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LE PEUPLE BANTU DANS L'HISTOIRE DE L'HUMANITÉ

Le peuple Bantou est constitué de  l’ensemble des  populations africaines vivant au sud de l’équateur. Les langues bantoues se rattachent à l’ensemble des langues  nigéro-congolaises du groupe Bénoué-Congo. »  

 

 


Ethymologiquement, le vocable Bantou a été introduit en 1862 par Guillaume - Henri BLECK linguiste allemand de son état, pour désigner les groupes de populations noires dont la langue ou le dialecte utilise le Radical « Ba » en guise de pluriel; et qui habitaient la zone au sud du parallèle joignant Douala à la rivière Tana située au Kenya. Malheureusement, ce terme a à ce toujours été appliqué à mauvais escient à des caractéristiques anthropologiques ou culturelles. Cela peut  s’expliquer par le fait que ce peuple a eu tout au cours de son histoire à effectuer des migrations dont la plus importante l’a menée de la vallée du Nil à L’Afrique du Sud, en passant par certaines régions de l’Ouest africain avec tout ce que cela comporte de métissage tant au niveau humain que culturel ; d’où la grande diversité des bantous sur le plan physique. 
Précisons aussi qu’au cours des  grandes migrations, certains (Bantous) ont décidé de vivre dans des régions de l’Ouest africain. Il est donc fort probable que la grande majorité des noirs africains soit des descendants du moins en partie des Proto Bantous (Ancêtres des bantous).

Plus concrètement, le mot Bantou est formé de deux radicaux. Le radical Ba qui forme le pluriel en langue bantoue, donc « les » et le radical  « ntou » qui veut dire « Homme ». Le mot bantou signifie donc les Hommes.


La Genèse


Il y a bien longtemps, les nôtres, la grande Famille Bantou menait une vie paisible et harmonieuse, tout là haut, dans la vallée du Haut Nil. L’eau y était abondante, le poisson pullulait dans les cours d’eau, la végétation était dense et la vie luxuriante. Des années et des années passèrent, les cycles du soleil et des pluies se succédaient normalement. Puis un jour, les pluies ont commencées à se faire rares, comme si Mère Nature était devenue folle. Notre peuple qui s’était agrandi en nombre, malgré sa solide structure, a commencé à manquer du nécessaire vital, étant donné que très rapidement, la nature évoluait de la forêt à la savane.
Nos aeuils tinrent alors un grand conseil au pied de l’arbre à palabres, et décidèrent à l’unanimité d’aller  chercher ailleurs, une vie meilleure. On forma différents groupes au sein des quels se retrouvaient toute la structure de la société Bantoue afin de multiplier les chances de survie de notre société. Certains partirent vers l’ouest et d’autres vers le sud. On raconte encore de ce côté du fleuve Sanaga (fleuve du centre du Cameroun actuel, qui prend ses sources dans les hauts plateaux de l’Adamaoua) que certains de nos frères sont allés jusqu’à atteindre les terres de l’union  sud Africaine (actuel République Sud-Africaine). En particulier notre frère Soulouk (ce qui veut dire fourmi en Bassa et se serait transformé en Zoulou, sous entendu "peuple du ciel", caractéristique des fourmis mâles qui se dotent d'ailes à certaines périodes de l'année dans le but de s'envoler à la recherche de nouvelles colonies) dont les récits des différentes épopées de ses descendants nous sont parvenus. Mais cette migration ne fut pas de tout repos,  car nous étions considérés comme des envahisseurs. On peut dire que les africains Noirs Actuels sont presque tous des descendants des Bantous, à quelques exceptions près. A savoir : Les pygmées, les Hottentots, les Bochimans.


