Une histoire étonnante:Qui sont les vrais ennemis de l'Afrique?
Faire des Africains leurs propres Historiens et surtout leur rappeler quels Lions ils étaient avant l'arrivée des Chasseurs, telle est la mission de cette page !
Alors, soyez la Bienvenue et surtout n'hésitez pas à prendre part à la réécriture de l'Histoire de notre Afrique chérie. Cette page est avant tout la vôtre !
DECRYPTAGE
Avec une superficie de 30 millions de kilomètres carrés, soit 25% des terres émergées, l'Afrique a toujours intéressé la planète entière. Et qui dit intérêt, dit envie, et aussi désir de conquête.
C'est en cela que depuis bientôt plus de 5000 ans l'Afrique se bat contre le reste du monde et fait l'objet de nombreuses tentatives de conquêtes. Que ce soit les Arabes, les Assyriens, les Perses, les Romains, les Ottomans, ou plus récemment lesEuropéens, ils ont tous rêver un jour d'occuper ce vaste territoire riche en ressources naturelles et en hommes, mais sans jamais pouvoir y arriver réellement. Depuis plus de 5000 ans les Africains se battent tous seuls contre le monde entier, sans l'aide de personne !
Qui pour nous aider si ce n'est nous-même ?
Il est primordial que les Noirs du monde entier doivent comprennent et réalisent qu'il y aune véritable guerre silencieuse qui est menée contre eux et contre l'Afrique. Et en cela nous devons nous unir pour combattre ces envahisseurs. Quand l'Occident veut attaquer l'Afrique, ils se réunissent comme un seul homme et oublient leurs divergences. Pareille pour le Monde Arabo-musulman.
La Taille cachée de l'Afrique
Pour commencer, il est important de savoir de quoi on parle exactement quand on parle d'Afrique. Voici, une carte qui présente en détail la superficie réelle et comparée de notre continent par rapport aux autres ensembles géographiques du monde.
Je vous invite donc à prendre un peu de temps pour analyser la carte ci-dessous...elle est édifiante d'informations ! Vous y découvrirez à quel point notre Afrique, ce continent méprisé, est en fait d'une immensité insoupçonnée. (cliquez sur la carte pour l'agrandir)
Qui sont donc les ennemis de l'Afrique ?
L'Afrique souffre de beaucoup de maux, en général, les dirigeants africains sont les premiers à être incriminés quand à la question des auteurs de ces mots. D'autres vous diront que les Africains sont les premiers ennemis de l'Afrique. Est-ce vrai ? En partie oui, car comme dit le proverbe africain, "Il faut deux mains pour applaudir". Oui, les Africains sont en partie responsables de ce qui leur arrive, mais quid de l'autre partie ? Qui sont les autres coupables du drame africain ?
C'est dans cet optique d'identification des ennemis de l'Afrique, que cet article a été écrit. Nous allons particulièrement nous intéresser à deux envahisseurs historiques qui nous ont sérieusement mené la vie dure depuis plus de 1500 ans, puisque nous sommes toujours en train de nous battre contre eux : les Européens et les Arabes. Pourquoi eux seulement vous me direz ?
Parce que pendant plus de 1500 ans les Arabes ont pratiqué la vente d'Africains et les Européen pendant plus de 400 ans. Et ces deux peuples, sont les deux seuls à nous avoir laissé un héritage lourd: notre façon de nous vêtir, les langues que nous parlons, et les religions que nous pratiquons, en sont des exemples patents. Alors, sans plus tarder, commençons notre long voyage !
I - Les Européens
Les Européens sont les peuples habitant l'Europe. En Afrique, ils sont plus simplement désignés par leur couleur de peau, c'est-à-dire « les Blancs ». Du fait de la colonisation et de l'émigration européennes durant les siècles passés, de nombreux Européens ont quitté l'Europe, et le monde d'aujourd'hui se caractérise par une « diaspora » européenne dans de nombreux pays (Amérique du Nord, Australie, Nouvelle-Zélande, pays du Sud de l'Amérique latine, etc.), qui forment le monde Occidental.
Notons que cette gentilé peut aussi désigner, selon une conception strictement géographique, les habitants du continent européen ; on peut plus rarement désigner comme Européens les citoyens de l'Union européenne (même si tout Européen n'est pas nécessairement citoyen de l'Union Européenne).
Qu'est-ce qui fait de ces Européens nos ennemis ?
L'idéal de guerre est une conception, un mode de vie purement indo-européen. En effet les multiples guerres dont il est fait étalage dans les livres d'histoire nous démontrent que la violence, le mépris de l'étranger et de toutes formes de morales propices à la paixsont des principes que ces peuples ont toujours véhiculé depuis la nuit des temps. Par indo-européen on entend l'ensemble des peuples d'Eurasie (Albanais, Arméniens, Baltes, Celtes, Germains, Grecs, Indiens, Iraniens, Latins, Scythes, Slaves) qui parlent des langues issues d’une ancienne langue appelée indo-européen commun partiellement reconstituée.
Ils vivaient dans les plaines de la Mongolie actuelle, occupée de nos jours par des tribus chinoises venues de l'intérieur de la Chine. Ces deux Ethnies étaient constamment en guerre pendant des siècles et des siècles. Ils quittèrent la Mongolie pour des terres plus habitables. Les Vikings, eux, occupèrent les pays appelés aujourd'hui pays d'Europe de l'Est, scandinaves et Anglo-saxons: La Russie, la Suède, la Pologne, l'Allemagne, leDanemark, l’Angleterre, l’Autriche, la Hongrie, etc. Et les Celtes quant à eux, envahirent le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la France, etc. (voir carte ci-dessous)
Selon l'anthropologue Georges Dumézil, l'idéologie sociale de ces peuples était originellement structurée autour de trois fonctions :
- la fonction sacrée qui regroupe ceux qui prient, qui détiennent la connaissance (les prêtres, le clergé) ;
- la fonction militaire qui regroupe ceux qui combattent, qui dominent militairement (les guerriers, la noblesse) ;
- la fonction productive qui regroupe ceux qui travaillent, qui produisent les richesses (agriculteurs, artisans, commerçants, etc.).
