Par Judy Byington, le 1 mars 2014
Aujourd’hui le Pape Benoît, la Reine Elizabeth, le Supérieur Général Adolfo Nicholas Pachon et l’Achevêque de Canterbury Justin Welby ont reçu unecitation à comparaître devant un tribunal international à Bruxelles le 31 mars 2014.
Ils sont accusés de complicité dans la torture, le trafic et le meurtre d’enfants, ainsi que d’avoir dissimulé des preuves concernant:
Albert Hance, âgé de 9 ans: affamé jusqu’à la mort à l’école anglicane St. George à Lytton, Colombie Britannique (Canada);
Richard Thomas, âgé de 15 ans: battu à mort par le prêtre catholique Terrance MacNamara à l’école de Kuper Island, Colombie Britannique;
Shirley Tattoche, âgée de 10 ans: violée et assassinée par des prêtres catholiques à l’école de Fort Albany, Ontario (Canada);
Les efforts entrepris depuis 2008 pour empêcher l’excavation de 32 sites de tombes communes d’enfants sur les propriétés d’écoles d’enfants amérindiens du Canada par la Reine Elizabeth, l’Église Catholique, l’Église Unie du Canada, l’Église Anglicane et le gouvernement du Canada. Un Tribunal International bruxellois les avait tous trouvés coupables, le 25 février 2013, dans l’affaire de 50.000 enfants amérindiens ayant été violés, torturés, prostitués et/ou tués dans 80 internats scolaires à travers le Canada. Consultez les preuves dans "Hidden No Longer" gratuitement aux adresses suivantes:www.hiddennolonger.com et www.ChildAbuseRecovery.com
Le rôle du Pape Benoît dans le meurtre, en 1987, d’un enfant de sexe féminin dans un château français aux Pays-Bas. Au moins trois témoins ont accepté de parler au tribunal.
Il est soupçonné que l’ascension rapide du Pape François à la tête de l’Église Catholique en Argentine soit un résultat de son accord avec la Junte militaire pour faire du trafic d’enfants depuis des orphelinats catholiques pendant la Sale Guerre en Argentine des années ’70. Un fonctionnaire argentin qui a pris des notes exhaustives de réunions entre François et des officiels de la Junte militaire a accepté de sortir de sa cachette en Espagne pour livrer son témoignage.
L’usage par le Pape François, le Pape Benoît et la Reine Elizabeth d’un accord intitulé Crimen Sollicitationas pour prévenir la diffusion d’informations à des autorités judiciaires pour des accusations de crimes à l’encontre de millions de victimes d’abus de la part de prêtres catholiques et anglicans (la Reine d’Angleterre est le chef temporel de l’église anglicane, ndlr). Une source du Vatican a affirmé que la Reine Elizabeth a signé ce document avec le Pape Benoît le 16 septembre 2010, au château de Holyrood à Édimbourg.
Le tribunal international a aussi trouvé en 2013 la Reine coupable d’avoir enlevé 10 enfants de l’internat catholique de Kamloops, le 10 octobre 1964. Leurs parents n’ont plus revu leurs enfants. trois témoins de l’enlèvement sont morts de causes mystérieuses avant l’audience du tribunal. Quatre membres de l’ITCCS essayant de rendre public le mandat d’arrêt de la Reine Elizabeth ont été à divers moments détenus, parfois pendant des journées entières sans accusation formelle et relâchés seulement du fait d’un tollé venant du public.
"Nous demandons à toutes les personnes de conscience de se souvenir et d’agir non seulement pour les enfants qui souffrent et meurent en ce moment-même aux mains de violeurs et de trafiquants d’enfants protégés par le clergé, mais pour les enfants sans nombre qui sont déjà morts," a déclaré Kevin Annett de l’International Tribunal into Crimes of Church and State (Tribunal International sur les Crimes de l’Église et de l’État, ndlr) qui dirige l’accusation. "Quiconque détenant des preuves en rapport à cette affaire est invité à les soumettre au Bureau du Procureur Citoyen du Tribunal àitccscentral@gmail.com."
Une Journée de Silence pour mettre un Terme à la Violence Cléricale Envers les Enfants a été appelée pour le 30 mars 2014. L’ITCCS et ses affiliés invitent les gens de conscience à les rejoindre en prière, jeûne et réflexion pour les enfants abusés.
Le tribunal bruxellois, le 25 février 2013, avait déclaré la Reine Elizabeth II, le Pape Benoît XVI et 28 autres membres de l’élite mondiale coupables de Crimes Contre l’Humanité. Le Pape Benoît avait démissionné de son poste ce même jour.
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