de la maison, Je parlai dans son dos en disant: " lors de ton absence, Jésus est venu ici à la maison et je l'ai accepté. Je suis devenu chrétienne". Il marqua alors une pause et me fixa dans les yeux. Il me demanda de répéter ce que je venais de dire. Dans la joie, je le lui répétais. A ma grande surprise, il me saisit et se mit à me battre. Mais pendant qu'il me battait, j'avais un seul mot sur les lèvres : "Alléluia".
Il s'arrêta un instant et me regarda. Et lorsque j'enlevais mes mains sur mon visage car je le protégeais, je dis encore "alléluia". Mon mari s'écria "Astaghfour' llah". Et comme il était pressé, il me dit qu'il revenait tout de suite. A son retour, il me posa la question de savoir si je savais pourquoi est-ce qu'il était revenu ? Je répondis non. Il me dit alors que c'était pour me battre jusqu'à ce que je renonce à ma croyance en Jésus. Après m'avoir battu, il porta la nouvelle dans ma famille et dans la sienne. Il annonça aux parents que j'avais rétrogradée et que j'étais devenu mécréante. Pour ma famille, j'existais plus.
Huit années plus tard, le Seigneur va décider d'exaucer mes prières.
" Le début des miracles "
Chaque jour, je priais pour mon mari qui m'avait quitté, pour ma belle-mère qui m'a brûlée et pour mes parents qui m'avaient abandonnée.
Un jour, et huit années après, mon mari décida de revenir à la maison avec tous ses valises. Ce jour-là et pour la première fois depuis la manifestation de sa colère, je lui ai souhaité bon arrivée et il m'a répondu. J'ai cru alors que Jésus était monté dans ma barque (Alléluia !) pour calmer ma tempête.
" Sans trompe, j'étais enceinte "
Neuf ans après son retour à la maison, Dieu va opérer un miracle. Mon mari ne s'opposait plus systématiquement à ma chrétienté sauf qu'il m'interdisait de la pratiquer en sa présence.
Dans le neuvième mois de cette année, je rentrais dans ma chambre pour prier et une voix se fit entendre par moi en me disant: "Ma fille, réjouis-toi car tu portes un enfant en ton sein". (Alléluia !)
Je commencais alors à Le louer dans ma chambre. Remplis de joie, j'ai décidé de porter la nouvelle à mon mari qui était assis au salon. Malheureusement, dans sa colère, il ne voulut point savoir ce que j'avais à lui dire. J'attendais dans la prière un moment favorable pour le lui annoncer. C'est ainsi qu'un jour, mon mari me demanda ce que je voulais lui dire depuis lors. j'ai saisi alors cette occasion pour lui annoncer la bonne nouvelle. Il se mit alors en colère en me demandant comment se fait-il que mon Dieu ne sache pas que je ne peux enfanter. Et même s'Il ne le sait pas pourquoi ne lui ai-je pas dit ?
Je repris la Parole pour lui dire que Dieu m'avait informé de mon état de grossesse et que je croyais fermement. Il décida alors de m'envoyer à l'hôpital pour vérification.
L'ayant poussé au défi, il me dit: "Si les docteurs confirment ton état de grossesse alors ton Dieu sera mon Dieu. "
Une des remarques importantes que j'avais faite était que dans ma famille, la stérilité frappait les femmes. Ce qui a sans doute été une cause. Y avait-il un lien ancestral ? De toute façon le sang de Jésus était puissant pour me purifier de tout lien qui me tenait captive.
Lorsque nous avons emprunté le chemin de l'hôpital, nous nous sommes rendu à la maternité. Nous avons été reçu par la sage-femme. Devant cette dernière, mon mari prit la Parole et dit : "cette femme est ma servante. Elle prétend que son Dieu Lui aurait révélé qu'elle était enceinte. Nous sommes alors venu pour que vous puissiez l'examiner. Si jamais cela était avéré je compte la renvoyer."