Enluminure médiévale, British Library : le clerc, le chevalier et le travailleur
Les religions des peuples descendants des Indo-Européens sont également structurées autour de ces trois fonctions.
Leur histoire est jonchée de cadavres, de destructions de toutes sortes. Quand ils arrivèrent en Grèce et en Italie, il trouvèrent des populations qui y vivaient déjà avant eux. La Grèce et l'île de Crète étaient occupées par des populations Noires venues d'Égypte, qui se métissèrent pendant des siècles avec d'autres Indo-européens venus d'Iran.
De ce métissage est née une classe de population à l'origine de la création de la ville de Rome. Quand on observe les plus fidèles arts antiques romains, les cheveux frisés étaient très présents. Les Celtes à leur arrivée encerclèrent toute la région de Rome et exterminèrent tous les Romains de souche puis s'autoproclamèrent romains: l'Italie actuelle. Ils reproduisirent la même chose en Grèce où vivait une autre important population Noire venue d'Égypte.
Portrait incarnant la rencontre des cultures égyptiennes et romaines. Remarquez les cheveux frisés et boucles. Wikipedia.
Black Athena Tome 1 - L'invention De La Grèce Antique, 1785-1985
Scènes de la vie quotidienne dans la Grèce antique. Remarquez les cheveux crépus des habitants
Quelle religions pratiquaient ces Européens ?
Une analyse des faits historique nous permet de dénoter chez ces peuples adeptes du patriarcat une conception individualiste où la pensée universelle ne trouve sa place, seuls comptent les intérêts primaires et la violence exercée sur les peuples asservis. Leurs vues du bien et du mal se retrouvent réduites à les laisser penser qu'ils sont supérieurs à tous les autres peuples et doivent de ce fait les asservir, et ce, sans risque de se voir punir par les Dieux qu'ils vénèrent.
D'après la Torah, la Bible et le Coran, qui sont en fait le même livre écrit dans plusieurs versions, la Femme est à l'origine des malheurs de l'humanité, car c'est elle qui mangea le fruit défendu.
Dans l'art Chrétien, l'infériorité de la femme par rapport à l'homme est très présente. Voici Jésus en compagnie de sa mère qui s'agenouille à ses pieds. En peinture, quand on veut représenter deux entités qui ont la même valeur symbolique, on les dessine soit à lamême taille, soit à la même hauteur. Or ici on voit que Jésus est non seulement plus grand en taille que sa Maman, mais en plus il est au dessus d'elle. Sans compter le fait qu'elle soit à ses pieds. D'après cette peinture, la femme joue donc un rôle secondaire dans le Christianisme, pourtant ils disent que c'est Marie qui donna la vie à Jésus.
Dans la spiritualité Africaine, la Femme est vénérée et respectée, puisque la Mâât est représentée par une Femme. Les Égyptiens vénéraient Isis, une femme car selon eux c'est c'est elle qui donna la vie à leur Dieu Horus. Ce concept de Femme, mère de Dieu fut repris par l'église catholique plus tard, avec leur vierge Marie. Et comme on peut le voir ci-bas, la Femme était au même niveau que Homme.
La Trinité Egyptienne (Osiris, Horus, Isis). C'est d,ic que les Sumériens, puis les Juifs copièrent le concept de Trinité avant de le passer aux Chrétiens: "Au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, Je vous salue Marie, mère de Dieu"
La Déesse Isis, symbole de la Mâât Egyptienne. Vénérée à travers toute l'Égypte
Isis, la mère du petit Horus, vénérée par les Egyptiens et repris par l'Eglise catholique médiévale
Quand vous allez au Vatican, vous ne verrez nul part une image de Marie Blanche. Ils vénèrent tous une vierge noire, mais en Afrique on nous envoie sa copie blanche. Pourquoi ? Allez y comprendre. (Voir vidéo ci-dessous)
Le christianisme se caractérise par son culte marial de la maternité, dont il y a tout lieu de penser qu'il s'agit d'une survivance du culte d'Artémis à Éphèse, lui-même succédant à un culte très ancien de la Déesse Mère Isis. Les grandes cathédrales étaient les temples de cette déesse.
Cette religion vénère un Dieu pour qui ils sont prêts à faire couler le sang, à rabaisser leurs femmes, à imposer un éternel sentiment de culpabilité aux peuples qu'ils ont asservis, tout en ne leur offrant aucune place dans leur paradis.Ils vivent constamment dans l'hypocrisie, l'appât du gain et le complot, n'ayant qu'une vue négative du monde, passant ainsi à côté de tout ce que le créateur aura mis de merveilleux sur terre.
II- Les Arabes
Les Arabes sont des individus anthropologiquement différents les uns des autres, qui s’identifient par des liens entre autres linguistiques ou culturels, répartis sur une vaste zone qui s’étend d’Oman à la Mauritanie. Ce groupe englobe les descendants de tribus d’Arabie et d'autres groupes arabisés au long des siècles, au Moyen-Orient et enAfrique du Nord.
Ils parlent l"Arabe, une langue sémitique, qui est un sous groupe de l'Euro-Asiatique au même titre que l' Hebreu des Juifs, le Maltais, et l'Aramaique. La salutation arabe “Assalaamu Alaikum – que la paix soit avec toi” est très similaire à celle qu'on rencontre dans les langues du même groupe:
- Hebreu – “Shalom aleikhem” la langue des Juifs Jewish people
- Maltais – “Sliem halikhom”, la langue des catholique de Malte.
- Aramaique – “Shlama alekhun” la langue parlée par des petites communautés en Syrie, Iraque, Turqui, et Iran.
Donc ont voit clairement que ces peuple qui se détestent et se font la guerre sont issue de la même famille. Les locuteurs de cette langue disent qu'ils déscende de Sem, un des fils de Noé (Nuh en arabe).
