LA RAISON D'ÊTRE DE AMMAFRICA WORLD:L'AFRIQUE;LE BERCEAU DE L'HUMANITE
LE MONDE COMMENCE A EN PARLER: ICI LA REFLEXION DE LA PRESSE AFRIQUE 2007
Avant d'aller dans cette lécture,nous ténons à preciser que nous avons la passion pour l'Afrique!
Pour se faire, "AMMAFRICA WORLD" met l'accent sur le passé sombre de ce continent, cherche à détacher les Africains de se libérer de ce passé SOMBRE pour aller de
l'Avant et ne point se plaindre sur son récul de beaucoup de choses! Mais pour bien actionner nos idées dans le Monde, et surtout s'opérer en Afrique, nous rappelons ce que l'Afrique répresente pour le Monde et surtout si les Africains ainsi que leurs élites le reconnaissent par son organisation "OUA" (Organisation de l'union Africaine) et autres organisations visant toujours le bien et la Rénaissance de L'Afrique à partir des nos pays respectifs. Oui! L'Afrique a sombré dans le Chaos! Oui! L'Afrique sera secouée un Moment
après quoi, un changement RADICALE s'opérera. Afrique, et les AMIS D'AFRIQUE, tous ensemble, travaillons pour que revive ce continent!
Ammafrica world
Mama FEZA
http://youtu.be/wDtplIEQeo0 (Youtube: Chanson AFRICA par FEZA HOSSEYA CHAMAMBA)
PRESSAFRIQUE 01.01.07 |
"Nous sommes des échangeurs et des brasseurs de temps" L'Afrique : berceau de l'humanité et de la civilisation, des sciences et des religions
En l'état actuel des connaissances scientifiques, on doit bien reconnaître que le continent africain a vu naître les premiers hommes, les premières grandes civilisations, les premières sciences ainsi que les premières croyances religieuses allant du polythéisme au monothéisme. Force est de constater, selon les dernières découvertes des paléo-anthropologues, des archéologues, des généticiens et de linguistes que c'est sur le continent africain que les premiers hominidés ont été découverts et notamment l'homo sapiens dont nous sommes issus. Les travaux d'Yves Coppens, Luigi Luca Cavali-Sforza, Bryan Sykes, de Pascal Picq, de Christopher Stringer documentent abondamment cette théorie de l'origine africaine de l'humanité. En l'état actuel des connaissances, la chaîne d'hominisation africaine est la plus ancienne et la plus complète. Les paléontologues Günter Braüer, Reneir Protsch, Christopher Stringer considèrent que l'homme moderne a une origine africaine monogénétique. Ces travaux sont confirmés par les recherches combinées de généticiens, de paléo-anthropologues et de linguistes. Ainsi la technique de l'ADN mitochondrial a permis de mettre en évidence que nôtre ancêtre le plus ancien vivait il y a 150 000 ans en Afrique. «Le mérite de l'arbre des gènes fondé sur l'étude de la mitochondrie est d'avoir pour la première fois introduit dans l'équation une échelle chronologique objective. Il a établi très clairement que l'ancêtre de la mitochondrie commune de tous les humains modernes vivait il y a quelques 150 000 ans seulement. » (Bryan Sykes, Les sept filles d'Eve, Paris Albin-Michel, 2001, p.67-68). Deux études publiées par des équipes de chercheurs généticiens états-uniennes et chinoises parues dans la célèbre revue Science en 2001 (African Origin of Modern Humans in East Asia : A tale of 12 000 chromosomes) et dans la revue états-unienne Proceedings of The National Academy of Sciences en 1998 font état de l'origine africaine des Asiatiques. L'appellation indo-européen n'a pas de raison d'être et relève du mythe occidental. En l'état des découvertes scientifiques, les plus anciennes gravures au monde ont été retrouvées dans la grotte de Blombos à 200 km du Cap en Afrique du sud et datent d'environ 77.000 ans avant notre ère précédent de près de 40.000 années l'art pariétal du Sud de l'Europe (grotte Chauvet en France, site Altamira en Espagne).