Après examen, la sage-femme me dit qu'elle était désolée pour moi car je serai renvoyée de mon travail. Après, elle confirma la grossesse auprès de mon mari. Oubliant qu'il m'avait présenté auprès de la sage-femme en tant que sa servante, mon mari sauta sur la dame, la prit dans ses bras et s'écria de joie. Comprenant rien à cet agissement, la sage-femme reprit la parole et dit: "je viens de vous annoncer que votre servante était enceinte". A ce moment précis, mon mari sortit tous les examens antérieurs qui confirmaient mon absence de trompe donc mon infertilité. Il ignorait que Jésus avait déjà payer ma dette et que l'ordonnance qui me condamnait il l'avait déchirée. Amen
Lorsque la sage-femme prit connaissance de ces papiers, elle lui dit que si elle ne m'avait pas examiné, elle ne croirait jamais que je sois enceinte. Il affirma par la suite que je n'étais pas sa servante mais plutôt sa femme. Après cela, la sage-femme me fit entrer de nouveau dans une salle en vue de savoir depuis combien de mois j'étais enceinte. Après vérification, elle nous annonça que cela dure depuis quatre mois. Au sortir de la maternité, mon mari qui ne voulais pas que je marche près de lui, me demanda de marcher doucement pour ne pas abîmer l'enfant. Il arrêta un taxi et nous sommes rentré à la maison. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, il prit la décision de suivre le Seigneur Jésus.
Dans les jours qui ont suivi, mon mari prit le carnet de maternité que la sage-femme nous avait remis, parcourait nos familles pour annoncer la bonne nouvelle. Cela n'a pas été sans conséquences. Mon père reprochait à ma mère de m'avoir mal éduqué. Il la chassa donc de son foyer et elle s'est retrouvé chez son petit frère. Toutefois, ma mère attendait de voir l'aboutissement de cette grossesse avant de se prononcer officiellement.
" Une main tenait mon bébé dans mon ventre "
Lorsque nous nous sommes rendu à l'hôpital pour l'échographie, nous nous demandions comment le bébé était placé dans le ventre s'il n'y avait pas de trompes ? Les sages-femmes dirent alors que l'enfant ne pouvait pas vire dans le ventre jusqu'à terme par ce que je n'avais pas de trompes. Après échographie, l'écran a révélé qu'il y avait une main dans le creux duquel reposait l'enfant. A la vue du résultat, celui qui était chargé de l'échographie, sortit pour appeler ses collègues afin qu'Ils viennent voir. Et lorsqu'ils se mirent à m'interroger sur l'origine de cette main, je leur dis que c'était la main de l'Eternel des Armées.
" mon premier accouchement"
Au cours d'un culte du soir, le Seigneur me révéla que je devrais accoucher un jeudi. A cette date, mon mari pris une permission afin de rester avec moi. Alors que nous étions dans la cuisine aux environs de 9h, mon bébé arriva. De ses propres yeux, mon mari a vu le bébé descendre. A la vue de l'enfant qui était à sa ressemblance, mon mari manifesta une grande joie.
Après avoir confié les soins de l'enfant à une de nos mamans de l'église, mon mari parcouru nos différentes familles pour annoncer la nouvelle de l'accouchement. Lorsqu'il l'annonça à ma mère, elle décida de venir me voir. ils arrivèrent tous deux à la maternité. Lorsque ma mère m'a vue couchée à la maternité et le bébé près de moi, elle enleva son voile, le plia doucement et le jeta loin d'elle en disant: "ma fille, aujourd'hui ton Dieu devient mon Dieu". (Alléluia !) Après donc la maternité, ma mère accepta le Seigneur Jésus comme son Seigneur et son Sauveur personnelle. Nous étions dès lors trois à connaitre le Seigneur Jésus (Ma mère, mon mari et moi). Nous avons donné comme nom à notre premier garçon un nom qui signifie "le juste vivra par la Foi". Aussi, l'Imam d'une mosquée qui était marié à six femmes, envoya l'une d'entre elles pour s'enquérir des nouvelles de ma situation. Il était au premier rang de ceux qui m'ont persécuté quand j'ai accepté le Seigneur Jésus. Quand elle reparti dans sa famille rapporter la bonne nouvelle, plusieurs se convertirent et acceptèrent Jésus-Christ. En plus de cela, mes parents et ceux de mon mari se convertirent aussi.
" Mon triplet"
Après ce premier enfant, je fis un deuxième. A ma troisième grossesse, l'échographie a révélé qu'il n'y avait qu'un seul enfant dans mon ventre. Pourtant le Seigneur m'avait révélé qu'il s'agissait d'un triplet. Face à mon insistance, la sage-femme décida de venir connaître mon domicile car disait-elle, si l'accouchement révèle qu'il s'agit effectivement de triplet dans mon ventre, elle accepterait mon Dieu comme le sien. Au moment où mon mari et moi allions dire au Seigneur que le nombre était suffisant, j'étais à quinze (15) enfants. En 2007, mon quinzième enfant avait 15 ans.