L’identité arabe peut reposer sur un ou plusieurs critères.
- Généalogie: Est arabe celui qui situe ses ancêtres dans l’une des tribus d’Arabie. C’était la définition utilisée à l’époque médiévale, par exemple par Ibn Khaldoun
- Nationalité: Est arabe un citoyen d’un des 22 pays membres de la Ligue arabe. Cette définition recouvre environ 350 millions de personnes5, mais exclut la diaspora. Elle englobe des minorités linguistiques (Coptes, Syriaques, Berbères) dont les langues sont enseignées dans la langue officielle (arabe standard moderne) de l’État.
- Langue: Est arabe une personne dont la langue maternelle est l’arabe. Les parlers locaux, appelés arabe dialectal, ne se comprennent pas entièrement entre eux. Cette définition réduit considérablement le nombre d’arabophones. Selon le linguiste Mohammed Benrabah, certaines personnes arabophones ne se reconnaissent pas dans ces définitions. Ce qui signifie bien qu'il existait bel et bien d'autres langues totalement différentes de l'arabe dans ces pays respectifs.
Il pratiquent tous plus ou moins l'Islam, mais il y a des gens qui ne pratiquent pas l'Islam dans les pays Arabes. Ils sont souvent des minorités persécutées comme les Coptesd'Egypte.
Islam,Sida,Excision, L'Afrique avance - L'excision et le voile sont les héritages les plus triste que l'Islam a laissé en Afrique. L'excision est une pratique apparue en Afrique avec l'Islamisation, mais aujourd'hui on l'associe volontiers cette pratique à l'Afrique noire des sauvages et barbares, oubliant qui sont les démons qui ont introduit cette pratique en Afrique. Pour ce qui est du Sida, regarder la vidéo qui traite de la dipaprition des Noirs. Et vous comprendrez comment cette maladie a été introduite en Afrique
Carte de l'expansion de l'Islam dans le monde de 630 à 1700 (cliquez pour l'agrandir)
Les conséquences fâcheuses de l’islamisation de l'Afrique.
LE MALHEUR DE L'AFRICAIN C'EST SA PROPRE IGNORANCE !
L'Islam fut la première religion à envahir l'Afrique au 7e siècle, soit précisément en 632, 2 ans après que Mahomet est fini d’évangéliser et d'égorger tous ceux qui n'étaient pas d'accord avec lui dans la péninsule Arabique. L'Islam arrive en Afrique grâce à la proximité géographique de ce continent. Les premier Africains à se convertir sont les Berbères, ce sont ceux qu'on appelle communuément les Arabes de l'Afrique du Nord. Ce sont les descendants des Phéniciens qui s'étaient installé sur la côte nord de l'Afrique en -800 avant JC au moment ou l'Empire Egyptiens arrivait à sa fin. Ils y fondèrent de grandes villes comme Carthage et Sphax.
Au moment ou Mahomet reçoit sa révélation, l'Afrique du Nord est sous contrôle de l'Empire Romain, mais celui-ci est aussi en décadence à cause des nombreuses défaites qu'ils subissent sur le plan militaire contre les Perses, les Turcs qui veulent leur part du gâteau Africain. L'Islam profite de la désorganisation des différents empires présents sur le terrain pour s'infiltrer en Afrique.
Quand on regarde l'Histoire de cette religion qui s'est répandue par le sang et la terreur en Afrique, tout comme le Christianisme beaucoup plus tard, on comprend aisément que ces deux religions ont les même fondements : Dieu, est un dieu unique qui doit être imposé aux autres peuples par la force et la violence, comme il est écrit dans le Coran (je fournirai en commentaire les Hadiths qui me permettent d'affirmer ça)
Quand les Arabes arrivèrent en Afrique au 7e siècle, les premiers Noirs à se convertir à cette religion sont les Touareg et tous les peuples qui vivaient dans le désert et servaient de guides aux Arabes et aux Berbères dans le désert du Sahara. En Afrique Noire, l'Islam poursuivit sa pénétration en violant les femmes et en capturant les hommes qui seront automatiquement mis en esclavage dans la péninsule Arabique ou ils seront castrés afin d'éviter qu'ils ne se reproduisent. C'est pour cela qu'on retrouve très peu de descendants noirs en Arabie.
Les femmes violées donnèrent naissances au premiers Noirs musulmans: Les Peuls, c'est la raison pour laquelle ils sont "un peuple africain de race blanche" comme on nous l'apprend à l'école. Ils sont issus d'un viol. Evidemment tous les Peul ne sont pas clairs de peau, mais les enfants des femmes qui furent violées, deviendront les futures princes et rois des des empires Peul comme l'empire Mandingue.
Dès la fin du 10e siècle les Touareg, préalablement islamisés participèrent, avec l’aide des Arabes, à la diffusion de l’islam en Afrique noire. En 1054, les almoravides mirent à feu et à sang Aoudaghost, cité mauritanienne située à la lisière du premier empire africain de l’or, le Ghana. Ils lancèrent ensuite des raids destructeurs sur la capitale de cet empire animiste, en 1076, et en quelques jours, détruisirent définitivement une grande partie de son riche et séculaire patrimoine culturel et artistique, qu’ils remplacèrent par un système esclavagiste. Cette action permettra d’enraciner l’islam dans cette zone et de le diffuser dans toutes les vallées du Niger et du Sénégal, par l’islamisation des Peuls (Foulbés) et des Toucouleurs.
Les Peuls et les Toucouleurs sont des peuples constituant deux vastes ensembles de populations noires originaires et présentes dans la majeure partie de l’Afrique de l’Ouest. Majoritairement sunnites de rite malékite, ils ont par la suite largement œuvré en pratiquant le djihad à l’expansion de l’islam en Afrique subsaharienne.