Afrique : berceau de la civilisation « Les Ethiopiens disent que les Egyptiens sont une de leurs colonies qui fut menée en Egypte par Osiris. Ils prétendent même que ce pays n'était au commencement du monde qu'une mer, mais que le Nil entraînant dans ses crues beaucoup de limon d'Ethiopie, l'avait enfin comblé et en avait fait une partie du continent.Ils ajoutent que les Egyptiens tiennent d'eux, comme de leurs auteurs et de leurs ancêtres, la plus grande partie de leurs lois ; c'est d'eux qu'ils ont appris à honorer les rois comme des dieux et à ensevelir leurs morts avec tant de pompe ; la sculpture et l'écriture ont pris naissance chez les Ethiopiens.Les Ethiopiens allèguent d'autres preuves de leur ancienneté sur les Egyptiens ; mais il est inutile de les rappeler ici. » (Diodore de Sicile 90-20 avt. Notre ère. Histoire universelle, Livre 3, p.341). « Grâce au témoignage fourni par le cimetière L., la période qui précède juste la première dynastie devient, pour la première fois, une époque historique. Un fait étonnant se dégage, absolument contraire à toutes les idées antérieures sur la question : pendant neuf générations au moins, de 3500-3400 à 3200-3100 avant J.C., la Nubie du groupe A fut un Etat unifié, possédant tous les attributs d'une civilisation - un gouvernement, un pharaon, des fonctionnaires, une religion officielle, une écriture et des monuments - un Etat assez fort pour unir des peuples qui n'étaient pas de même origine. C'est ainsi que les habitants du Ta-Seti, « le pays de l'Arc », nom par lequel les anciens Egyptiens désignaient la Nubie, participèrent pleinement et sur un plan d'égalité que personne n'avait jamais soupçonné, à l'irrésistible essor de la civilisation des rives du Nil » (Rapport de Bruce Williams, 1986 «Excavations between Abu Simbel and the Sudan frontier, part I - The A-group royal cemetary at Qustul : cemetary L ».University of Chicago).
Ainsi ce papyrus formule le théorème de Thalès 1300 ans avant que Thalès s'en attribue la paternité. Le papyrus de Moscou contient avant l'heure la théorie d'Archimède selon le Professeur Struve qui l'a édité : « Le papyrus de Moscou qui nous livre parmi de nombreuses autres, la preuve d'une célèbre découverte d'Archimède doit être inscrite au compte des Egyptiens. Nous n'avons donc plus aucune raison de rejeter les affirmations des écrivains grecs selon lesquelles les Egyptiens étaient les maîtres des grecs en géométrie [.] Ainsi, est-ce encore une grande découverte attribuée à Démocrite qu'il va falloir reculer de 1400 avant son présumé inventeur. Ces faits nouveaux, par lesquels le papyrus de Adwin Smith et le papyrus de Moscou enrichissent notre savoir, nous forcent à une révision radicale de notre jugement de valeur tenace jusqu'à présent, sur les connaissances égyptiennes. Un problème comme celui de la recherche des fonctions du cerveau ou bien celui de la détermination de la surface d'une sphère n'appartiennent plus au cercle des questions par lesquelles une connaissance empirique s'édifie, à l'intérieur d'une culture primitive. Ce sont déjà de purs problèmes théoriques, qui de ce fait prouvent que le peuple égyptien de même que le peuple grec se sont efforcés d'acquérir une pure vision intellectuelle de l'univers. ». (Cf. Lathematisher Papyrus des Staalichen Museumsder SchönenKünstein Moskau, cité par Omotunde, p.68-69).
