Prélude au PREMIER CONGRÈS DES
ORIGINAIRES DU ROYAUMES KONGO
La Rue Meurt Magazine a un nouveau look:
le site se présente sous forme de blog, avec un noveau look, permettant plusieurs possibilités d’interactions: commentaires des articles, partage sur Facebook, Twitter et social networks, etc.
En ce troisième millénaire les lecteurs sont protagonistes de ce qu’ils lisent. Vous devez etre lecteur actif et non passif de ce qui vous entoure. Le monde n’appartient qu’à ceux qui se prononcent, proposent, ou crient l’injustice qu’ils subissent; personne ne le fera à votre place. Ainsi meme pour ce nouveau look de la Plateforme Panafricaine d’Informations de l’Est à l’Ouest de l’Atlantique La Rue Meurt Magazine, c’est aussi la femme qui ouvre la scène.
AU COMMENCEMENT ETAIT LA FEMME
L’histoire est comme un criminel, qui revient toujours au lieu du crime, pour repéter la meme strophe... Ça a toujours été ainsi, mama Nkama Mbangala (la femme aux neuf mamelles) nous a bien sortie di Zimba dia Mbwe (Espace Initiatique fait de pierre-mbwe) l’actuel Zimbambwe pour nous amener à Mbanza Kongo; hier c’est Kimpa Mvita qui ramène les symboles du Pouvoir pour restaurer le trone à Mbanza Kongo, ou Solitude qui en Guadeloupe reclame la “Vie en toute Liberté ou la Mort”, sans oublier Rosa Park qui refusa de céder son chaise dans un bus, déclanchant ainsi la Grève de Bus aux USA, et aujourd’hui, Bousso Dramé, une jeune sénégalaiserefuse un visa pour la France parce que explique-t-elle, qu’à l’Institut Français comme au Consulat de France, elle a eu à faire face à des attitudes et propos condescendants, insidieux, sournois et vexatoires. »
Devant cette merveille, j’ai senti d’André Matsoua se retourner dans sa tombe. Je suis vraiment tombé des nuées, à m’imaginer combien de squelettes tapissent les fonds marins de la méditérranée, pour avoir caressé le reve d’Europe-Eldorado…
LARUEMEURT.COM