Les Haoussas, autre peuple d’Afrique noire vivant à l’ouest et au centre de ce continent, connurent une très forte islamisation arabe et berbère au XIVe siècle. Mais c’est la domination peule, à laquelle ils furent soumis plus tard, qui acheva cette islamisation.
Voici à quoi ressemblait une capture d'Africains par les Arabes. Alors quand on entend un Noir musulman dire qu'il est fier d'être musulman, c'est à se demander si il connait même le passif de cette religions en Afrique. Comme je le dis souvent:
"Un Noir musulman, c'est comme un Juif qui aurait un poster de Hitler dans sa chambre"
Pauvres abrutis que vous êtes !!!
King Shabaka
Au moment ou Mahomet reçoit sa révélation, l'Afrique du Nord est sous contrôle de l'Empire Romain, mais celui-ci est aussi en décadence à cause des nombreuses défaites qu'ils subissent sur le plan militaire contre les Perses, les Turcs qui veulent leur part du gâteau Africain. L'Islam profite de la désorganisation des différents empires présents sur le terrain pour s'infiltrer en Afrique.
Quand on regarde l'Histoire de cette religion qui s'est répandue par le sang et la terreur en Afrique, tout comme le Christianisme beaucoup plus tard, on comprend aisément que ces deux religions ont les même fondements : Dieu, est un dieu unique qui doit être imposé aux autres peuples par la force et la violence, comme il est écrit dans le Coran (je fournirai en commentaire les Hadiths qui me permettent d'affirmer ça)
Quand les Arabes arrivèrent en Afrique au 7e siècle, les premiers Noirs à se convertir à cette religion sont les Touareg et tous les peuples qui vivaient dans le désert et servaient de guides aux Arabes et aux Berbères dans le désert du Sahara. En Afrique Noire, l'Islam poursuivit sa pénétration en violant les femmes et en capturant les hommes qui seront automatiquement mis en esclavage dans la péninsule Arabique ou ils seront castrés afin d'éviter qu'ils ne se reproduisent. C'est pour cela qu'on retrouve très peu de descendants noirs en Arabie.
Les femmes violées donnèrent naissances au premiers Noirs musulmans: Les Peuls, c'est la raison pour laquelle ils sont "un peuple africain de race blanche" comme on nous l'apprend à l'école. Ils sont issus d'un viol. Evidemment tous les Peul ne sont pas clairs de peau, mais les enfants des femmes qui furent violées, deviendront les futures princes et rois des des empires Peul comme l'empire Mandingue.
Dès la fin du Xe siècle les Touareg, préalablement islamisés participèrent, avec l’aide des Arabes, à la diffusion de l’islam en Afrique noire. En 1054, les almoravides mirent à feu et à sang Aoudaghost, cité mauritanienne située à la lisière du premier empire africain de l’or, le Ghana. Ils lancèrent ensuite des raids destructeurs sur la capitale de cet empire animiste, en 1076, et en quelques jours, détruisirent définitivement une grande partie de son riche et séculaire patrimoine culturel et artistique, qu’ils remplacèrent par un système esclavagiste. Cette action permettra d’enraciner l’islam dans cette zone et de le diffuser dans toutes les vallées du Niger et du Sénégal, par l’islamisation des Peuls (Foulbés) et desToucouleurs.
Les Peuls et les Toucouleurs sont des peuples constituant deux vastes ensembles de populations noires originaires et présentes dans la majeure partie de l’Afrique de l’Ouest. Majoritairement sunnites de rite malékite, ils ont par la suite largement œuvré en pratiquant le djihad à l’expansion de l’islam en Afrique subsaharienne.
Les Haoussas, autre peuple d’Afrique noire vivant à l’ouest et au centre de ce continent, connurent une très forte islamisation arabe et berbère au XIVe siècle. Mais c’est la domination peule, à laquelle ils furent soumis plus tard, qui acheva cette islamisation.
Voici à quoi ressemblait une capture d'Africains par les Arabes. Alors quand on entend un Noir musulman dire qu'il est fier d'être musulman, c'est à se demander si il connait même le passif de cette religions en Afrique.
Et c'est de cette manière que l'Islam, cette religion de "paix" fut introduite en Afrique au 7e siècle.
Abraham s'apprêtant à trancher la tête de son fils au nom de Dieu. C'est toujours au nom de Dieu que ces religions sont prêtent à tuer leur semblables. "Allah Awakbar !"
Pour comprendre d'ou vient véritablement l'Islam et pourquoi c'est une religion si satanique, il faut aller regarder dans ses origines. Je vous invite à regarder cette vidéo pour bien saisir la porté de ce danger qui nous guette en Afrique.
III- Et la résistance Africaine dans tout ça ?
Le problème fondamentale de l'Africain, depuis l'Égypte ancienne jusqu'à nos jours, est qu'il n'a jamais vraiment été un conquérant. Nous n'avons pas réussi à fonder une morale ou une métaphysique durable basée sur la haine de l'autre comme les Arabes et les Européens l'ont fait avec nous. De même, notre morale n'est pas guerrière. L'Africain, le Nubien comme l'Égyptien, se sentait bien chez lui et n'avait aucune raison économique d'en sortir pour envahir les pays voisins. Or on dit qui veut la paix doit préparer la guerre. Notre bonté légendaire nous a perdu et nous perdra encore si nous ne nous redressons pas.
Je dirais même "les Africains doivent arrêter d'être Africains, si il veut avoir une chance de relever la tête un jour" - King Shabaka
L'Europe et le Moyen Orient sont des régions déshéritées, par rapport à l'Afrique en général. En hiver, rien n'y pousse, et même pendant l'été, leur terre n'est pas assez fertile pour produire des denrées en abondances comme en Afrique subsaharienne. D’où le fait que leur agriculture repose essentiellement sur la culture du blé, pommes de terres, pastèques, courgettes, figues, dates et tomates.