De nombreux récits émanant de philosophes grecques (Platon, Hérodote, Diogène) ou romains (Diodore de Sicile) qui remontent à l'Antiquité font état de l'initiation de nombreux de ces philosophes auprès des prêtres égyptiens. Pythagore (resté 22 ans en Egypte), Platon (13 ans), Eudoxe (13 ans), Démocrite (5 ans), Hippocrate (3 ans) ont reçu une initiation en Egypte de la part des prêtres égyptiens. Le cas le plus célèbre étant celui de Pythagore qui vécu plusieurs années en Egypte et dû patienter plusieurs années avant de gagner la confiance de ses maîtres égyptiens et de recevoir leur enseignement. Il vécu durant ces années en véritable Egyptien, il savait aussi bien lire les hiéroglyphes que les cursives (Hiératique et Domotique) et sacrifia à la coutume égyptienne de la circoncision que l'on retrouve aussi en Ethiopie. Lorsque le jeune savant revint en Grèce, il ne fit nulle mention dans ses découvertes de l'inspiration égyptienne qui avait été la sienne pour ne pas écrire à l'instar de Cheikh Anta Diop qu'il s'agissait de véritables « emprunts ». Beaucoup de savants grecques ont fait passer à la postérité des théorèmes scientifiques égyptiens sous leur nom sans même citer leurs sources. Certains chercheurs mathématiciens contemporains évoquent les erreurs de traduction des Grecs dans la transcription du savoir scientifique égyptien au point que certains théorèmes repris par les Grecs s'avèrent être incomplet. C'est le cas par exemple de certains traités de géométrie tel que celui d'Euclide. Ainsi selon le mathématicien Bertrand Russel (Principle of Mathematics cité par Omotunde) : « Puisque Euclide a toujours de la popularité et une réputation de rigueur même auprès des mathématiciens, en vertu de quoi on lui pardonne ses circonlocutions et son verbiage, on gagnerait à commencer par relever quelques-unes des erreurs contenues dans ses vingt six premières propositions. Commençons par la première. Il n'y a aucune preuve que les cercles qu'on nous a dit de construire s'intersectent et s'ils ne le font pas, toute la proposition s'effondre [.] Quant à la quatrième il y aurait beaucoup à dire : en fait la preuve d'Euclide est si mauvaise qu'il aurait mieux fait d'admettre cette proposition comme un axiome. »
Afrique : berceau des religions « La parcelle de Ka individuelle rejoint le Ka universel - l'intellect ou l'Âme du Monde - et ne se perd jamais dans le grand Tout : ainsi, la cosmogonie philosophique égyptienne a inventé l'immortalité de l'âme dès l'Ancien Empire, 2600 av. J.C. et même plus tôt, comme en font foi les Textes des Pyramides, plus de 1000 ans avant la première religion révélée ». Cheikh Anta Diop, Civilisation ou Barbarie, ibid, p.428. Les religions polythéistes ont connu une floraison extraordinaire dans l'Antiquité. Parties de l'ancienne égypte, et sans doute antérieurement de Nubie, elles ont irradié les cultures grecques et romaines. Ainsi de nombreuses divinités égyptiennes ont été transposées chez les Grecs ou chez les Romains. Amon est devenu Zeus chez les Grecs et Jupiter chez les Romains (selon certaines sources d'après le dictionnaire des mythes, Nadia Julien, édition Marabout) ; Ptah est devenu Héphaïstos chez les Grecs et Vulcain chez les Romains; Osiris, Dionysos chez les Grecs, Bacchus chez les Romains ; Isis, Déméter chez les Grecs, Cérès chez les Romains. Enfin il y a une parenté entre certains mythes de l'Egypte et de la Grèce antique notamment en ce qui concerne le mythe d'Orphée et certains éléments empruntés au mythe égyptien d'Osiris. De nombreux éléments de la culture égyptienne ont influencé la culture occidentale. Le culte d'Osiris et d'Isis se répandit dans le monde greco-romain mais aussi dans toute l'Europe latine et cela jusqu'au moyen-âge. A tel point que certains ont fait le parallélisme entre le culte de la Vierge noire au moyen-âge et celui d'Isis. Enfin le culte monothéiste le plus ancien revient au culte conçu par le pharaon Amnophis IV qui se rebaptisa Akhénaton et qui préconisait de ne croire