"Première résurrection : celle de mon 13ème fils"
Nous adorions le Seigneur et nous le servions après cette suite d'évènement lorsque les pasteurs organisèrent une croisade à l'intérieur du pays plus précisément à TINGRELA.
Avant notre départ, mon treizième (13è) enfant âgé de 9ans était malade. Lorsque les Hommes de Dieu arrivèrent pour que nous allions en croisade, ils me suggérèrent de rester compte tenu de la santé de mon fils. Je leur répondit que la guérison de mon fils ne dépendait ni de ma présence ni de mon absence, mais de l'Eternel des Armées. Et qu'Il n'avait par conséquent pas besoin de moi pour guérir mon enfant. J'ai décidé alors de confier mon enfant au Seigneur très malade et de partir en croisade ave les Hommes de Dieu. Mon absence était prévue pour trois semaines.
Au moment où nous étions en pleine adoration, sur les lieux de la campagne, le Seigneur me révéla que l'enfant s'était endormi (il était mort). J'ai remercié le Seigneur pour cela et je me suis dit que lorsque quelqu'un dort il se réveille toujours. Je l'ai tout de suite rapporté à mes pasteurs.
Deux semaines après quelqu'un est venu nous annoncé le décès de l'enfant. Mais ne sachant comment le dire, je le pris aux mots et tirai la conclusion à sa place. Les frères lui dirent que la mère est déjà informée du décès de son enfant. Dans l'étonnement, il voulu savoir qui l'avait devancé alors qu'il fut désigné pour annoncer cette nouvelle. Je lui répondit que Dieu Lui-même me l'a déjà annoncé. Il me demanda alors de rentrer avec lui pour les funérailles. Je me suis opposée pour la simple raison que le programme n'était pas encore fini. Les pasteurs aussi insistèrent pour que je rentre mais j'ai refusé.
Le temps passait et les funérailles étaient achevés. Le corps étant à la morgue, mon mari décida d'enterrer l'enfant compte tenu de mon absence prolongée.
Le jour qu'ils avaient choisi pour la levée du corps coïncida avec la fin du programme et le retour à Abidjan. A mon arrivée à la maison, plusieurs me consolèrent. Lorsque mon mari s'approcha e moi, je lui dis que l'enfant dormait. Il répliqua pour me dire qu'il était à la morgue. Je lui répondis que ce n'était pas grave. J'ai demandé alors aux pasteurs de m'accompagner à la morgue pour nous mettions l'enfant dans la voiture en vue de revenir avec lui à la maison. Ils ne me répondirent pas sur le champ mais préférèrent se concerter d'abord. L'un des pasteurs revint vers moi pour savoir davantage mes intentions. Je lui répondit que je voulais tout simplement qu'on libère le corbillard et que nous partions chercher l'enfant qui dort à la morgue.
Lorsque nous nous sommes rendus à la morgue, nous avons fait la levée du corps, nous sommes rentré à la maison avec lui. Il était 10h du matin. J'ai demandé à ce qu'on fasse couché l'enfant dans la chambre et cela a été fait.
Après une prière formulée dans la chambre et la louange, l'enfant commença à éternuer. J'ai continué de louer mon Dieu jusqu'à ce qu'il commença de dire d'une manière répéter: "merci Seigneur". Quelques instants après, je l'ai appelé par son nom et il me répondit. Je tendis ma main et il la saisit. Mais il ne pouvais se lever. J'ai continué de prier et il finit par se tenir sur ses jambes mais avait les yeux fermés. Je suppliai encore le Seigneur et Il ouvrit ses yeux. Et l'enfant entonna le chant qui disait: "Jésus m'a sauvé et toi ?" Après avoir remercié Dieu ensemble, je m'apprêtais à le faire sortir. Je sortis la première et tous les regards étaient braqués sur moi. Je soulevai le rideau et appela le petit garçon. Lorsqu'il sortit en publique, tous ceux qui étaient assis dehors sans exception se levèrent et prirent la fuite. Devant cette fuite, l'enfant me demanda et je ne savais comment lui expliquer. Lorsqu'ils se sont suffisamment éloignés de la maison, ils regardèrent en arrière puis s'encouragèrent à revenir sur les lieux.