C'est cette pauvreté qui a provoqué les invasions arabes et européennes qui avaient pour but de disputer aux Africains leurs terres si fertile et si accueillante. Depuis les Achéens, Peuples de la mer jusqu'à l'époque contemporaine, ces invasions restent ininterrompues. L'Africain n'est pas un conquérant, c'est seulement dans la défensive qu'il se révèle un bon guerrier par adaptation vitale : c.f. Thoutmosis III, les Candaces; Samory, Béhanzin, les Zulu etc.
Resistance Zulu à l'invasion Européenne de l'Afrique du Sud par les Boers (colons Français, Britaniques et Hollandais)
Au Dahomey (actuel Bénin et Togo), la défense du térritoire était confiée à des guerrières, les Amazones de Béhanzin. Pour vous dire à quel point les femmes n'avaient pas une place de second rang comment chez ces Barbares.
"Moi, Béhanzin, Roi d'Abomey, Je n'accepterai jamais de signer aucun traité susceptible d'aliéner l'indépendance de la terre de mes aïeux" Phrase prononcée par BEHANZIN aux colons français qui lui demandaient d'abdiquer son royaume alors que celui-ci était encerclé par eux. Il refusa d'abdiquer et fut capturé pour être envoyé en Algérie française.
IV - Historique des invasions Européenne et Arabes dans le monde et en Afrique
A- Amérique du Nord
Comme vous pourrez le constater dans les images qui suivent, la Guerre, la haine de l'autre, la destruction et tout ce qui s'y rattache sont le ciment des Civilisations Occidentales et Arabes. Si le monde actuel est ainsi fait c'est parce que des hommes avides de pouvoir, de sang et d'intérêts morbides ont préféré tuer d'autres êtres humains au nom de leur Dieu et au nom de leur prophètes Jesus et Mahomet.
Au 15e siècle. Christophe Colomb qui cherchait la route des Indes, était perdu avec son équipe. Il n'avaient plus de vivres à bord de leur navire. C'est alors qu'il échoua en Amérique. Il pensait avoir trouvé l'Inde qu'il cherchait. Non content d'avoir été sauvé par les populations autochtones qu'ils trouva là, car si ces derniers ne l'avaient pas accueilli en tant que être humain perdu qui cherche son chemin. L'Europe n'aurait jamais su ou se trouve l'Amérique. Il auraient dû les manger, et on n'aurait jamais su ou ils ont disparu.
Comme quoi, c'est la gentillesse des Indiens qui les a perdu. Entre le 15e et le 17e siècle, l'Europe décima pas moins de 100 millions d'Indiens d'Amérique. Avant d'occuper leur terre et de la proclamer comme étant la leur. Aujourd''hui si vous voulez aller en Amérique du Nord, ces voleurs de terre d'autrui vont vous demander un visa !
Avant l'arrivée des Européen, il exiait plus de 3000 tribus aborigène en Amérique, en 100 ans ils les décimèrent toute. Aujourd'hui ce peuple compte à peine 6 millions d'individus sur une population toatale de l'Amérique du Nord de 350 millions.
Jeune Aborigèrne atteinte de la variole, une maladie que les autorités Canadiennes inoculaient volontairement aux Aborigènes afin de mieux les exterminer. Jusqu'à dans les années 80 le gouvernenent Canadien injectait tous les nouveaux-nés aborigènes afin de leur inoculer des maladies pour que ces derniers ne forment jamais un groupe assez solide et conscient qui revendiquera ses droits à la terre. Si vous avez l'occasion d'aller visiter le Canada, vous vous rendrez compte qu'il n'y a pas plus malheureux que ces "Indiens". Ils ont été décimés et exterminés. Aujourd'hui ils sont pour la plus part des alcooliques et des drogués, chose voulue par le gouvernement Canadien, et qui prend le soin de les parquer dans des réserves (pour animaux !).
B- Europe
Changeons d'échelle et d'époque et retournons chez ces démons. Même entre eux, ils se font la guerre. Ils ne s'aiment pas et se détestent ! En 1939-45, voici ce qu'ils ont fait à leurs semblables Juifs. Mais sachez que c'était encore une fois par pur calcul politique puisque Hitler était financé par le grand père de Bush. Et sachez aussi que la Shoah était le prétexte qui alliais justifier l'occupation de la Palestine et la création de l'État d’Israël en 1947.
Voici le décompte total de ce qu'on a appelé la Seconde Guerre "Mondiale". Qu'avait-elle de "mondiale" quand on sait que les 3 quart de l'Humanité n'était pas concernée ? L'Afrique n'était pas concernée par cette guerre, mais elle en a payé un lourd tribu puisque ce sont les tirailleurs africains qu'on a appelé Sénégalais, qui étaient en première ligne. Qu'aurait été le destin de l'Europe si elle n'avait pas reçu le soutient de ces africains qu'elle méprise aujourd'hui ?
C - Afrique
Comment ne pas parler de l'Histoire de l'Afrique, sans parle de la malencontreuse rencontre qu'elle fut avec les explorateurs Blancs. Le premier d'entre eux, Bartolomeu Dias. En 1486, il fut chargé par le roi Jean II de Portugal de poursuivre les explorations de Diogo Cão le long des côtes africaines. Dias cherchait une autre voie vers l'Inde pour y trouver des épices et les ramener en Europe.
Observez comment son portrait est indissociable de la croix Chrétienne, car ces derniers se sentaient revêtue d'une mission divine: libérer les Noirs de la malédiction de Cham.
La route terrestre de la soie, par laquelle venaient ces épices, n'était plus accessible depuis la prise de Constantinople par les Turcs. Jean II donna à Bartolomeu le commandement de deux caravelles et d'une navette de vivres. Le but officiel de l'expédition était de découvrir le royaume du Prêtre Jean, mais il s'agissait en fait d'étudier la possibilité d'une route maritime vers les Indes.
L'expédition partit de Lisbonne en août 1487, ayant à bord deux noirs et quatre noires capturés par Diogo Cão sur la côte occidentale de l'Afrique. Bien alimentés et habillés, ils seront débarqués sur la côte orientale pour montrer aux populations de ces régions la « bonté » et la « grandeur » des Portugais et en même temps recueillir des informations sur le royaume du Prêtre Jean.