qu'en un dieu : Aton. Certains égyptologues considèrent les Hébreux comme un peuple africain ayant migré d'Egypte en restant fidèle au culte d'Aton qui était tombé en désuétude après le règne d'Akhénaton. Joseph Davidowitz (La Bible avait raison ), égyptologue, considère que les Hébreux, en égyptien ubrus, étaient des Egyptiens descendants des artisans, professionnels constructeurs et artistes d'el-Amana, la capitale construite par le pharaon monothéiste Akhenaton. Cela expliquerait certaines coutumes communes telles que celles de la circoncision pratiquées dans l'Egypte ancienne mais aussi bien avant en Nubie (Ethiopie, ancien Soudan). « ...seuls parmi les hommes les Colchidiens, les Egyptiens et les Ethiopiens pratiquent la circoncision depuis l'origine » (Hérodote 484-425 avant notre ère, Livre 2, 104). Il est alors probable que les Juifs d'Ethiopie ne sont pas issus de la migration en Afrique des Juifs à partir du royaume d'Israël comme l'attestent de récentes découvertes génétiques. Ainsi une étude parue dans Human Biology (1999) de Lucotte et Smets évaluant l'homologie de séquences d'ADN du chromosome Y d'un échantillon d'Ethiopiens juifs vivant en Israël et d'Ethiopiens non juifs vivant dans une région au nord d'Addis Abeba relève plus de similitude et de proximité génétique entre les Juifs Ethiopiens vivant en Israël et les Ethiopiens autochtones non juifs qu'avec les autres communautés juives. Les travaux de Lucotte et son équipe confirme les travaux d'une équipe israëlienne publiée en 1991 dans l'Israel Journal of Medical Sciences 27:245 par Avshalom Zoossmann-Disken, A. Ticher, I. Hakim, Z. Goldwitch, A. Rubinstein et Batsheva Bonné-Tamir intitulés "Genetic affinities of Ethiopian Jews". Pour Lucotte et son équipe, les résultats sont compatibles avec le fait que les dénommés Falashas proviennent des anciens habitants ayant vécu en Ethiopie et non d'une migration de peuples juifs originaire du royaume d'Israël à l'époque du roi Salomon ou des tribus de Dan. Lucotte et Smets concluent qu'il s'agissait probablement d'Ethiopiens convertis secondairement au judaïsme. Si indéniablement la génétique semble accréditer que les dénommés Falashas (terme utilisé par les Chrétiens d'Ethiopie, tiré de l'amharique et signifiant « exilé » ou « immigrés ») ou plus exactement Betaisraël (tels qu'ils se sont renommés ; éthymologiquement : « Maison d'Israël ») sont issus de population anciennement installée en Ethiopie, les auteurs vont bien au-delà de leurs travaux en concluant qu'ils ont été secondairement convertis au judaïsme. L'hypothèse qu'ils furent les premiers Juifs ayant migré hors d'Egypte est une hypothèse solide. L'hypothèse qu'ils constituèrent une population initialement originaire d'Ethiopie qui resta fidèle au culte d'Akhenaton après sa mort est encore plus pertinente. Et cela d'autant plus qu'une étude parue en 2002 dans l'American human journal of genetic portant sur l'ADN mitochondrial des Betaisraël montre des séquences génétiques très similaires à celles observées chez les populations locales éthiopiennes et somaliennes. Une autre étude publiée en 2001 dans la célèbre revue états-unienne Proceedings of National Academic of Science of the United States of America retrouve une parenté génétique très forte entre des Juifs éthiopiens et yéménites. Pour les auteurs, ces éléments sont en faveur d'une migration de la population des Betaisraël d'Ethiopie vers le Yemen et plus généralement d'une migration possible dans la région de la mer rouge en provenance d'Ethiopie.
SOURCE:pressafrique.com |
La FEMME apportera toujours plus dans la societé car elle en est le SOCLE !
A découvrir aussi
- L'AFRIQUE DU SUD VA VENIR FAIRE LE BABY-SITTING EN RDC,QUELLE HONTE?!
- RDC CONCERTATION NATIONALE:LA LISTE COMPLETE DE SECRETARIAT TECHNIQUE POUR LA TENUE DE LA DITE CONCERTATION
- RDC:L'homosexualité Bientôt Criminalisée?,le député de l'opposition rejette la validation de cette loi!
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 1507 autres membres