Histoire


Certains ont  pensé des siècles durant  que l’Afrique noire  n’avait pas d’histoire. Ceci était dû au fait que l’Afrique a toujours été une société à tradition orale. L’originalité des sociétés qu’on dit  « sans écriture » est que l’Homme est engagé par la parole. Celle-ci joue ici un rôle primordial, car elle est à la fois, connaissance, religion, histoire, divertissement, science de la nature et initiation au métier, ce que l’on appelle là bas, « l’école de la vie ». Dans une telle société, les gardiens de cet héritage sont les traditionalistes d’une part, qui sont chargés de transmettre des connaissances contrôlées  par le comité des sages,  et d’autre part  les griots qui eux sont à la fois généalogistes, historiens et poètes. L’avantage que représente la tradition orale, est de venir de l’intérieur des sociétés africaines, par conséquent, elle reflète une organisation mentale et un vécu du groupe socioculturel. La tradition orale ne permet cependant pas l’établissement d’une chronologie. Ce qui pose de sérieux problèmes aux historiens, et ouvre ici le chemin de la multidisciplinarité pour tenter de combler les trous.


Quant aux bantous, certains historiens affirment que Le groupe Proto Bantous qui  occupent actuellement l’Est, Le  Centre et le Sud du continent africain se serait  formé au premier millénaire avant J. C.  Aux confins du Cameroun et du Nigeria. Cette affirmation est sujette à caution, car la migration Bantou aurait commencé bien avant le premier millénaire, puisqu’ elle était le pendant de l’assèchement du Sahara qui  date du début  du  troisième millénaire. Les Bantous vivaient  alors dans la région du Haut Nil comprise entre le 17e et le 21e parallèle sur les bords de grands marécages (cf. R et M. CORNEVIN, Histoire de l’Afrique P.43). Cette présence s’est poursuivit à l’époque du règne du grand pharaon soudanais TAHARKA le Grand (689-664) pendant la période du néolithique humide. Certains bantous étaient installés entre la cinquième et la sixième cataracte du Nil, à une cinquantaine de kilomètre au sud du confluent NIL-ATBARA. Ils formaient alors le royaume de Kouch-Napata-Méroé. Ce royaume était doté d’une écriture alphabétique non encore déchiffrée à ce jour, et de la maîtrise de la métallurgie du fer (cf. R et M. CORNEVIN, Histoire de l’Afrique P.58). Le climat de l’Afrique dans une région comprise entre le Sahara et la zone équatoriale très étendue, était très humide il y a huit ou dix mille ans. Le mode de vie des bantous  était étroitement lié à l’eau. Le développement des civilisations de pêcheurs a été daté entre 8000 et 5000 avant l’ère chrétienne, le long du moyen Nil et dans le sahara. On a même retrouvé la trace des bantous au nord du continent africain tant à l’Ouest qu’à l’Est. En effet, le saharien mésolithique d’Asselar était un noir de type bantou. En outre, les vases trouvés dans l’Aouker préhistorique (aujourd’hui la Mauritanie) d’après H. Laforgue et Vaneleshe ressemblent en tout point a ceux qui sont encore utilisés aujourd’hui par les Noirs du sud. Les vestiges d’harpons en os et la poterie suggèrent des activités de pêcheurs encore tributaires de la chasse et de la cueillette.


A partir de 5000 avant J.C. le climat devient aride entraînant un abaissement des niveaux des lacs, modifiant ainsi le modèle économique fondé sur l’exploitation des ressources naturelles, surtout aquatiques, à savoir la chasse, la pêche et la cueillette. Les conséquences de cet assèchement furent la migration des populations qui vivaient dans cette zone, parties vers le sud,  à la recherche de l’eau. Et la mutation du peuplement de l’Afrique.