En décembre, il atteignit la côte actuelle de la Namibie, le point le plus méridional sur les cartes de l'expédition de Diogo Cão. Continuant vers le sud, il découvrit d'abord Angra dos Ilhéus avant d'être surpris par une violente tempête. Après avoir erré durant treize jours, il utilisa les vents de l'Antarctique qui soufflaient fortement dans l'Atlantique Sud et navigua vers le Nord-Est redécouvrant la côte qui avait la même orientation (à l'est du Cap de Bonne Espérance).
Route de voyage de Bartolomeu Dias (1487-88)
Bartolomeu Dias continua vers l'est, dressant la carte des diverses baies de la côte de l'actuelle Afrique du Sud et arrivant à la baie d'Algoa à 800 km à l'est du Cap de Bonne-Espérance. Cependant, l'équipage révolté l'obligea à rentrer au Portugal par la côte vers l'ouest. Au retour, restant toujours en vue de la côte, il découvrit le Cap des Aiguilles, le point le plus au Sud du continent, et le Cap de Bonne-Espérance qu'il avait contourné en haute mer à l'aller. Il arriva à Lisbonne en décembre 1488.
Il fut ainsi le premier occidental à doubler le Cap de Bonne-Espérance. Il le nomma « cap des Tempêtes » à cause de celles qu'il y avait essuyées, mais le roi Jean II préféra l'appeler cap de Bonne-Espérance, parce qu'il espérait, à juste titre, que cette découverte ouvrirait la route des Indes. Par la suite, il accompagna Vasco de Gama lors de son voyage en Inde en 1497 et passa à São Jorge da Mina (au Ghana actuel).
Comment était l'Afrique à l'Arrivée de ces Explorateurs ?
Il est coutume d'entendre les nègres et tous ceux qui ne connaissent pas l'Histoire de ce contient, dire que l'Afrique ne serait rien sans les Blancs. Et que l'Histoire de l'Afrique commence avec la découverte de ce continent en 1488. Pour clore cette polémique, une fois pour toute, je vous invite à lire ce que l'un deux avait à dire à ce sujet :
« Lorsque les premiers navigateurs européens à la fin du Moyen Age arrivèrent dans la baie de Guinée et abordèrent à Vaïda, les capitaines furent fort étonnés de trouver des rues bien aménagées, bordées sur une longueur de plusieurs lieues par deux rangées d’arbres, ils traversèrent pendant de longs jours une campagne couverte de champs magnifiques, habitée par des hommes vêtus de costumes éclatants dont ils avaient tissé l’étoffe eux-mêmes.
Plus au Sud, dans le Royaume du Congo, une foule grouillante de « soie » et de « velours », de grands Etats bien ordonnés, et cela dans les moindres détails, des souverains puissants, des industries opulentes, civilisées jusqu’à la moelle des os. Et toute semblable était la condition des pays de la côte orientale, le Mozambique par exemple ».
Texte écrit par Léo Frobenius, historien et chercheur contemporain de cette époque (1873-1938). A travers sa fresque impressionnante il nous donne une idée de ce qu’était la société africaine avant et lors du premier contact colonial, dans sa fameuse « Histoire de la Civilisation africaine »
Les révélations des navigateurs du XVe au XVIIIe siècles fournissent la preuve certaine que l’Afrique nègre, qui s’étend au sud de la zone désertique du Sahara, était encore en plein épanouissement dans tout l’éclat de civilisations harmonieuses et bien formées. Cette floraison, les conquistadores européens l’anéantissaient à mesure qu’ils progressaient. Car le nouveau pays d’Amérique avait besoin d’esclaves et l’Afrique en offrait des centaines de milliers de pleines cargaisons.
Ce premier contact bassement mercantile, puisqu’il s’agissait de la traite des Nègres que les historiens ont pu évaluer entre 300 millions (hypothèse forte) et 150 millions (hypothèse faible), ce premier contact a eu de très graves répercussions sur l’équilibre et les conditions de survie des sociétés africaines.
Cette traite qui a sévi en Afrique de 1441 à 1865 environ, s’est traduite en effet par une ponction démographique extraordinaire qui explique la stagnation économique et sociale de l’Afrique pendant toute la période qu’a duré la traite.
Alors que la population mondiale passe de 1650 à 1950 du simple au quintuple (de 550 millions à 2.400), celle de l’Afrique réussit à peine à doubler (de 110 à 200) après avoir stagné pendant toute la période de la traite. C’est ce que révèle la statistique suivante établie par l’Institut Français de la Statistique et des Etudes Economiques (Populations en millions d’habitants) :
Les conséquences de cette traite ne sont pas seulement démographiques, puisqu’elles ont affecté également le processus même de croissance des sociétés africaines et de leurs économies à un degré difficilement chiffrable. C’est de ce contact mercantile fondamentalement conflictuel qu’est résultée la dislocation des sociétés africaines traditionnelles aussi bien dans leur aspect économique que dans leurs aspects politiques, sociaux et culturels.
Je voudrais d’une manière plus systématique tenter de démonter les mécanismes essentiels qui ont contribué le plus à créer le dualisme qui habite l’Afrique contemporaine. Ce sera la première partie de notre exposé où après avoir campé l’Afrique nous examinerons comment progressivement d’une part la création des centres de salariat promus plus tard en villes et d’autre par l’introduction du système de valeurs économiques et sociales de l’Occident, comment progressivement tout cela a contribué à la dislocation de la société traditionnelle et s’est durci actuellement en dualisme tragique entre la tradition et la modernité.
Dans une deuxième partie, nous tenterons de dégager l’enjeu véritable de la tension actuelle entre la tradition et la modernité en montrant d’une part le caractère fallacieux de la modernité conçue comme négation de la tradition et en ouvrant en conclusion les perspectives de la solution de cette tension féconde entre la tradition et la modernité.
