‘’Mon père s’arrangeait toujours pour entrer dans la salle de bain quand je m’y trouvais. C’est vrai qu’il ne faut pas exagérer, il ne m’a jamais violée ! Mais je ne supportais pas la façon dont il regardait mes seins. Jusqu’au jour où il est passé à l’acte. Nous nous sommes arrangés tant bien que mal à attribuer la paternité de la grossesse à mon petit ami actuel. Aujourd’hui notre fils à 6ans ’’ nous a-t-elle confiée.
A la longue liste des maux qui accablent le quotidien des gabonais, vient s’ajouter l’inceste. La montée vertigineuse de ce phénomène inquiète plus d’un. Les frères couchent avec les sœurs, le beau-père entretient des rapports intimes avec la fille de sa femme, la femme d’un défunt épouse le frère cadet de son mari… Les exemples sont légion. Le cas le plus patent, est la révélation d’Hortense, une jeune gabonaise âgée d’une trentaine d’années.
Les actes incestueux sont, aussi, multiples. Si l’on peut, en effet, violer le sexe ou l’anus de son enfant, on peut également utiliser sa bouche, sa main, sa peau, en se masturbant sur elle, par exemple, son regard en s’exhibant devant lui ou en le faisant assister à des scènes sexuelles, ses oreilles en faisant en sorte qu’il entende les bruits de la chambre parentale, son corps entier, ses émotions et sa sexualité en faisant de lui le » partenaire » de jeux sexuels d’adultes.
Dans la réalité, les choses sont autrement plus complexes. Car si l’inceste ne commence pas au viol génital, il ne se limite pas non plus aux relations père-fille, comme c’est le cas d’Hortense. Les pères ne sont pas les seuls » incestueux « . Le sont également des mères, des oncles, des grands-pères, des beaux-pères, des enfants, des amis intimes de la famille. On oublie aussi trop souvent l’inceste entre frère et sœur, qui fait beaucoup plus de ravages qu’on ne le croit. L’inceste n’est pas forcément hétérosexuel, il peut être également homosexuel (mère-fille, père-fils).
L’inceste ne touche pas seulement que les grands enfants , mais aussi les plus petits et même les enfants de moins de 5 ans, et parfois même les bébés. Les psychologues, les médecins généralistes et les gynécologues le réalisent bien tous les jours. Et tous savent à quel point il est important d’agir contre ce phénomène qui prend des proportions inquiétantes.
Source : Gabonédito
A la longue liste des maux qui accablent le quotidien des gabonais, vient s’ajouter l’inceste. La montée vertigineuse de ce phénomène inquiète plus d’un. Les frères couchent avec les sœurs, le beau-père entretient des rapports intimes avec la fille de sa femme, la femme d’un défunt épouse le frère cadet de son mari… Les exemples sont légion. Le cas le plus patent, est la révélation d’Hortense, une jeune gabonaise âgée d’une trentaine d’années.
Les actes incestueux sont, aussi, multiples. Si l’on peut, en effet, violer le sexe ou l’anus de son enfant, on peut également utiliser sa bouche, sa main, sa peau, en se masturbant sur elle, par exemple, son regard en s’exhibant devant lui ou en le faisant assister à des scènes sexuelles, ses oreilles en faisant en sorte qu’il entende les bruits de la chambre parentale, son corps entier, ses émotions et sa sexualité en faisant de lui le » partenaire » de jeux sexuels d’adultes.
Dans la réalité, les choses sont autrement plus complexes. Car si l’inceste ne commence pas au viol génital, il ne se limite pas non plus aux relations père-fille, comme c’est le cas d’Hortense. Les pères ne sont pas les seuls » incestueux « . Le sont également des mères, des oncles, des grands-pères, des beaux-pères, des enfants, des amis intimes de la famille. On oublie aussi trop souvent l’inceste entre frère et sœur, qui fait beaucoup plus de ravages qu’on ne le croit. L’inceste n’est pas forcément hétérosexuel, il peut être également homosexuel (mère-fille, père-fils).
L’inceste ne touche pas seulement que les grands enfants , mais aussi les plus petits et même les enfants de moins de 5 ans, et parfois même les bébés. Les psychologues, les médecins généralistes et les gynécologues le réalisent bien tous les jours. Et tous savent à quel point il est important d’agir contre ce phénomène qui prend des proportions inquiétantes.
Source : Gabonédito
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