Les populations noires à cette époque étaient les descendants de l’empire kouchite. Elles se sont déplacées pour la plupart vers les zones sédentaires et certains oasis du nord du sahara. Tout au long de cette migration, le peuple bantou a développé plusieurs civilisations, car chaque groupe ou groupuscule qui s’implantait sur un fief essayait d’adapter ses us et coutumes aux réalités locales. La civilisation résultante n’était alors rien d’autre que le syncrétisme entre la culture acquise des bantous  et les nouveaux milieux et contacts. Cette dispersion des bantous s’est déroulée sur une très grande échelle d’espace et de temps à cause de la grande forêt équatoriale qui constituait un obstacle plus difficile à franchir car exubérante et impénétrable. Les Bantous ont due emprunter les voies de moindre résistance que constituaient les cours d’eau tel que la Sangha et L’Oubangui. Cette migration n’était pas encore achevée à la fin du 19ieme siècle.

Les Bantous sont estimés à 310 millions à ce jour. Il s’agit  plus d’une famille culturelle que d’une race, car l’unité de la langue est incontestable. Ce sont des peuples agriculteurs qui connaissent le travail du fer. Leurs cultures se sont diversifiées en fonction des milieux qu'ils ont eu à traverser pendant leur migration. Dans la savane se sont développé des royaumes puissants.

Voici une liste non exhaustive des populations bantoues qu’on trouve au Cameroun classés en 2 groupes :

Les Bantous : Bakweris, Bassas, Bétis, Doualas, Fang...

Les Semi Bantous : Bamilékés, Bamouns, Tikar…

Tout au long de leur évolution, les Hommes d’où qu’ils soient, ont développé un certain nombre de caractéristiques  qui ont favorisé l’apparition de la culture. Celle-ci étant définie par Leslie A White comme étant «  une totalité spirituelle et historique de causes et d’évènements qui  dépendent de la capacité de symbolisation ». Chez le bantou, cette symbolisation a  pris la forme du langage et de l’oralité.

En général, les sociétés Bantous  font parti des sociétés qui n’ont pas d’archives,  c’est à dire que se sont des sociétés qui n’ont pas utilisé pleinement l’écriture et ses ressources. Les bantous ont développé un certain nombre de caractéristiques en fonction des milieux qu’ils ont traversés pendant leur migration ou des lieux où ils se sont installés. Ces caractéristiques ont à la fois rendues possible l’accroissement quantitatif de l’espèce, et  favorisé l’utilisation  d’une grande variété de ressources naturelles. Les bantous font partis des sociétés telluriques à tradition orale. Pour mieux comprendre la culture d’une société, il convient d’étudier son adaptation  au  milieu naturel, sa structure sociale, ses us et coutumes, et son art.


L’adaptation au milieu naturel :


Les bantous ont rencontré en fonction du parcours de leur migration, trois milieux différents les uns des autres : la côte, la forêt vierge et la montagne. Ceci par ce qu’ils ont dû utiliser les voies naturelles (pistes ou voies fluviales) pour faciliter leurs déplacements. De manière  générale, la technologie dont dispose  un groupe d’individus pour contrôler et modifier le milieu dans lequel il vit, est fonction de sa connaissance, de son travail et des ressources naturelles à sa disposition. Celles-ci semblent limitées  dans le contexte de l’Afrique équatoriale, même si cet écosystème est  favorable à l’installation d’une grande variété d’organismes.


Pour se procurer des aliments au moyen  de la chasse, de la cueillette ou de la pêche, le bantou a recours à des armes tel que les arcs, les flèches, les haches  de pierre, les pieux et les massues. Il utilise aussi l’horticulture, qui repose sur la culture des semences, des racines et des tubercules ceci à l’aide  de la houe (sorte de pioche en bois). Ils y plantent des ignames, des macabos, des taros, des patates douces, du manioc, des bananes, des arbres fruitiers (orangers, avocatiers, safoutiers, goyaviers), des cannes à sucre. Le type d’horticulture pratiqué ici est dit itinérant, car on choisit une partie de la forêt resté sans être cultivé pendant plusieurs années, on y coupe herbes et arbres, on construit un enclos pour protéger les cultures des gros animaux sauvages (tel que les phacochères). Le bantou essaye d’échelonner la production tout au long de l’année. Quelque fois le sol sert de garde à manger pour des plantes comme le manioc. Ces populations vivent donc de l’agriculture, de la pêche et de la chasse. Le gibier est composé de petits animaux comme les singes, les rongeurs ou des petites antilopes. Quant aux animaux domestiques ont trouve le porc, la chèvre, le mouton, les poules, les canards, les dindes.