La dislocation de la société africaine traditionnelle
Deux phénomènes particulièrement déterminants, l’urbanisation et le système de valeurs économiques et sociales importé, ont contribué à disloquer les sociétés africaines traditionnelles et leurs économies. Pour mieux apprécier les effets de ces deux phénomènes majeurs, il n’est pas inutile de dire un mot, si bref soit-il, sur les structures de ces économies traditionnelles auxquelles d’ailleurs très peu d’études systématiques ont été consacrées.
Évolutions de la carte de l'Afrique
Comme je l'ai souvent affirmé, l'une des tares de l'Afrique c'est notre non-maitrise de notre histoire et de notre géographie. Les autres maîtrisent mieux notre environnement que nous-même. L'Afrique a toujours passionné l'Occident plus que les Africains eux-même. On dit même d'ailleurs que l'Occident adore l'Afrique sans Africains à l’intérieur. Ils rêvent toujours d'occuper ce territoire. La preuve, voici la toute première carte de l'Afrique conçue par ces Européens, elle datent de 1554
Ensuite suivirent des dizaines de cartes, 45 au total, dont voici quelques unes. Vous pouvez consulter ci-dessous (cliquez sur elles pour les agrandir)
Carte des Royaumes Africains avant l'invasion Africaine,1644.
Première carte de l'Afrique conçu par les Français en 1852 par Levasseur. Elle est très pauvre en terme d'information cartographique, mais très très intéressante quand on s’intéresse au symboles qui la compose. Voyez-vous l’empreinte de la Franc-maçonnerie dans cette carte ?
Comment se déroulait l'Esclavage Européen en Afrique ?
Pendant plus de mille ans, 7e au 17e siècle, l'esclavagisme de masse fut localisé en terre musulmane. En tenant compte des travaux des l'historiens ivoiriens et négérians, on peut retracer les mécanismes de cette traite et le rôle des esclaves dans les sociétés Arabes. Mais pour l'objet de cette article nous allons nous concentrer sur l'esclavage made in Europe en Afrique, car plus qu'un accident de l'Histoire, l'esclavage était une pratique codifiée, institutionnalisée et protégée par les États Européens esclavagistes (Espagne, Portugal, France, Italie, Hollande, Angleterre, etc.), avec des lois, des spécifications quand à la taille des esclaves etc. L'Esclavage européen avait ses penseurs, ses chercheurs et ses agents qui travaillaient à perfectionner le "système" afin de le rendre plus optimal et plus rentable. Prenons l'exemple d'une expédition française:
a. La préparation d'une expédition négrière française au xviiie siècle
Pour qu'une expédition négrière se déroule avec "succès" il fallait une certaine organisation. Et les éléments suivants étaient plus que nécéssaires
L'armement négrier était en France une activité très concentrée : Robert Stein a recensé 500 familles qui avaient armé, à Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Le Havre et Saint-Malo, 2800 navires pour l'Afrique. Parmi elles, 11 familles (soit 2 %) avaient armé 453 navires (soit 16 %).
- Les capitaux
La mise hors nécessaire à l'armement d'un négrier typique du xviiie siècle exigeait une somme importante : quelque 250 000 livres en France, la valeur d'un hôtel particulier dans une rue élégante de Paris, comme la rue Saint-Honoré Tho 1. Elle était trois fois supérieure à celle d'un bâtiment de même tonnage filant en droiture vers les îles. Pour financer leur expédition, les armateurs partageaient les risques financiers. Ils faisaient appel à un certain nombre de personnes pour prendre des parts dans l'entreprise. Appelés actionnaires ou associés, ces derniers pouvaient être très nombreux. En France, les armateurs trouvaient souvent les capitaux auprès de leurs amis, de leur connaissances et de leurs pare
Le choix du navire dépendait de la stratégie de l'armateur. Si celui-ci optait pour un voyage rapide alors le voilier devait être fin et rapide. S'il voulait se montrer économe, un navire en fin de carrière pouvait convenir. Le tonnage moyen du négrier était souvent supérieur à celui des navires destinés à la droiture vers les îles. Le navire négrier devait également répondre à des impératifs :
Coupe d'un bateau transportant des esclaves. Il fallait "rentabiliser" au maximum chaque voyage alors il fallait ranger soigneusement la marchandise qu'on transportait.
- Il devait être polyvalent, c'est-à-dire, être capable de contenir des marchandises comme des captifs.
- Le volume de la cale devait être très important pour l'eau et les vivres : en supposant qu'il faille 2,8 litres d'eau par personne et par jour, pour 45 marins et 600 captifs, sur un voyage de deux mois et demi, les besoins en eau se montaient à 140 000 litres d'eau ; il fallait compter 40 kilos de vivres par personne.
- La hauteur de l'entrepont devait être comprise entre 1,40 et 1,70 mètre. L'entrepont servait de parcs à esclaves et avec cette hauteur, les négriers augmentaient la surface disponible en installant des plates-formes à mi-hauteur sur les côtés, sur une largeur de 1,90 mètre.
Entre 1749 et 1754, le tonnage moyen des négriers nantais (187 observations) était compris entre 140 et 200 tonneaux.
Transport des esclaves sur un bateaux une fois capturés. La plus part des bateaux négriers appartenaient à des Juifs (voir vidéo)
Les marchandises transportées devaient être suffisamment nombreuses et diversifiées. Les navires européens emportaient dans leur cale des textiles bruts, des textiles finis, des armes blanches, des armes à feu, des vins et spiritueux, des matières premières brutes, des produits semi-finis ou finis, des articles de fantaisie et parure, du consommable volatil, des instruments monétaires, des articles de cadeaux et de paiement des coutumes.
La cargaison d'un négrier en partance pour les côtes d'Afrique représentait 60 à 70 % du montant de la mise-hors nécessaire à l'armement du navire. En effet, de nombreux produits de traite étaient relativement chers. C'étaient le cas des « indiennes », des textiles qui représentaient entre 60 et 80 % de la valeur de la cargaison.