" Deuxième et troisième résurrection : celle de mon mari et d'une autre personne"
Devant la manifestation glorieuse de mon Seigneur, l'ennemi n'avait pas encore jeté l'éponge.
Au cours de l'affaire concernant les déchets toxiques à Abidjan, mon mari, étant corps habillé, fut parmi les éléments des Forces de l'ordre qui furent désignés pour assurer la garde sur les lieux de la décharge des déchets. Il s'est avéré plus tard que la plupart des forces de l'ordre qui gardaient le lieu étaient victimes des déchets.
Quelques jours plus tard, alors qu'il s'apprêtait à se rendre à son service, mon mari me signifia qu'il ressentait des douleurs à la tête. Nous avons priés ensemble.
Huit années plus tard, le Seigneur va décider d'exaucer mes prières.
" Le début des miracles "
Chaque jour, je priais pour mon mari qui m'avait quitté, pour ma belle-mère qui m'a brûlée et pour mes parents qui m'avaient abandonnée.
Un jour, et huit années après, mon mari décida de revenir à la maison avec tous ses valises. Ce jour-là et pour la première fois depuis la manifestation de sa colère, je lui ai souhaité bon arrivée et il m'a répondu. J'ai cru alors que Jésus était monté dans ma barque (Alléluia !) pour calmer ma tempête.
" Sans trompe, j'étais enceinte "
Neuf ans après son retour à la maison, Dieu va opérer un miracle. Mon mari ne s'opposait plus systématiquement à ma chrétienté sauf qu'il m'interdisait de la pratiquer en sa présence.
Dans le neuvième mois de cette année, je rentrais dans ma chambre pour prier et une voix se fit entendre par moi en me disant: "Ma fille, réjouis-toi car tu portes un enfant en ton sein". (Alléluia !)
Je commencais alors à Le louer dans ma chambre. Remplis de joie, j'ai décidé de porter la nouvelle à mon mari qui était assis au salon. Malheureusement, dans sa colère, il ne voulut point savoir ce que j'avais à lui dire. J'attendais dans la prière un moment favorable pour le lui annoncer. C'est ainsi qu'un jour, mon mari me demanda ce que je voulais lui dire depuis lors. j'ai saisi alors cette occasion pour lui annoncer la bonne nouvelle. Il se mit alors en colère en me demandant comment se fait-il que mon Dieu ne sache pas que je ne peux enfanter. Et même s'Il ne le sait pas pourquoi ne lui ai-je pas dit ?
Je repris la Parole pour lui dire que Dieu m'avait informé de mon état de grossesse et que je croyais fermement. Il décida alors de m'envoyer à l'hôpital pour vérification.
L'ayant poussé au défi, il me dit: "Si les docteurs confirment ton état de grossesse alors ton Dieu sera mon Dieu. "
Une des remarques importantes que j'avais faite était que dans ma famille, la stérilité frappait les femmes. Ce qui a sans doute été une cause. Y avait-il un lien ancestral ? De toute façon le sang de Jésus était puissant pour me purifier de tout lien qui me tenait captive.
Lorsque nous avons emprunté le chemin de l'hôpital, nous nous sommes rendu à la maternité. Nous avons été reçu par la sage-femme. Devant cette dernière, mon mari prit la Parole et dit : "cette femme est ma servante. Elle prétend que son Dieu Lui aurait révélé qu'elle était enceinte. Nous sommes alors venu pour que vous puissiez l'examiner. Si jamais cela était avéré je compte la renvoyer."
Après examen, la sage-femme me dit qu'elle était désolée pour moi car je serai renvoyée de mon travail. Après, elle confirma la grossesse auprès de mon mari. Oubliant qu'il m'avait présenté auprès de la sage-femme en tant que sa servante, mon mari sauta sur la dame, la prit dans ses bras et s'écria de joie. Comprenant rien à cet agissement, la sage-femme reprit la parole et dit: "je viens de vous annoncer que votre servante était enceinte". A ce moment précis, mon mari sortit tous les examens antérieurs qui confirmaient mon absence de trompe donc mon infertilité. Il ignorait que Jésus avait déjà payer ma dette et que l'ordonnance qui me condamnait il l'avait déchirée. Amen
Lorsque la sage-femme prit connaissance de ces papiers, elle lui dit que si elle ne m'avait pas examiné, elle ne croirait jamais que je sois enceinte. Il affirma par la suite que je n'étais pas sa servante mais plutôt sa femme. Après cela, la sage-femme me fit entrer de nouveau dans une salle en vue de savoir depuis combien de mois j'étais enceinte. Après vérification, elle nous annonça que cela dure depuis quatre mois. Au sortir de la maternité, mon mari qui ne voulais pas que je marche près de lui, me demanda de marcher doucement pour ne pas abîmer l'enfant. Il arrêta un taxi et nous sommes rentré à la maison. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, il prit la décision de suivre le Seigneur Jésus.