La structure sociale :


L’organisation sociale des bantous est formée au sommet de nations qui elles même sont composées de groupes de tribus, subdivisés en villages. Ces villages sont en réalité, des groupes de clans, constitués par les différentes branches de familles qui habitent le village.  Tous les membres d’un clan sont censés être les descendants d’un même ancêtre mythique. Au sein du groupe, on les considère comme parents (pères et mères), et tous ceux qui appartiennent au même groupe générationnel sont considérés comme frères et sœurs. La parenté occupe  ici un rôle primordial dans la construction du lien social, par ce qu’elle sous tend le principe de solidarité. La majorité des bantous sont patrilocales (bien qu’on trouve aussi des sociétés matrilocales mais en très faible nombre), c’est à dire qu’une fois que la femme a contracté mariage, elle est obligée d’aller résider dans la famille de son époux. L’unité résidentielle est  le socle du lignage.


L’acquisition du domaine foncier se faisait autrefois sur le principe du premier venu, premier servi, à condition de pouvoir délimiter l’espace réservé de façon nette par débroussaillement d’une bande de « un mètre » environ  de largeur. Et tout terrain ou lopin de terre où une subdivision de clan a enseveli ses morts pendant plusieurs générations devient sa propriété absolue.

Le clan est organisé hiérarchiquement, chaque branche a son chef, celui ci est désigné par élection. Quand l’un d’eux meurt, le conseil des chefs se réunit pour  designer son successeur. Le roi doit ratifier ce choix, il a le droit de révocation du chef élu, mais ne peut en aucun cas le désigner d’office. Le clan est généralement composé de personnes qui ont eu ou ont un ancêtre commun. Les mythes servent à définir les caractères du clan. La cohésion du clan repose sur le respect des symboles, des cérémonies, des rituels.


Dans les sociétés bantoues, l’élément fondamental de la structure sociale est la parenté. Celle-ci est fondée sur la reconnaissance sociale des liens de consanguinités et d’affinités. On remarque dans ces sociétés une division sexuelle du travail, car les femmes sont censées prendre soin du foyer, des enfants, et de se charger de la cueillette, des tâches horticoles et agricoles. Quant aux hommes, ils doivent s’occuper de la protection du groupe familial, de la chasse, de la pêche, de l’élevage, du labourage, du débroussaillement, du défrichement de la terre et de la majorité des activités artisanales. Le développement de l’individu passe par une suite d’étapes, de l’enfance à la vieillesse. Ce qui permet d’assigner différents rôles à chacun pour l’amener tout au long de son existence à faire partie de certaine catégorie au sein du groupe. D’où, l’existence de certains rites d’initiations. Chaque étape entraîne des droits et des devoirs.  Pour maintenir le lien social, il était de tradition qu’à la tombé de la nuit, au son du tam-tam, tous les enfants se retrouvaient autour d’un feu allumé au pied d’un baobab situé sur la grande place, pour écouter les contes et les épopées  des ancêtres, racontés par les vieux et les sages du village.


Les us et coutumes :


Comme chez tous les autres peuples du monde, on rencontre des idées de croyances liés à l’être humain, à la nature, et aux relations que celui-ci entretien avec la nature. Si l’on considère que l’humain croit la plupart du temps en l’existence d’un être supérieur, qu’il symbolise à sa manière, chez le bantou originel, cette symbolisation a pour support l’idéologie animiste.