Afin de maximiser les profits, voici comment étaient parqués nos ancêtres
La composition standard de l'assortiment, décrite ci-dessus, s'est construite petit à petit. Elle n'est devenue effective qu'à partir du dernier tiers du xviie siècle, soit plus d'un siècle après le début de la traite. Auparavant, les négriers européens avaient proposé différents produits. Mais s'ils ne satisfaisaient pas la demande, ces derniers étaient retirés des négociations. Ce fut le cas, par exemple, de la nourriture, des animaux et des agrumes, présents dans les premières cargaisons portugaises.
- L'équipage
Le nombre d'hommes d'équipage sur un navire négrier était deux fois plus important que celui des autres navires marchands de même tonnage. En France, on comptait 20 à 25 hommes par 100 tonneaux, ou encore un marin pour 10 captifs. L'équipage était composé de jeunes, de novices, parfois de fils d'armateur, de déracinés et d'aventuriers en tout genre.
- Les marins indispensables
Pour la réussite d'une expédition négrière, quatre hommes étaient particulièrement importants :
- le charpentier qui devait construire le faux-pont une fois que le navire se rapprochait des sites de traite africains ;
- Le tonnelier qui devait s'assurer de la bonne conservation de l'eau et des vivres, en quantité très importante dans la cale ;
- Le cuisinier qui devait nourrir des centaines de captifs et l'équipage.
- Le chirurgien qui devait s'assurer de la bonne santé des captifs à l'achat. Il était également chargé du marquage au fer rouge des captifs. Mais il ne pouvait rien contre les maladies qui se déclaraient à bord (J.-C. Nardin en dénombre 45 différentes).
- Le capitaine
Afin de mener à bien une expédition négrière, l'armateur nommait un capitaine. Il n'hésitait pas à intéresser le capitaine dans les profits de l'expédition en plus des primes. Celui-ci devait réunir plusieurs compétences :
- des compétences nautiques. Le capitaine devait savoir naviguer mais il devait également surmonter les nombreux obstacles naturels qu'il allait rencontrer sur sa route.
- des compétences commerciales. Le capitaine devait savoir marchander avec les traitants africains. Certains capitaines (surtout français) marchandaient également avec les colons
- des compétences de manieur d'hommes et de garde-chiourme.
- L'équipe de production d'esclave en Afrique
Les lançados, métis de Portugais, jouèrent les intermédiaires entre les négriers occidentaux et les africains à partir du dernier tiers du xvie siècle en Gambie et au Libéria. D'autres lançados s'étaient établis dans le royaume du Dahomey. Au xixe siècle, leur rôle en tant qu'intermédiaires et producteurs d'esclaves y était très important, surtout lorsque Francisco Felix da Souza obtint du roi Ghézo, en 1818, la charge de "Chacha" (responsable du commerce pour le royaume du Dahomey)
Au Congo, à partir du xviie siècle, des caravanes de pombeiros (marchands indigènes acculturés et commandités par les Portugais) s'enfonçaient à l'intérieur du continent pour aller produire ou acheter des esclaves
Voici comment ils venaient nous chercher. Les Noirs qui vendaient leurs frères étaient contraint de le faire puisque le Blanc avaient des armes à feu. Il a été prouvé que le mythe selon lequel les Africains se sont vendu entre eux eux est faux sinon qu'on nous explique pourquoi ils avaient besoin d'avoir des fusils si c'était une pratique courante comme on nous le dis. Et qu'on nous explique qui leur donnaient ces armes. Cette excuse est une invention de l'homme Blanc pour se dédouaner et dire qu'il n'a fait qu'industrialiser une pratique qui se faisait déjà à l'échelle traditionnelle
(Voir vidéo ci-dessous)
Là nos ancêtres étaient parqué comme des animaux dans des cales d'un bateau ou ils ne recevaient ni eau, ni nourriture pour un voyage qui durait 2 mois. Regardez comment ils sont tous maigres
Et après vous allez me dire qu'on doit pardonner aux Blancs parce qu'ils ont changé ? Nous ont-ils demandé pardon pour le mal qu'il nous on fait ou même ont-ils un jour reconnu leurs crimes ?
Quand un esclave était malade ou trop récalcitrant, on le balançait par dessus le bateau pour l'aléger
En 2010, un artiste a réalisé cette sculpture en mémoire des millions qui périrent dans les eaux de l'Atlantique. Paix à leur âme !
Conclusion finale
Après avoir vu que la Guerre et la Haine de l'autre étaient une religion pour ces gens, nous comprenons mieux l'expression que reflètent les tragédies jouées dans les théâtres. Ces tragédies diffusent une image identique à celle de la guerre; les principaux éléments qui la composent sont l'effroi, la crainte, l'horreur, l'épouvante, et la terreur. Il n'y jamais d'épilogue heureux, tout tourne autour du drame. La "gloire" de la tragédie grecque hante encore toute l'Europe. La tragédie grecque exerce encore de nos jours une influence réelle sur le genre littéraire tragique.
La tragédie, le drame sont le reflet d'un mode vie indo-européen, une constante que l'on retrouve dans toutes formes d'expressions (art, littérature, etc.) propres aux peuples nordiques. Ces derniers expriment leur véhémence pour la guerre, la violence, ce que Cheikh Anta Diop appelle les "Invariants culturels" de l'esthétique, de la littérature, de la vision du monde indo-européen.
Question de réflexion : Quel avenir pour l'Afrique au 21e siècle ?
Dans la partie 2, je parlerais de la Franc-maçonnerie, des loges et de la Chine et j'expliquerai le choix de cette image. Que vous inspire t-elle ? J'aimerais lire vos commentaires dessus.
Diaspora-africaine.ning.com
(c) Sources: Wikipedia, www.shenoc.com, Princeton Review "Evolution of the Map of Africa" et divers sites web.
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