Dans les jours qui ont suivi, mon mari prit le carnet de maternité que la sage-femme nous avait remis, parcourait nos familles pour annoncer la bonne nouvelle. Cela n'a pas été sans conséquences. Mon père reprochait à ma mère de m'avoir mal éduqué. Il la chassa donc de son foyer et elle s'est retrouvé chez son petit frère. Toutefois, ma mère attendait de voir l'aboutissement de cette grossesse avant de se prononcer officiellement.
" Une main tenait mon bébé dans mon ventre "
Lorsque nous nous sommes rendu à l'hôpital pour l'échographie, nous nous demandions comment le bébé était placé dans le ventre s'il n'y avait pas de trompes ? Les sages-femmes dirent alors que l'enfant ne pouvait pas vire dans le ventre jusqu'à terme par ce que je n'avais pas de trompes. Après échographie, l'écran a révélé qu'il y avait une main dans le creux duquel reposait l'enfant. A la vue du résultat, celui qui était chargé de l'échographie, sortit pour appeler ses collègues afin qu'Ils viennent voir. Et lorsqu'ils se mirent à m'interroger sur l'origine de cette main, je leur dis que c'était la main de l'Eternel des Armées.
" mon premier accouchement"
Au cours d'un culte du soir, le Seigneur me révéla que je devrais accoucher un jeudi. A cette date, mon mari pris une permission afin de rester avec moi. Alors que nous étions dans la cuisine aux environs de 9h, mon bébé arriva. De ses propres yeux, mon mari a vu le bébé descendre. A la vue de l'enfant qui était à sa ressemblance, mon mari manifesta une grande joie.
Après avoir confié les soins de l'enfant à une de nos mamans de l'église, mon mari parcouru nos différentes familles pour annoncer la nouvelle de l'accouchement. Lorsqu'il l'annonça à ma mère, elle décida de venir me voir. ils arrivèrent tous deux à la maternité. Lorsque ma mère m'a vue couchée à la maternité et le bébé près de moi, elle enleva son voile, le plia doucement et le jeta loin d'elle en disant: "ma fille, aujourd'hui ton Dieu devient mon Dieu". (Alléluia !) Après donc la maternité, ma mère accepta le Seigneur Jésus comme son Seigneur et son Sauveur personnelle. Nous étions dès lors trois à connaitre le Seigneur Jésus (Ma mère, mon mari et moi). Nous avons donné comme nom à notre premier garçon un nom qui signifie "le juste vivra par la Foi". Aussi, l'Imam d'une mosquée qui était marié à six femmes, envoya l'une d'entre elles pour s'enquérir des nouvelles de ma situation. Il était au premier rang de ceux qui m'ont persécuté quand j'ai accepté le Seigneur Jésus. Quand elle reparti dans sa famille rapporter la bonne nouvelle, plusieurs se convertirent et acceptèrent Jésus-Christ. En plus de cela, mes parents et ceux de mon mari se convertirent aussi.
" Mon triplet"
Après ce premier enfant, je fis un deuxième. A ma troisième grossesse, l'échographie a révélé qu'il n'y avait qu'un seul enfant dans mon ventre. Pourtant le Seigneur m'avait révélé qu'il s'agissait d'un triplet. Face à mon insistance, la sage-femme décida de venir connaître mon domicile car disait-elle, si l'accouchement révèle qu'il s'agit effectivement de triplet dans mon ventre, elle accepterait mon Dieu comme le sien. Au moment où mon mari et moi allions dire au Seigneur que le nombre était suffisant, j'étais à quinze (15) enfants. En 2007, mon quinzième enfant avait 15 ans.
"Première résurrection : celle de mon 13ème fils"
Nous adorions le Seigneur et nous le servions après cette suite d'évènement lorsque les pasteurs organisèrent une croisade à l'intérieur du pays plus précisément à TINGRELA.