La religion traditionnelle gère les rapports de l’homme avec Dieu et son environnement au moyen des rituels et des interdits. Chez L’animiste, la nature est régie par des âmes ou esprits, analogues à la volonté humaine : ceux-ci peuvent se trouver dans n’importe quels éléments de la nature (les pierres, le vent, les animaux etc.…). Toutefois, le terme Animisme ne peut à lui seul rendre compte de la diversité des systèmes religieux existant en Afrique. Dans l’Afrique traditionnelle, le monde est animé par une force vitale qui peut prendre différents aspects selon les peuples et les religions. La nature est liée intimement à l’individu par la religion. Les manquements aux rites et la rupture des interdits risquent de perturber gravement l’équilibre interne de la société et de mettre en danger sa place dans l’environnement.


On distingue chez les bantous, deux types de  sociétés animistes : Les sociétés animistes monothéistes qui considèrent qu’il n’y a qu’une âme unique qui habite les objets et croient en un dieu créateur unique. Et Les sociétés animistes polythéistes qui croient qu’il y a une âme dans chaque objet  et  croient en plusieurs dieux. Quelque fois, ils attribuent un pouvoir croissant à certaines divinités au dépend des autres qu’ils considèrent comme inférieures. Les divinités en question deviennent des dieux. Les totems ne jouent pas le rôle d’icône ni d’idole chez ses peuples, mais seulement celui de lien symbolique entre la nature et le sacré. Et l’éloignement de Dieu ou des Dieux est parfois innomé. Pour les  mystiques africains, l’émotion religieuse est quantifiée par le sentiment d’éloignement que l’âme éprouve vis à vis de Dieu. Cette distance oblige les peuples bantous, à concevoir des intermédiaires, qui intercèdent par l’intermédiaire des ancêtres pour aider leurs descendants. On distingue donc parmi ses médiateurs humains, les possédés qui établissent le relais avec des génies ou des ancêtres. Les prêtres qui invoquent les puissances surnaturelles pour leur transmettre les demandes et les offrandes des fidèles. Quelque fois  les rois et les forgerons peuvent aussi intercéder.


Les arts :


Peu importe  le type d’art bantou (sculpture, musique ou danse), celui ci est indissociable de la religion. Il est l’expression d’une symbolique ésotérique et traditionnelle. Indépendamment de sa spécialité, l’artiste noir exprime plus l’invisible que le visible dans lequel il puise ses éléments, son œuvre lui sert surtout à capter les énergies sauvages, à les dompter pour les rendre favorables à tout le groupe.

L’Art des peuples bantous est  très diverse et varie en fonction des populations et des croyances. On trouve ainsi dans ces populations un artisanat très  étendu, à savoir sculpture sur ivoire, sceptres, cannes, armes, porte flèches, appuie nuque, chasse mouches, orfèvrerie, céramique et le perlage. Le style d’art pratiqué est caractéristique de chaque région. Ainsi, dans les régions des hauts plateaux du Cameroun, la sculpture sur bois ne se limite pas seulement à la création de statuettes et de masques, des sièges, des lits, des récipients à usage domestiques, des instruments de musiques, on observe aussi des décorations intervenantes dans l’architecture.


L’art du perlage est très développé chez certains bantous du  Grassland camerounais. Dans la région allant du nord du Gabon jusqu’ en république démocratique du Congo, les sculptures sont blanchies au kaolin ou rougie à la poudre de bois rouge. Cet  artisanat a pour thèmes migrations, guerres et différents rites. Ces objets ont pour but de rendre à leurs possesseurs des services multiples : protection contre la mort, divination, prospérité.


L’utilisation des masques lors des grandes cérémonies en Afrique noire a pour but de permettre à leurs porteurs souvent des danseurs, de cacher leur identité au transcendant et de leur permettre de rentrer en contact sans danger avec celui ci. Quand les danseurs ne sont pas masqués, ils ont le visage et le corps peints et portent des vêtements et des ornements particuliers. Pour être cosmique, le masque doit emprunter ses éléments à la nature et les recomposer en fonction de la culture dont il émane et de l’idée, de l’impression qu’il doit communiquer.


' L'union dans le troupeau oblige le lion à se coucher avec la faim.''

 




16/12/2011
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