Avant notre départ, mon treizième (13è) enfant âgé de 9ans était malade. Lorsque les Hommes de Dieu arrivèrent pour que nous allions en croisade, ils me suggérèrent de rester compte tenu de la santé de mon fils. Je leur répondit que la guérison de mon fils ne dépendait ni de ma présence ni de mon absence, mais de l'Eternel des Armées. Et qu'Il n'avait par conséquent pas besoin de moi pour guérir mon enfant. J'ai décidé alors de confier mon enfant au Seigneur très malade et de partir en croisade ave les Hommes de Dieu. Mon absence était prévue pour trois semaines.
Au moment où nous étions en pleine adoration, sur les lieux de la campagne, le Seigneur me révéla que l'enfant s'était endormi (il était mort). J'ai remercié le Seigneur pour cela et je me suis dit que lorsque quelqu'un dort il se réveille toujours. Je l'ai tout de suite rapporté à mes pasteurs.
Deux semaines après quelqu'un est venu nous annoncé le décès de l'enfant. Mais ne sachant comment le dire, je le pris aux mots et tirai la conclusion à sa place. Les frères lui dirent que la mère est déjà informée du décès de son enfant. Dans l'étonnement, il voulu savoir qui l'avait devancé alors qu'il fut désigné pour annoncer cette nouvelle. Je lui répondit que Dieu Lui-même me l'a déjà annoncé. Il me demanda alors de rentrer avec lui pour les funérailles. Je me suis opposée pour la simple raison que le programme n'était pas encore fini. Les pasteurs aussi insistèrent pour que je rentre mais j'ai refusé.
Le temps passait et les funérailles étaient achevés. Le corps étant à la morgue, mon mari décida d'enterrer l'enfant compte tenu de mon absence prolongée.
Le jour qu'ils avaient choisi pour la levée du corps coïncida avec la fin du programme et le retour à Abidjan. A mon arrivée à la maison, plusieurs me consolèrent. Lorsque mon mari s'approcha e moi, je lui dis que l'enfant dormait. Il répliqua pour me dire qu'il était à la morgue. Je lui répondis que ce n'était pas grave. J'ai demandé alors aux pasteurs de m'accompagner à la morgue pour nous mettions l'enfant dans la voiture en vue de revenir avec lui à la maison. Ils ne me répondirent pas sur le champ mais préférèrent se concerter d'abord. L'un des pasteurs revint vers moi pour savoir davantage mes intentions. Je lui répondit que je voulais tout simplement qu'on libère le corbillard et que nous partions chercher l'enfant qui dort à la morgue.
Lorsque nous nous sommes rendus à la morgue, nous avons fait la levée du corps, nous sommes rentré à la maison avec lui. Il était 10h du matin. J'ai demandé à ce qu'on fasse couché l'enfant dans la chambre et cela a été fait.
Après une prière formulée dans la chambre et la louange, l'enfant commença à éternuer. J'ai continué de louer mon Dieu jusqu'à ce qu'il commença de dire d'une manière répéter: "merci Seigneur". Quelques instants après, je l'ai appelé par son nom et il me répondit. Je tendis ma main et il la saisit. Mais il ne pouvais se lever. J'ai continué de prier et il finit par se tenir sur ses jambes mais avait les yeux fermés. Je suppliai encore le Seigneur et Il ouvrit ses yeux. Et l'enfant entonna le chant qui disait: "Jésus m'a sauvé et toi ?" Après avoir remercié Dieu ensemble, je m'apprêtais à le faire sortir. Je sortis la première et tous les regards étaient braqués sur moi. Je soulevai le rideau et appela le petit garçon. Lorsqu'il sortit en publique, tous ceux qui étaient assis dehors sans exception se levèrent et prirent la fuite. Devant cette fuite, l'enfant me demanda et je ne savais comment lui expliquer. Lorsqu'ils se sont suffisamment éloignés de la maison, ils regardèrent en arrière puis s'encouragèrent à revenir sur les lieux.
" Deuxième et troisième résurrection : celle de mon mari et d'une autre personne"
Devant la manifestation glorieuse de mon Seigneur, l'ennemi n'avait pas encore jeté l'éponge.
Au cours de l'affaire concernant les déchets toxiques à Abidjan, mon mari, étant corps habillé, fut parmi les éléments des Forces de l'ordre qui furent désignés pour assurer la garde sur les lieux de la décharge des déchets. Il s'est avéré plus tard que la plupart des forces de l'ordre qui gardaient le lieu étaient victimes des déchets.
Quelques jours plus tard, alors qu'il s'apprêtait à se rendre à son service, mon mari me signifia qu'il ressentait des douleurs à la tête. Nous avons priés ensemble.
Arrivé sur les lieux du travail, il est tombé et fut hospitalisé. Après l'hospitalisation il est décédé. J'ai reçu alors un coup de fil de ses supérieurs hiérarchiques qui me demandaient de me rendre au CHU de Cocody. Dès mon arrivée, l'on m'informa de son décès. J'ai demandé tout de suite de le voir et cela m'a été accordé. Face à son corps, je lui adressais ces paroles: Tonton, car c'est ainsi que je l'appelais, lorsque tu sortais ce matin tu m'as dis à toute à l'heure. Mais tu ne m'a pas dit à Dieu. Cela sous-entend qu'il devait revenir. Après cela, je suis sorti demandé à ses responsables qu'ils pouvaient rentrer. Ils opposaient d'abord un refus car voulant accomplir d'abord les formalités de décès. Je leur ai demandé que si cela n'était urgent, qu'ils partent et qu'on les fera après. Ils acceptèrent alors de partir pour l'annoncer aux autres collègues.
Ensuite, je suis revenu près de mon mari et j'ai trouvé les vigiles qui gardaient l'endroit. Ils me demandèrent si j'avais apporté les habits de rechange. Je leur répondit que je n'étais pas venu avec des habits de rechange mais je suis venu plutôt chercher celui qui était couché là-bas. Lorsque je suis entré, j'ai d'abord parlé une nouvelle fois avec mon mari et je me suis mise à prier avec autorité sur la mort. Après la prière, j'ai débuté un moment de louange. A la fin de la louange, j'ai dit "amen" et lui aussi répéta derrière moi "amen". Alors j'ai demandé à mon mari de se lever pour qu'on parte. Ce qu'il fit.
Lorsque nous étions en train de sortir, mon pieds toucha un autre corps qui était mal couché sur le sol et il se réveilla. Dès que cette personne s'est réveillée, elle me demanda de l'accompagner. Je les pris alors tous deux et nous nous apprêtâmes à sortir de la morgue. Mais j'étais un peu inquiète car le gardien m'a vu entrer seule. Quelle sera alors sa réaction si nous sortons à trois?
Dès qu'ils nous ont vu sortir, ils prirent la fuite. Arrivé dans la cour du CHU de Cocody, j'ai demandé à l'autre qui s'est réveillé à mon toucher où est-ce qu'il habitait ? Il m'a dit qu'il habitait à Koumassi alors que nous devrions nous diriger vers Yopougon. Sur son insistance, nous avons jugé bon de l'accompagner d'abord à Koumassi avant de repartir à Yopougon.
Ses parents étaient sous les bâches lorsque nous arrivions à Koumassi. Lorsque nous sommes descendu du véhicule, j'étais devant lorsqu'il s'est mis derrière nous. Dès qu'ils l'ont aperçu, tous ont fuis les lieux des funérailles. Je leur ai demandé de revenir et je leur ai expliqué les conditions dans lesquelles nous nous sommes retrouvés ici. Ce fut la conversion des parents et du frère aussi. Après cela, je suis rentré à la maison avec mon mari et tout le monde se porte bien.
Amen.
Alors que tu écoutes ces paroles, je veux dire à quelqu'un qui ne connais pas Jésus que Jésus est le Véritable Sauveur. Il est venu pour que nous ayons la vie avec abondance et que nous soyons des enfants de Dieu. Il a dit que si nous avons une foi semblable à un grain de sénevé, nous dirons à une montagne déplace-toi et elle se déplacera. Ses Paroles sont véridiques car Il est Dieu. Ce qu'Il a fait pour moi, Il peut le faire aussi pour toi selon le contexte dans lequel tu te trouves. Car la Bible dit qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Alors accepte-Le dans ton cœur aujourd'hui et vit sincèrement selon la Bible et tu verras ce qu'Il fera pour toi.
A toi mon frère chrétien, le seul obstacle à la manifestation de la Puissance de Dieu dans ta vie est le doute.
Gloire a Dieu
source: https://www.facebook.com/esther.kazadikapingagrace?ref=ts&fref=ts
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